| Titre : |
Les combats de Spinoza |
| Type de document : |
texte imprimé |
| Auteurs : |
Alain Billecoq, Auteur |
| Editeur : |
Ellipses |
| Collection : |
Polis |
| Importance : |
130 pages |
| ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-7298-9746-8 |
| Langues : |
Français (fre) |
| Sommaire : |
AVERTISSEMENT 5
introduction
UNE SINGULIÈRE SAGESSE 7
première partie
JE RÉSOLUS ENFIN 13
La décision philosophique, 13
Une politique de l’enseignement, 16
L'enseignement de la philosophie, 24
La méthode, 27
Le choix de la vie philosophique, 31
deuxième partie
VIVRE POUR LA VÉRITÉ 33
La volonté de philosopher, 33
Guerre et paix, 34
Le cas Socrate et le cas Spinoza, 37
La méditation de la vie, 42
La tolérance, 45
Le fanatisme, 47
Pour la vérité, 52
troisième partie
ULTIMI BARBARORUM 54
Un meurtre politique, 54
Une colère philosophique, 55
Spinoza, psychologue et métaphysicien, 58
La barbarie, 63
Liberté et sécurité, 70
La liberté politique, 73
quatrième partie
LA CONDITION DES FEMMES 75
L’antiféminisme, 75
La citoyenneté, 77
L'expérience instruite, 80
La nature féminine, 84
Condition féminine et statut politique de la femme, 86
L'échec, 90
cinquième partie
LA VRIAIE PHILOSOPHIE 94
L’étonnement, 94
Une réfutation philosophique, 95
Le vrai et le meilleur, 99
Le poids des évidences, 102
L'éthique, 105
Martin Heidegger, 107
Hannah Arendt, 109
Le salut, 112
conclusion
LE COMBAT PHILOSOPHIQUE 113
NOTES 117
|
| 4° de Couverture : |
Alain Billecoq, agrégé de philosophie, est Inspecteur pédagogique régional de philosophie.
La philosophie de Spinoza est peut-être la dernière des grandes philosophies prétendant à la sagesse. Mais il s'agit d’une sagesse bien singulière, qui n’est ni celle du sage de la tradition populaire, ni celle de l'enfant sage, ni celle de l’idéal stoïcien. La sagesse. pour Spinoza, c’est d’abord la décision de combattre là où elles sont dans chaque moment de la vie quotidienne, sociale et politique, les servitudes qui contraignent l’homme à n'être pas lui-même. C’est ensuite philosopher car on ne combat vraiment, c’est-à-dire pratiquement, que ce que l'on comprend. C’est enfin faire en sorte que tous puissent accéder à la liberté qui est la marque de l’humanité.
Les cinq études qui constituent cet essai s'efforcent de montrer que la sagesse philosophique, telle qu’elle est désignée par Spinoza. est un combat sans relâche contre des idées obscurantistes et parfois contre soi-même. Toujours présente, elle est cependant aussi difficile que rare.
|
Les combats de Spinoza [texte imprimé] / Alain Billecoq, Auteur . - Ellipses, [s.d.] . - 130 pages. - ( Polis) . ISBN : 978-2-7298-9746-8 Langues : Français ( fre)
| Sommaire : |
AVERTISSEMENT 5
introduction
UNE SINGULIÈRE SAGESSE 7
première partie
JE RÉSOLUS ENFIN 13
La décision philosophique, 13
Une politique de l’enseignement, 16
L'enseignement de la philosophie, 24
La méthode, 27
Le choix de la vie philosophique, 31
deuxième partie
VIVRE POUR LA VÉRITÉ 33
La volonté de philosopher, 33
Guerre et paix, 34
Le cas Socrate et le cas Spinoza, 37
La méditation de la vie, 42
La tolérance, 45
Le fanatisme, 47
Pour la vérité, 52
troisième partie
ULTIMI BARBARORUM 54
Un meurtre politique, 54
Une colère philosophique, 55
Spinoza, psychologue et métaphysicien, 58
La barbarie, 63
Liberté et sécurité, 70
La liberté politique, 73
quatrième partie
LA CONDITION DES FEMMES 75
L’antiféminisme, 75
La citoyenneté, 77
L'expérience instruite, 80
La nature féminine, 84
Condition féminine et statut politique de la femme, 86
L'échec, 90
cinquième partie
LA VRIAIE PHILOSOPHIE 94
L’étonnement, 94
Une réfutation philosophique, 95
Le vrai et le meilleur, 99
Le poids des évidences, 102
L'éthique, 105
Martin Heidegger, 107
Hannah Arendt, 109
Le salut, 112
conclusion
LE COMBAT PHILOSOPHIQUE 113
NOTES 117
|
| 4° de Couverture : |
Alain Billecoq, agrégé de philosophie, est Inspecteur pédagogique régional de philosophie.
La philosophie de Spinoza est peut-être la dernière des grandes philosophies prétendant à la sagesse. Mais il s'agit d’une sagesse bien singulière, qui n’est ni celle du sage de la tradition populaire, ni celle de l'enfant sage, ni celle de l’idéal stoïcien. La sagesse. pour Spinoza, c’est d’abord la décision de combattre là où elles sont dans chaque moment de la vie quotidienne, sociale et politique, les servitudes qui contraignent l’homme à n'être pas lui-même. C’est ensuite philosopher car on ne combat vraiment, c’est-à-dire pratiquement, que ce que l'on comprend. C’est enfin faire en sorte que tous puissent accéder à la liberté qui est la marque de l’humanité.
Les cinq études qui constituent cet essai s'efforcent de montrer que la sagesse philosophique, telle qu’elle est désignée par Spinoza. est un combat sans relâche contre des idées obscurantistes et parfois contre soi-même. Toujours présente, elle est cependant aussi difficile que rare.
|
|  |
