Titre : |
Le concept de Dieu après Auschwitz : Une voix juive |
Autre titre : |
Dieu sans puissance |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Hans Jonas, Auteur ; Catherine Chalier, Auteur |
Editeur : |
Editions Payot et Rivages |
Année de publication : |
1994 |
Collection : |
Bibliothèque Rivages |
Sous-collection : |
Petite bibliothèque |
Importance : |
90 pages |
ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-86930-769-8 |
Langues : |
Français (fre) |
Sommaire : |
Le concept de Dieu après Auschwitz, 7
Notes, 41
Dieu sans puissance
par Catherine Chalier, 45
Notes, 65
|
4° de Couverture : |
Pour le juif, qui voit dans l’immanence le lieu de la création, de la justice et de la rédemption divine, Dieu est éminemment le seigneur de l’Histoire, et c’est là qu’ “Auschwitz” met en question, y compris pour le croyant, tout le concept traditionnel de Dieu. A l’expérience juive de l’Histoire, Auschwitz ajoute en effet un inédit, dont ne sauraient venir à bout les vieilles catégories théologiques. Mais quand on ne veut pas se séparer du concept de Dieu — comme le philosophe lui-même en a le droit — on est obligé, pour ne pas l’abandonner, de le repenser à neuf et de chercher une réponse, neuve elle aussi, à la vieille question de Job. Dès lors, on devra certainement donner congé au “seigneur de l’Histoire”. Donc : quel Dieu a pu laisser faire cela ?
Hans Jonas
Traduit de l’allemand par Philippe lvernel |
Le concept de Dieu après Auschwitz : Une voix juive ; Dieu sans puissance [texte imprimé] / Hans Jonas, Auteur ; Catherine Chalier, Auteur . - Editions Payot et Rivages, 1994 . - 90 pages. - ( Bibliothèque Rivages. Petite bibliothèque) . ISBN : 978-2-86930-769-8 Langues : Français ( fre)
Sommaire : |
Le concept de Dieu après Auschwitz, 7
Notes, 41
Dieu sans puissance
par Catherine Chalier, 45
Notes, 65
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4° de Couverture : |
Pour le juif, qui voit dans l’immanence le lieu de la création, de la justice et de la rédemption divine, Dieu est éminemment le seigneur de l’Histoire, et c’est là qu’ “Auschwitz” met en question, y compris pour le croyant, tout le concept traditionnel de Dieu. A l’expérience juive de l’Histoire, Auschwitz ajoute en effet un inédit, dont ne sauraient venir à bout les vieilles catégories théologiques. Mais quand on ne veut pas se séparer du concept de Dieu — comme le philosophe lui-même en a le droit — on est obligé, pour ne pas l’abandonner, de le repenser à neuf et de chercher une réponse, neuve elle aussi, à la vieille question de Job. Dès lors, on devra certainement donner congé au “seigneur de l’Histoire”. Donc : quel Dieu a pu laisser faire cela ?
Hans Jonas
Traduit de l’allemand par Philippe lvernel |
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