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Auteur Georg Groddeck |
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007 - Printemps 1973 - Bisexualité et différence des sexes (Bulletin de Nouvelle revue de psychanalyse) / Ovide ; J.-B. Pontalis ; Luc Brisson ; Marie-Christine Pouchelle ; Françoise Cachin ; Jean Gillibert ; Claude Aron ; Léon Kreisler ; Robert Stoller ; Pierre Fédida ; Wilhelm Fliess ; Didier Anzieu ; Georg Groddeck ; Roger Lewinter ; Herman Nunberg ; Christian David ; André Green ; Joyce McDougall ; Felix Boehm ; Donald W. Winnicott ; Masud R. Khan ; Jean-Marc Alby
[n° ou bulletin]
Titre : 007 - Printemps 1973 - Bisexualité et différence des sexes Type de document : texte imprimé Auteurs : Ovide, Auteur ; J.-B. Pontalis, Auteur ; Luc Brisson, Auteur ; Marie-Christine Pouchelle, Auteur ; Françoise Cachin, Auteur ; Jean Gillibert, Auteur ; Claude Aron, Auteur ; Léon Kreisler, Auteur ; Robert Stoller, Auteur ; Pierre Fédida, Auteur ; Wilhelm Fliess, Auteur ; Didier Anzieu, Auteur ; Georg Groddeck, Auteur ; Roger Lewinter, Auteur ; Herman Nunberg, Auteur ; Christian David, Auteur ; André Green, Auteur ; Joyce McDougall, Auteur ; Felix Boehm, Auteur ; Donald W. Winnicott, Auteur ; Masud R. Khan, Auteur ; Jean-Marc Alby, Auteur Année de publication : 1973 Importance : 354 pages Langues : Français (fre) Sommaire :
Ovide, Salmacis et Hermaphrodite. Cénis et Cénée, 5
J.-B. Pontalis, L’insaisissable entre-deux, 13
-I-
Luc Brisson, Bisexualité et médiation en Grèce ancienne, 27
Marie-Christine Pouchelle, L’hybride, 49
Françoise Cachin, Monsieur Vénus et l’ange de Sodome, 63
Jean Gillibert, L’acteur, médian sexuel, 71
-II-
Claude Aron, Les facteurs neuro-hormonaux de la sexualité chez les mammifères, 81
Léon Kreisler, L’enfant et l’adolescent de sexe ambigu ou l’envers du mythe, 117
Robert Stoller, Faits et hypothèses : un examen du concept freudien de bisexualité, 135
-III-
Pierre Fédida, D'une essentielle dissymétrie dans la psychanalyse, 159
Wilhelm Fliess, Masculin et féminin, 167
Didier Anzieu, La bisexualité dans l’auto-analyse de Freud, 179
Georg Groddeck, Le double sexe de l’être humain, 193
Roger Lewinter, (Anti)judaïsme et bisexualité, 199
Herman Nunberg, Tentatives de rejet de la circoncision, 205
-IV-
Christian David, Les belles différences, 231
André Green, Le genre neutre, 251
Joyce Me Dougall, L’idéal hermaphrodite et ses avatars, 263
Félix Boehm, Le complexe de féminité chez l’homme, 277
D. W. Winnicott, Clivage des éléments masculins et féminins chez l’homme et chez la femme, 301
M. Masud R. Khan, Orgasme du moi et amour bisexuel, 315
Jean-Marc Alby, L’identité sexuelle : pour quoi faire ?, 327
Hélène Cixous, Partie, 335
4° de Couverture :
Chacun sent que la psychanalyse n’est pas une discipline parmi d’autres qui aurait ses « spécialistes » détenteurs du savoir sur l’inconscient et serait assurée des frontières de son champ d’application ; mais il n’est pas vrai non plus qu’on doive lui reconnaître le privilège exorbitant d’être partout et nulle part.
Bien avant qu’il ne fût question d'interdisciplinarité, la psychanalyse, au temps de sa découverte comme en chacun de ses moments féconds, n'a vécu que de l’échange : entre l’expérience clinique et la recherche théorique, entre la rencontre des phénomènes déconcertants et les modes d’interprétation qu’ils provoquent, entre l’auto-analyse et la relation analytique. Telle fut en tout cas l’inspiration de Freud avec laquelle il faut renouer pour maintenir la psychanalyse vivante.
Dans la Nouvelle Revue de Psychanalyse, les analystes ne resteront donc pas entre soi enfermés dans leur discours. Questionnants, ils se laissent aussi questionner.
Chaque numéro porte sur un thème dévoilé par l’expérience analytique sans que celle-ci soit jamais exclusive des autres perspectives, l’ambition de cette revue étant moins de répertorier des thèmes déjà circonscrits dans les diverses disciplines que d’en dégager, par la confrontation, de nouveaux, que le cloisonnement laissait insoupçonnés.
[n° ou bulletin] 007 - Printemps 1973 - Bisexualité et différence des sexes [texte imprimé] / Ovide, Auteur ; J.-B. Pontalis, Auteur ; Luc Brisson, Auteur ; Marie-Christine Pouchelle, Auteur ; Françoise Cachin, Auteur ; Jean Gillibert, Auteur ; Claude Aron, Auteur ; Léon Kreisler, Auteur ; Robert Stoller, Auteur ; Pierre Fédida, Auteur ; Wilhelm Fliess, Auteur ; Didier Anzieu, Auteur ; Georg Groddeck, Auteur ; Roger Lewinter, Auteur ; Herman Nunberg, Auteur ; Christian David, Auteur ; André Green, Auteur ; Joyce McDougall, Auteur ; Felix Boehm, Auteur ; Donald W. Winnicott, Auteur ; Masud R. Khan, Auteur ; Jean-Marc Alby, Auteur . - 1973 . - 354 pages.
Langues : Français (fre)
Sommaire :
Ovide, Salmacis et Hermaphrodite. Cénis et Cénée, 5
J.-B. Pontalis, L’insaisissable entre-deux, 13
-I-
Luc Brisson, Bisexualité et médiation en Grèce ancienne, 27
Marie-Christine Pouchelle, L’hybride, 49
Françoise Cachin, Monsieur Vénus et l’ange de Sodome, 63
Jean Gillibert, L’acteur, médian sexuel, 71
-II-
Claude Aron, Les facteurs neuro-hormonaux de la sexualité chez les mammifères, 81
Léon Kreisler, L’enfant et l’adolescent de sexe ambigu ou l’envers du mythe, 117
Robert Stoller, Faits et hypothèses : un examen du concept freudien de bisexualité, 135
-III-
Pierre Fédida, D'une essentielle dissymétrie dans la psychanalyse, 159
Wilhelm Fliess, Masculin et féminin, 167
Didier Anzieu, La bisexualité dans l’auto-analyse de Freud, 179
Georg Groddeck, Le double sexe de l’être humain, 193
Roger Lewinter, (Anti)judaïsme et bisexualité, 199
Herman Nunberg, Tentatives de rejet de la circoncision, 205
-IV-
Christian David, Les belles différences, 231
André Green, Le genre neutre, 251
Joyce Me Dougall, L’idéal hermaphrodite et ses avatars, 263
Félix Boehm, Le complexe de féminité chez l’homme, 277
D. W. Winnicott, Clivage des éléments masculins et féminins chez l’homme et chez la femme, 301
M. Masud R. Khan, Orgasme du moi et amour bisexuel, 315
Jean-Marc Alby, L’identité sexuelle : pour quoi faire ?, 327
Hélène Cixous, Partie, 335
4° de Couverture :
Chacun sent que la psychanalyse n’est pas une discipline parmi d’autres qui aurait ses « spécialistes » détenteurs du savoir sur l’inconscient et serait assurée des frontières de son champ d’application ; mais il n’est pas vrai non plus qu’on doive lui reconnaître le privilège exorbitant d’être partout et nulle part.
Bien avant qu’il ne fût question d'interdisciplinarité, la psychanalyse, au temps de sa découverte comme en chacun de ses moments féconds, n'a vécu que de l’échange : entre l’expérience clinique et la recherche théorique, entre la rencontre des phénomènes déconcertants et les modes d’interprétation qu’ils provoquent, entre l’auto-analyse et la relation analytique. Telle fut en tout cas l’inspiration de Freud avec laquelle il faut renouer pour maintenir la psychanalyse vivante.
Dans la Nouvelle Revue de Psychanalyse, les analystes ne resteront donc pas entre soi enfermés dans leur discours. Questionnants, ils se laissent aussi questionner.
Chaque numéro porte sur un thème dévoilé par l’expérience analytique sans que celle-ci soit jamais exclusive des autres perspectives, l’ambition de cette revue étant moins de répertorier des thèmes déjà circonscrits dans les diverses disciplines que d’en dégager, par la confrontation, de nouveaux, que le cloisonnement laissait insoupçonnés.
Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 104348 PER1 Périodique, revue Etagères de la Maison de la psychanalyse Tous autres Périodiques (PER1) Exclu du prêt Le ça, le moi, le surmoi / Serge Lebovici
Titre : Le ça, le moi, le surmoi : La personnalité et ses instances Type de document : texte imprimé Auteurs : Serge Lebovici, Auteur ; Sigmund Freud, Auteur ; Georg Groddeck, Auteur ; Sandor Ferenczi, Auteur ; Edward Glover, Auteur ; Ronald D. Fairbairn, Auteur ; Heinz Hartmann, Auteur ; Yves Hendrick, Auteur ; Mélanie Klein, Auteur ; René Spitz, Auteur ; Ernest Jones, Auteur ; Joseph Sandler, Auteur Editeur : Tchou Année de publication : 1978 Collection : Les grandes découvertes de la psychanalyse Importance : 338 pages Langues : Français (fre) Sommaire : PRÉFACE
Professeur Serge LEBOVICI
PREMIÈRE PARTIE
Les domaines de la personnalité :
premières approches
l. — Les lieux de l’esprit, 31
(Sigmund FREUD).
Il. — Au fond de l’homme, 47
(Georg GRoDDECK).
III. — Les gardiens de la loi, 65
(Sigmund FREUD).
DEUXIÈME PARTIE
Moi, Ça, Surmoi :
La seconde topique
I. — Moi, Ça, Surmoi : Les trois empires, 89
(Sigmund FREUD).
II. — Les instances de la personnalité, 107
(Sigmund FREUD).
III. — De la peur du gendarme à l’amour du maître, 119
(Sigmund FREUD).
IV. — Grandeur et servitude du Moi, 135
(Sigmund FREUD).
TROISIÈME PARTIE
Le Moi :
Ce qu’en disent les autres…
l. — Le sens de la réalité, 145
(Sandor FERENCZI).
Il. — A propos des noyaux du Moi, 163
(Edward GLOVER).
III. — La trinité du Moi, 177
(Ronald D. FAIRBAIRN).
IV. — Le Moi autonome, 203
(Heinz HARTMANN).
V. — Le Moi, apprenti ouvrier, 221
(Yves HENDRICK).
QUATRIÈME PARTIE
Le Surmoi :
Un héritier du Complexe d’Œdipe ?
I. — La morale des sphincters. matrice du Surmoi, 241
(Sandor FERENCZI).
Il. — Surmoi archaïque et conscience précoce, 255
(Mélanie KLEIN).
llI. — Le Surmoi pierre par pierre, 269
(René SPITZ).
IV. — Le Surmoi. ami et ennemi de l’homme, 291
(Ernest JONES).
V. — Un résume de la question, 301
(Joseph SANDLER).
4° de Couverture : Au fond de l’homme est le Ça, immense « réservoir d’énergie pulsionnelle », chaotique, dominé par les passions.
Le Moi, lui, se pose en médiateur chargé de concilier les exigences du Ça, du Surmoi et du monde extérieur.
Quant au Surmoi, c’est un juge, qui critique et censure le Moi.
A la base de toute personnalité, ces trois systèmes animent l’esprit humain — qui n’est plus, désormais, un inconnu. Comment influencent-ils concrètement nos comportements, nos raisonnements, et jusqu’à nos institutions sociales ?
Mais ce livre ne nous apporte pas seulement la réponse à un problème demeuré — jusqu’au début de ce siècle — insoluble. Préfacé par le Professeur Serge LEBOVICI, il reflète aussi, à travers les textes des psychanalystes novateurs — Freud, Ferenczi, Mélanie Klein, Sandler et bien d’autres encore — ce vaste mouvement d’idées qui a porté en moins de 80 ans la psychanalyse au premier plan des sciences de l’homme.
Le ça, le moi, le surmoi : La personnalité et ses instances [texte imprimé] / Serge Lebovici, Auteur ; Sigmund Freud, Auteur ; Georg Groddeck, Auteur ; Sandor Ferenczi, Auteur ; Edward Glover, Auteur ; Ronald D. Fairbairn, Auteur ; Heinz Hartmann, Auteur ; Yves Hendrick, Auteur ; Mélanie Klein, Auteur ; René Spitz, Auteur ; Ernest Jones, Auteur ; Joseph Sandler, Auteur . - Tchou, 1978 . - 338 pages. - (Les grandes découvertes de la psychanalyse) .
Langues : Français (fre)
Sommaire : PRÉFACE
Professeur Serge LEBOVICI
PREMIÈRE PARTIE
Les domaines de la personnalité :
premières approches
l. — Les lieux de l’esprit, 31
(Sigmund FREUD).
Il. — Au fond de l’homme, 47
(Georg GRoDDECK).
III. — Les gardiens de la loi, 65
(Sigmund FREUD).
DEUXIÈME PARTIE
Moi, Ça, Surmoi :
La seconde topique
I. — Moi, Ça, Surmoi : Les trois empires, 89
(Sigmund FREUD).
II. — Les instances de la personnalité, 107
(Sigmund FREUD).
III. — De la peur du gendarme à l’amour du maître, 119
(Sigmund FREUD).
IV. — Grandeur et servitude du Moi, 135
(Sigmund FREUD).
TROISIÈME PARTIE
Le Moi :
Ce qu’en disent les autres…
l. — Le sens de la réalité, 145
(Sandor FERENCZI).
Il. — A propos des noyaux du Moi, 163
(Edward GLOVER).
III. — La trinité du Moi, 177
(Ronald D. FAIRBAIRN).
IV. — Le Moi autonome, 203
(Heinz HARTMANN).
V. — Le Moi, apprenti ouvrier, 221
(Yves HENDRICK).
QUATRIÈME PARTIE
Le Surmoi :
Un héritier du Complexe d’Œdipe ?
I. — La morale des sphincters. matrice du Surmoi, 241
(Sandor FERENCZI).
Il. — Surmoi archaïque et conscience précoce, 255
(Mélanie KLEIN).
llI. — Le Surmoi pierre par pierre, 269
(René SPITZ).
IV. — Le Surmoi. ami et ennemi de l’homme, 291
(Ernest JONES).
V. — Un résume de la question, 301
(Joseph SANDLER).
4° de Couverture : Au fond de l’homme est le Ça, immense « réservoir d’énergie pulsionnelle », chaotique, dominé par les passions.
Le Moi, lui, se pose en médiateur chargé de concilier les exigences du Ça, du Surmoi et du monde extérieur.
Quant au Surmoi, c’est un juge, qui critique et censure le Moi.
A la base de toute personnalité, ces trois systèmes animent l’esprit humain — qui n’est plus, désormais, un inconnu. Comment influencent-ils concrètement nos comportements, nos raisonnements, et jusqu’à nos institutions sociales ?
Mais ce livre ne nous apporte pas seulement la réponse à un problème demeuré — jusqu’au début de ce siècle — insoluble. Préfacé par le Professeur Serge LEBOVICI, il reflète aussi, à travers les textes des psychanalystes novateurs — Freud, Ferenczi, Mélanie Klein, Sandler et bien d’autres encore — ce vaste mouvement d’idées qui a porté en moins de 80 ans la psychanalyse au premier plan des sciences de l’homme.
Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 100560 COLL Livre Etagères de la Maison de la psychanalyse Ouvrages collectifs (COLL) Exclu du prêt Conférences psychanalytiques à l'usage des malades / Georg Groddeck
Titre : Conférences psychanalytiques à l'usage des malades : prononcées au sanatorium de Baden-Baden. Conférences 1 à 40 Type de document : texte imprimé Auteurs : Georg Groddeck, Auteur Editeur : Editions Champ Libre Année de publication : 1978 Importance : 334 pages ISBN/ISSN/EAN : 978-2-85184-092-9 Langues : Français (fre) Sommaire : Première conférence, le 16 août 1916, 1
Deuxième conférence, le 23 août 1916, 4
Troisième conférence, le 30 août 1916, 9
Quatrième conférence, le 6 septembre 1916, 15
Cinquième conférence, le 13 septembre 1916, 21
Sixième conférence, le 20 septembre 1916, 29
Septième conférence, le 27 septembre 1916, 36
Huitième conférence, le 4 octobre 1916, 43
Neuvième conférence, le 11 octobre 1916, 50
Dixième conférence, le 18 octobre 1916, 57
Onzième conférence, le 25 octobre 1916, 64
Douzième conférence, le 1er novembre 1916, 72
Treizième conférence, le 8 novembre 1916, 80
Quatorzième conférence, le 15 novembre 1916, 88
Quinzième conférence, le 22 novembre 1916, 98
Seizième conférence, le 29 novembre 1916, 106
Dix-septième conférence, le 6 décembre 1916, 115
Dix-huitième conférence, le 13 décembre 1916, 124
Dix-neuvième conférence, le 20 décembre 1916, 133
Vingtième conférence, le 3 janvier 1917, 139
Vingt et unième conférence, le 10 janvier 1917, 148
Vingt-deuxième conférence, le 17 janvier 1917, 157
Vingt-troisième conférence, le 24 janvier 1917, 165
Vingt-quatrième conférence, le 31 janvier 1917, 173
Vingt-cinquième conférence, le 7 février 1917, 182
Vingt-sixième conférence, le 14 février 1917, 188
Vingt-septième conférence, le 21 février 1917, 197
Vingt-huitième conférence, le 28 février 1917, 205
Vingt-neuvième conférence, le 7 mars 1917, 215
Trentième conférence, le 14 mars 1917, 223
Trente et unième conférence, le 21 mars 1917, 233
Trente-deuxième conférence, le 28 mars 1917, 242
Trente-troisième conférence, le 4 avril 1917, 253
Trente-quatrième conférence, le 11 avril 1917, 264
Trente-cinquième conférence, le 18 avril 1917, 273
Trente-sixième conférence, le 25 avril 1917, 283
Trente-septième conférence, le 2 mai 1917, 293
Trente-huitième conférence, le 9 mai 1917, 302
Trente-neuvième conférence, le 16 mai 1917, 312
Quarantième conférence, le 23 mai 1917, 3214° de Couverture : Groddeck a tenu ces Conférences psychanalytiques – 115 au total – dans son sanatorium de Baden-Baden, entre 1916 et 1919. Les textes, restés inédits jusqu'à ce jour, sont le compte rendu dactylographique des séances ; et la traduction française constitue leur première édition.
Les Conférences étaient destinées aux patients du sanatorium et faisaient partie du traitement de Groddeck. Leur fonction est à la fois didactique et thérapeutique : elles doivent traiter le malade en lui faisant assimiler les principes de la psychosomatique groddeckienne, qu’elles formulent ; à savoir : toute maladie, organique et non pas seulement nerveuse, a un sens déterminé qui, s'il est découvert, donne prise sur la maladie. (Les patients de Groddeck, il faut y insister, étaient tous des malades organiques et non pas des « névrosés » ; et Groddeck était non pas psychiatre mais médecin généraliste.)
Le but premier des Conférences est d'amener le malade à reconnaître que sa maladie possède un sens — joue un rôle dans l'organisation de sa vie —, pour qu'il ne la considère plus comme un hasard dénué de sens contre lequel il n'y aurait pas d'autre attitude possible qu'une réaction purement extérieure, mécanique et passive. La maladie est une expression de la vie, qui demande à être prise justement en considération : avec laquelle il est possible de « traiter ».
Les Conférences, qui sont antérieures au Livre du ça (1923), représentent, en fait, l'acte de naissance de la psychosomatique groddeckienne, qui s'est constituée après 1a découverte et l'acceptation de la psychanalyse par Groddeck ; celle-ci venant confirmer l'intuition qu'il avait du sens de la maladie, en indiquant que ce sens est inconscient — refoulé en pratique —, et qu'il doit être dégagé par interprétation, exactement comme le sens d'un rêve ; les maladies pouvant se définir comme les rêves organiques de l'être humain.
En intégrant la psychanalyse freudienne au postulat groddeckien du sens de la maladie, les Conférence articulent véritablement une technique nouvelle de traitement : elles montrent comment Groddeck s'y prenait en réalité avec le malade
et sa maladie, et sont un double exercice : d'information du malade et de formation du médecin, Groddeck en l'occurrence, pour qui elles sont une synthèse de ses idées dans leur rapport avec les concepts clés de la psychanalyse : l'inconscient, la résistance et le transfert.
Les Conférences constituent la somme groddeckienne : séminaire, mais aussi laboratoire, d'où sont issus tous les textes ultérieurs : ainsi, le Livre du ça, formulé en abrégé dans les dernières conférences. Et si Groddeck, malgré une intention plusieurs fois déclarée, n'a pas publié les Conférences de son vivant, c'est, d'une part, comme il l'écrivait à Freud, qu'il ne se souciait pas d'avoir des disciples, mais aussi, et surtout, que, pris dans leur ensemble, les textes se découvrent trop immédiatement personnels, comme la consignation d'une rigoureuse analyse, ou expérience, de soi ; alors que, considérés isolément ou par groupe de 5 ou 10, ils frappent par leur valeur générale ; double aspect constant qui définit les Conférences comme connaissance (et) pratique : acte créateur d'un être conscient, libre en soi.Conférences psychanalytiques à l'usage des malades : prononcées au sanatorium de Baden-Baden. Conférences 1 à 40 [texte imprimé] / Georg Groddeck, Auteur . - Editions Champ Libre, 1978 . - 334 pages.
ISBN : 978-2-85184-092-9
Langues : Français (fre)
Sommaire : Première conférence, le 16 août 1916, 1
Deuxième conférence, le 23 août 1916, 4
Troisième conférence, le 30 août 1916, 9
Quatrième conférence, le 6 septembre 1916, 15
Cinquième conférence, le 13 septembre 1916, 21
Sixième conférence, le 20 septembre 1916, 29
Septième conférence, le 27 septembre 1916, 36
Huitième conférence, le 4 octobre 1916, 43
Neuvième conférence, le 11 octobre 1916, 50
Dixième conférence, le 18 octobre 1916, 57
Onzième conférence, le 25 octobre 1916, 64
Douzième conférence, le 1er novembre 1916, 72
Treizième conférence, le 8 novembre 1916, 80
Quatorzième conférence, le 15 novembre 1916, 88
Quinzième conférence, le 22 novembre 1916, 98
Seizième conférence, le 29 novembre 1916, 106
Dix-septième conférence, le 6 décembre 1916, 115
Dix-huitième conférence, le 13 décembre 1916, 124
Dix-neuvième conférence, le 20 décembre 1916, 133
Vingtième conférence, le 3 janvier 1917, 139
Vingt et unième conférence, le 10 janvier 1917, 148
Vingt-deuxième conférence, le 17 janvier 1917, 157
Vingt-troisième conférence, le 24 janvier 1917, 165
Vingt-quatrième conférence, le 31 janvier 1917, 173
Vingt-cinquième conférence, le 7 février 1917, 182
Vingt-sixième conférence, le 14 février 1917, 188
Vingt-septième conférence, le 21 février 1917, 197
Vingt-huitième conférence, le 28 février 1917, 205
Vingt-neuvième conférence, le 7 mars 1917, 215
Trentième conférence, le 14 mars 1917, 223
Trente et unième conférence, le 21 mars 1917, 233
Trente-deuxième conférence, le 28 mars 1917, 242
Trente-troisième conférence, le 4 avril 1917, 253
Trente-quatrième conférence, le 11 avril 1917, 264
Trente-cinquième conférence, le 18 avril 1917, 273
Trente-sixième conférence, le 25 avril 1917, 283
Trente-septième conférence, le 2 mai 1917, 293
Trente-huitième conférence, le 9 mai 1917, 302
Trente-neuvième conférence, le 16 mai 1917, 312
Quarantième conférence, le 23 mai 1917, 3214° de Couverture : Groddeck a tenu ces Conférences psychanalytiques – 115 au total – dans son sanatorium de Baden-Baden, entre 1916 et 1919. Les textes, restés inédits jusqu'à ce jour, sont le compte rendu dactylographique des séances ; et la traduction française constitue leur première édition.
Les Conférences étaient destinées aux patients du sanatorium et faisaient partie du traitement de Groddeck. Leur fonction est à la fois didactique et thérapeutique : elles doivent traiter le malade en lui faisant assimiler les principes de la psychosomatique groddeckienne, qu’elles formulent ; à savoir : toute maladie, organique et non pas seulement nerveuse, a un sens déterminé qui, s'il est découvert, donne prise sur la maladie. (Les patients de Groddeck, il faut y insister, étaient tous des malades organiques et non pas des « névrosés » ; et Groddeck était non pas psychiatre mais médecin généraliste.)
Le but premier des Conférences est d'amener le malade à reconnaître que sa maladie possède un sens — joue un rôle dans l'organisation de sa vie —, pour qu'il ne la considère plus comme un hasard dénué de sens contre lequel il n'y aurait pas d'autre attitude possible qu'une réaction purement extérieure, mécanique et passive. La maladie est une expression de la vie, qui demande à être prise justement en considération : avec laquelle il est possible de « traiter ».
Les Conférences, qui sont antérieures au Livre du ça (1923), représentent, en fait, l'acte de naissance de la psychosomatique groddeckienne, qui s'est constituée après 1a découverte et l'acceptation de la psychanalyse par Groddeck ; celle-ci venant confirmer l'intuition qu'il avait du sens de la maladie, en indiquant que ce sens est inconscient — refoulé en pratique —, et qu'il doit être dégagé par interprétation, exactement comme le sens d'un rêve ; les maladies pouvant se définir comme les rêves organiques de l'être humain.
En intégrant la psychanalyse freudienne au postulat groddeckien du sens de la maladie, les Conférence articulent véritablement une technique nouvelle de traitement : elles montrent comment Groddeck s'y prenait en réalité avec le malade
et sa maladie, et sont un double exercice : d'information du malade et de formation du médecin, Groddeck en l'occurrence, pour qui elles sont une synthèse de ses idées dans leur rapport avec les concepts clés de la psychanalyse : l'inconscient, la résistance et le transfert.
Les Conférences constituent la somme groddeckienne : séminaire, mais aussi laboratoire, d'où sont issus tous les textes ultérieurs : ainsi, le Livre du ça, formulé en abrégé dans les dernières conférences. Et si Groddeck, malgré une intention plusieurs fois déclarée, n'a pas publié les Conférences de son vivant, c'est, d'une part, comme il l'écrivait à Freud, qu'il ne se souciait pas d'avoir des disciples, mais aussi, et surtout, que, pris dans leur ensemble, les textes se découvrent trop immédiatement personnels, comme la consignation d'une rigoureuse analyse, ou expérience, de soi ; alors que, considérés isolément ou par groupe de 5 ou 10, ils frappent par leur valeur générale ; double aspect constant qui définit les Conférences comme connaissance (et) pratique : acte créateur d'un être conscient, libre en soi.Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 101014 AUTR Livre Etagères de la Maison de la psychanalyse Autres auteurs (AUTR) Exclu du prêt Conférences psychanalytiques à l'usage des malades prononcées au sanatorium de Baden-Baden / Georg Groddeck
Titre : Conférences psychanalytiques à l'usage des malades prononcées au sanatorium de Baden-Baden : Conférences 41 à 80. 30 mai 1917- 20 mars 1918 Type de document : texte imprimé Auteurs : Georg Groddeck, Auteur Editeur : Editions Champ Libre Année de publication : 1979 Importance : 426 pages ISBN/ISSN/EAN : 285841092 Langues : Français (fre) Sommaire : Quarante et unième conférence, le 30 mai 1917, 9
Quarante-deuxième conférence, le 6 juin 1917, 21
Quarante-cinquième conférence, le 27 juin 1917, 32
Quarante-sixième conférence, le 11 juillet 1917, 43
Quarante-septième conférence, le 18 juillet 1917, 55
Quarante-huitième conférence, le 25 juillet 1917, 67
Quarante-neuvième conférence, le 1er août 1917, 76
Cinquantième conférence, le 8 août 1917, 89
Cinquante et unième conférence, le 15 août 1917, 102
Cinquante-deuxième conférence, le 22 août 1917, 114
Cinquante-troisième conférence, le 29 août 1917, 125
Cinquante-quatrième conférence, le 5 septembre 1917, 136
Cinquante-cinquième conférence, le 12 septembre 1917, 148
Cinquante-sixième conférence, le 19 septembre 1917, 161
Cinquante-septième conférence, le 26 septembre 1917, 174
Cinquante-huitième conférence, le 3 octobre 1917, 186
Cinquante-neuvième conférence, le 10 octobre 1917, 198
Soixantième conférence, le 17 octobre 1917, 209
Soixante et unième conférence, le 24 octobre 1917, 221
Soixante-deuxième conférence, le 31 octobre 1917, 233
Soixante-troisième conférence, le 7 novembre 1917, 245
Soixante-quatrième conférence, le 14 novembre 1917, 257
Soixante-cinquième conférence, le 21 novembre 1917, 267
Soixante-sixième conférence, le 28 novembre 1917, 276
Soixante-septième conférence, le 5 décembre 1917, 287
Soixante-huitième conférence, le 12 décembre 1917, 297
Soixante-neuvième conférence, le 2 janvier 1918, 308
Soixante-dixième conférence, le 9 janvier 1918, 318
Soixante et onzième conférence, le 16 janvier 1918, 329
Soixante-douzième conférence, le 23 janvier 1918, 340
Soixante-treizième conférence, le 30 janvier 1918, 350
Soixante-quatorzième conférence, le 6 février 1918, 358
Soixante-quinzième conférence, le 13 février 1918, 367
Soixante-seizième conférence, 1e 20 février 1918, 378
Soixante-dix-septièrne conférence, le 27 février 1918, 388
Soixante-dix-huitième conférence, le 6 mars 1918, 398
Soixante-dix-neuvième conférence, le 13 mars 1918, 406
Quatre-vingtième conférence, le 20 mars 1918, 4124° de Couverture : Groddeck a tenu ces Conférences psychanalytiques – 115 au total – dans son sanatorium de Baden-Baden, entre 1916 et 1919. Les textes, restés inédits jusqu'à ce jour, sont le compte rendu dactylographique des séances ; et la traduction française constitue leur première édition.
Les Conférences étaient destinées aux patients du sanatorium et faisaient partie du traitement de Groddeck. Leur fonction est à la fois didactique et thérapeutique : elles doivent traiter le malade en lui faisant assimiler les principes de la psychosomatique groddeckienne, qu'elles formulent ; à savoir : toute maladie, organique et non pas seulement nerveuse, a un sens déterminé qui, s'il est découvert, donne prise sur la maladie. (Les patients de Groddeck, il faut y insister, étaient tous des malades organiques et non pas des « névrosés » ; et Groddeck était non pas psychiatre mais médecin généraliste.)
Le but premier des Conférences est d'amener le malade à reconnaître que sa maladie possède un sens — joue un rôle dans l'organisation de sa vie —, pour qu'il ne la considère plus comme un hasard dénué de sens contre lequel il n'y aurait pas d'autre attitude possible qu'une réaction purement extérieure, mécanique et passive. La maladie est une expression de la vie, qui demande à être prise justement en considération : avec laquelle il est possible de « traiter ».
Les Conférences, qui sont antérieures au Livre du ça (1923), représentent, en fait, l'acte de naissance de la psychosomatique groddeckienne, qui s'est constituée après la découverte et l'acceptation de la psychanalyse par Groddeck ; celle-ci venant confirmer l'intuition qu'il avait du sens de la maladie, en indiquant que ce sens est inconscient – refoulé en pratique – et qu'il doit être dégagé par interprétation, exactement comme le sens d'un rêve ; les maladies pouvant se définir comme les rêves organiques de l'être humain.
En intégrant la psychanalyse freudienne au postulat groddeckien du sens de la maladie, les Conférences articulent véritablement une technique nouvelle de traitement : elles montrent comment Groddeck s'y prenait en réalité avec le malade et sa maladie, et sont un double exercice : d'information du malade et de formation du médecin, Groddeck en l'occurrence, pour qui elles sont une synthèse de ses idées dans leur rapport avec les concepts clés de la psychanalyse : l'inconscient, la résistance et le transfert.
Les Conférences constituent la somme groddeckienne : séminaire, mais aussi
laboratoire, d'où sont issus tous les textes ultérieurs : ainsi, le Livre du ça, formulé
en abrégé dans les dernières conférences. Et si Groddeck, malgré une intention plusieurs fois déclarée, n'a pas publié les Conférences de son vivant, c'est, d'une part, comme il l'écrivait à Freud, qu'il ne se souciait pas d'avoir des disciples, mais aussi, et surtout, que, pris dans leur ensemble, les textes se découvrent trop immédiatement personnels, comme la consignation d'une rigoureuse analyse, ou expérience, de soi ; alors que, considérés isolément ou par groupes de 5 ou 10, ils frappent par leur valeur générale ; double aspect constant qui définit les Conférences comme connaissance (et) pratique : acte créateur d'un être conscient, libre en soi.Conférences psychanalytiques à l'usage des malades prononcées au sanatorium de Baden-Baden : Conférences 41 à 80. 30 mai 1917- 20 mars 1918 [texte imprimé] / Georg Groddeck, Auteur . - Editions Champ Libre, 1979 . - 426 pages.
ISSN : 285841092
Langues : Français (fre)
Sommaire : Quarante et unième conférence, le 30 mai 1917, 9
Quarante-deuxième conférence, le 6 juin 1917, 21
Quarante-cinquième conférence, le 27 juin 1917, 32
Quarante-sixième conférence, le 11 juillet 1917, 43
Quarante-septième conférence, le 18 juillet 1917, 55
Quarante-huitième conférence, le 25 juillet 1917, 67
Quarante-neuvième conférence, le 1er août 1917, 76
Cinquantième conférence, le 8 août 1917, 89
Cinquante et unième conférence, le 15 août 1917, 102
Cinquante-deuxième conférence, le 22 août 1917, 114
Cinquante-troisième conférence, le 29 août 1917, 125
Cinquante-quatrième conférence, le 5 septembre 1917, 136
Cinquante-cinquième conférence, le 12 septembre 1917, 148
Cinquante-sixième conférence, le 19 septembre 1917, 161
Cinquante-septième conférence, le 26 septembre 1917, 174
Cinquante-huitième conférence, le 3 octobre 1917, 186
Cinquante-neuvième conférence, le 10 octobre 1917, 198
Soixantième conférence, le 17 octobre 1917, 209
Soixante et unième conférence, le 24 octobre 1917, 221
Soixante-deuxième conférence, le 31 octobre 1917, 233
Soixante-troisième conférence, le 7 novembre 1917, 245
Soixante-quatrième conférence, le 14 novembre 1917, 257
Soixante-cinquième conférence, le 21 novembre 1917, 267
Soixante-sixième conférence, le 28 novembre 1917, 276
Soixante-septième conférence, le 5 décembre 1917, 287
Soixante-huitième conférence, le 12 décembre 1917, 297
Soixante-neuvième conférence, le 2 janvier 1918, 308
Soixante-dixième conférence, le 9 janvier 1918, 318
Soixante et onzième conférence, le 16 janvier 1918, 329
Soixante-douzième conférence, le 23 janvier 1918, 340
Soixante-treizième conférence, le 30 janvier 1918, 350
Soixante-quatorzième conférence, le 6 février 1918, 358
Soixante-quinzième conférence, le 13 février 1918, 367
Soixante-seizième conférence, 1e 20 février 1918, 378
Soixante-dix-septièrne conférence, le 27 février 1918, 388
Soixante-dix-huitième conférence, le 6 mars 1918, 398
Soixante-dix-neuvième conférence, le 13 mars 1918, 406
Quatre-vingtième conférence, le 20 mars 1918, 4124° de Couverture : Groddeck a tenu ces Conférences psychanalytiques – 115 au total – dans son sanatorium de Baden-Baden, entre 1916 et 1919. Les textes, restés inédits jusqu'à ce jour, sont le compte rendu dactylographique des séances ; et la traduction française constitue leur première édition.
Les Conférences étaient destinées aux patients du sanatorium et faisaient partie du traitement de Groddeck. Leur fonction est à la fois didactique et thérapeutique : elles doivent traiter le malade en lui faisant assimiler les principes de la psychosomatique groddeckienne, qu'elles formulent ; à savoir : toute maladie, organique et non pas seulement nerveuse, a un sens déterminé qui, s'il est découvert, donne prise sur la maladie. (Les patients de Groddeck, il faut y insister, étaient tous des malades organiques et non pas des « névrosés » ; et Groddeck était non pas psychiatre mais médecin généraliste.)
Le but premier des Conférences est d'amener le malade à reconnaître que sa maladie possède un sens — joue un rôle dans l'organisation de sa vie —, pour qu'il ne la considère plus comme un hasard dénué de sens contre lequel il n'y aurait pas d'autre attitude possible qu'une réaction purement extérieure, mécanique et passive. La maladie est une expression de la vie, qui demande à être prise justement en considération : avec laquelle il est possible de « traiter ».
Les Conférences, qui sont antérieures au Livre du ça (1923), représentent, en fait, l'acte de naissance de la psychosomatique groddeckienne, qui s'est constituée après la découverte et l'acceptation de la psychanalyse par Groddeck ; celle-ci venant confirmer l'intuition qu'il avait du sens de la maladie, en indiquant que ce sens est inconscient – refoulé en pratique – et qu'il doit être dégagé par interprétation, exactement comme le sens d'un rêve ; les maladies pouvant se définir comme les rêves organiques de l'être humain.
En intégrant la psychanalyse freudienne au postulat groddeckien du sens de la maladie, les Conférences articulent véritablement une technique nouvelle de traitement : elles montrent comment Groddeck s'y prenait en réalité avec le malade et sa maladie, et sont un double exercice : d'information du malade et de formation du médecin, Groddeck en l'occurrence, pour qui elles sont une synthèse de ses idées dans leur rapport avec les concepts clés de la psychanalyse : l'inconscient, la résistance et le transfert.
Les Conférences constituent la somme groddeckienne : séminaire, mais aussi
laboratoire, d'où sont issus tous les textes ultérieurs : ainsi, le Livre du ça, formulé
en abrégé dans les dernières conférences. Et si Groddeck, malgré une intention plusieurs fois déclarée, n'a pas publié les Conférences de son vivant, c'est, d'une part, comme il l'écrivait à Freud, qu'il ne se souciait pas d'avoir des disciples, mais aussi, et surtout, que, pris dans leur ensemble, les textes se découvrent trop immédiatement personnels, comme la consignation d'une rigoureuse analyse, ou expérience, de soi ; alors que, considérés isolément ou par groupes de 5 ou 10, ils frappent par leur valeur générale ; double aspect constant qui définit les Conférences comme connaissance (et) pratique : acte créateur d'un être conscient, libre en soi.Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 101000 AUTR Livre Etagères de la Maison de la psychanalyse Autres auteurs (AUTR) Exclu du prêt