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Canguilhem et les normes / Guillaume Le Blanc
Titre : Canguilhem et les normes Type de document : texte imprimé Auteurs : Guillaume Le Blanc, Auteur Editeur : Presses universitaires de France (PUF) Année de publication : 1998 Collection : Philosophies Importance : 138 pages ISBN/ISSN/EAN : 978-2-13-049124-8 Langues : Français (fre) Sommaire :
INTRODUCTION, 5
PHILOSOPHIE ET NORME, 13
Réflexion et problème, 13
Normes et philosophie, 16
La figure du philosophe-professeur, 22
LA VIE À L'ÉPREUVE DE LA MALADIE, 28
La maladie comme expérience, 28
Maladie et comportement, 39
Science et technique, 42
Problème scientifique et valeur idéologique, 47
La normativité vitale, 52
Vie et mort : l'expérience de la précarité, 59
L'homme normal, l'homme anormal et l'homme moyen, 62
La vie malade : expérience de la précarité (suite), 71
L'INVENTION DU SUJET ENTRE NORMES SOCIALES ET NORMES VITALES, 78
Normalisation, 78
Errance, 89
Les formes-sujet, 98
-L'invention subjective et le travail, 98
-La subjectivation éthique et la médecine, 101
UNE CERTAINE IDÉE DE LA SCIENCE : ERREUR ET HISTOIRE, 107
Erreur et science, 107
Le concept, 112
Histoire des normes : vers une épistémologie philosophique, 116
CONCLUSION, 125
BIBLIOGRAPHIE SÉLECTIVE, 127
4° de Couverture :
Pendant longtemps, Canguilhem fut considéré non seulement comme un grand historien des sciences mais aussi, à la suite de Bachelard, comme le philosophe de la rationalité épistémologique. Or les questions de la maladie et de la santé, développées dès 1943, présupposent, au fondement d'une telle rationalité, une philosophie première dont dépend l'épistémologie critique. Cette philosophie réside dans la relation construite par Canguilhem entre vie et norme d'une part, vie et connaissance d'autre part. La vie est création de normes, il n'y a pas une normalité, vitale ou sociale, mais des formes de vie multiples, déterminées et comprises à divers titres par l'appartenance des individus à une société. Comment la critique d'une normalité unique permet-elle d'aboutir à une reformulation philosophique de l'être-en-vie, tant biologique que social, c'est l'entreprise souveraine qui commande le livre de Canguilhem, sans cesse repris et remanié, Le normal et le pathologique dont nous proposons la relecture.
Canguilhem et les normes [texte imprimé] / Guillaume Le Blanc, Auteur . - Presses universitaires de France (PUF), 1998 . - 138 pages. - (Philosophies) .
ISBN : 978-2-13-049124-8
Langues : Français (fre)
Sommaire :
INTRODUCTION, 5
PHILOSOPHIE ET NORME, 13
Réflexion et problème, 13
Normes et philosophie, 16
La figure du philosophe-professeur, 22
LA VIE À L'ÉPREUVE DE LA MALADIE, 28
La maladie comme expérience, 28
Maladie et comportement, 39
Science et technique, 42
Problème scientifique et valeur idéologique, 47
La normativité vitale, 52
Vie et mort : l'expérience de la précarité, 59
L'homme normal, l'homme anormal et l'homme moyen, 62
La vie malade : expérience de la précarité (suite), 71
L'INVENTION DU SUJET ENTRE NORMES SOCIALES ET NORMES VITALES, 78
Normalisation, 78
Errance, 89
Les formes-sujet, 98
-L'invention subjective et le travail, 98
-La subjectivation éthique et la médecine, 101
UNE CERTAINE IDÉE DE LA SCIENCE : ERREUR ET HISTOIRE, 107
Erreur et science, 107
Le concept, 112
Histoire des normes : vers une épistémologie philosophique, 116
CONCLUSION, 125
BIBLIOGRAPHIE SÉLECTIVE, 127
4° de Couverture :
Pendant longtemps, Canguilhem fut considéré non seulement comme un grand historien des sciences mais aussi, à la suite de Bachelard, comme le philosophe de la rationalité épistémologique. Or les questions de la maladie et de la santé, développées dès 1943, présupposent, au fondement d'une telle rationalité, une philosophie première dont dépend l'épistémologie critique. Cette philosophie réside dans la relation construite par Canguilhem entre vie et norme d'une part, vie et connaissance d'autre part. La vie est création de normes, il n'y a pas une normalité, vitale ou sociale, mais des formes de vie multiples, déterminées et comprises à divers titres par l'appartenance des individus à une société. Comment la critique d'une normalité unique permet-elle d'aboutir à une reformulation philosophique de l'être-en-vie, tant biologique que social, c'est l'entreprise souveraine qui commande le livre de Canguilhem, sans cesse repris et remanié, Le normal et le pathologique dont nous proposons la relecture.
Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 103405 AUTR Livre Etagères de la Maison de la psychanalyse Autres auteurs (AUTR) Exclu du prêt Rousseau, L'énigme du sexe / Yves Vargas
Titre : Rousseau, L'énigme du sexe Type de document : texte imprimé Auteurs : Yves Vargas, Auteur Editeur : Presses universitaires de France (PUF) Année de publication : 1997 Collection : Philosophies Importance : 130 pages ISBN/ISSN/EAN : 213486584 Langues : Français (fre) Sommaire :
Introduction, 5
REPÉRAGE DES PRINCIPAUX THÈMES
La différence des sexes, 7
Avant la famille, 7 ; En famille, 9 ; Séparation des sexes, 10
Les femmes, 12
Corruptrices des mœurs, 12 ; Rédemptrices des mœurs, 13
Famille, mariage, 15
De la famille au mariage, 15 ; Mariage et politique, 17
L'amour, 19
Le physique et le moral de l'amour, 19 ; Le langage 20 ; Le dégoût, 21 ; La jalousie, 21
L'inceste, 22
Théorie, 22 ; Fantasmes, 23
L'homosexualité, 24
La chasteté, 26
Les perversions, 27
Le libertinage, 27 ; La masturbation, 29 ; L'exhibitionnisme, 30
ÉVEIL SEXUEL ET « DESTINATION » SOCIALE
La perfectibilité, 31
Perfectibilité et sociabilité, 32 ; Les premières solutions, 34
Éveil et désœuvrement sexuels, 36
L'œuvre du sexuel, 39
L'amitié, 39 ; La pitié, 39 ; La reconnaissance, 39 ; La conscience morale, 40 ; La loi, 42 ; Les goûts et les manières, 42
LA CAUSALITÉ ÉNIGMATIQUE
Le finalisme, 45
La dualité causale, 45 ; Les « semences de l'humanité », 48
L'âme et le corps, 51
Corps physique et âme, 52 ; Des sens à l'imagination, 53 ; De l'imagination aux sens, 54
De l’instinct à l’amour, 56
Amour et idéal féminin, 56 ; « Parlez-lui des femmes de plaisirs », 58 ; Finalisme, discontinuité, récurrence, 60
Une causalité insaisissable ? , 61
LA « SEXUALISATION » DE L'HISTOIRE HUMAINE
Espèce et individu, 65
Parallélisme entre Émile et le second Discours, 65 ; Divergences, 66
Émile et l’Essai sur l'origine des langues, 68
La famille environnante, 68 ; La pitié, 70 ; De l'amitié à la chasse, 72 ; Les goûts et les manières, 74 ; La politique ajournée, 76
LA FEMME EST RELATIVE À L'HOMME
La femme dans l'histoire de l'espèce, 80
Féminité et finalité, 83
La femme transtemporelle, 84 ; La faible femme, 86 ; La femme rusée, 87 ; La femme rêvée, 88 ; Vice et vertu, 90
Jean(ne)-Jacque(line) Rousseau ? , 91
La femme hors de l'État, 93
Femme soumise..., 93 ; ... et peuple indomptable, 95 ; Le mariage disjoncté, 97
CONCLUSION SUR QUELQUES PROBLÈMES
L'âme a-t-elle un sexe ?, 99
Faut-il avoir peur des femmes ?, 101
Les jeux du besoin et du hasard, 102
Textes, 105
Bibliographie élémentaire, 121
4° de Couverture :
Le thème de la sexualité est présent dans l'œuvre de Rousseau de façon insistante, qu'il s'agisse de donner à l'amour et à la jalousie la charge d'engendrer les premiers liens sociaux et
langagiers, d'imposer à la vertu la tâche de surmonter les désirs, de justifier la domination des hommes sur les femmes, ou même de confesser impudiquement quelques manies et fantasmes érotiques. Mais ce thème paraît d'abord marginal et décoratif, lié surtout au caractère passionné et romanesque de l'auteur, voire à son exhibitionnisme morbide.
L'étude présente établit au contraire le statut théorique de la sexualité, sa fonction explicative à l'intérieur de la philosophie de Rousseau. Il apparaît, en effet, que le philosophe conçoit
une nouvelle forme de causalité à partir de la réflexion qu'il mène sur la révolution pubertaire de l'adolescent et sur la psychologie féminine, dans les Livres IV et V l'Émile. Cette nouvelle conception associe le mécanisme et le finalisme, et propose la figure d'une causalité énigmatique. Mais cette causalité nouvelle ne se borne pas à expliquer les émois du désir humain, elle concerne l'humanité dans son histoire et devient le modèle du passage de la nature à la civilité ; du coup, la
« misogynie » rousseauiste prend une dimension inattendue car c'est au nom de sa différence insurmontable (y compris ses vices incorrigibles) que la femme devient l'avenir de l'homme, chargée de la mission d'humaniser l'humanité.
Rousseau, L'énigme du sexe [texte imprimé] / Yves Vargas, Auteur . - Presses universitaires de France (PUF), 1997 . - 130 pages. - (Philosophies) .
ISSN : 213486584
Langues : Français (fre)
Sommaire :
Introduction, 5
REPÉRAGE DES PRINCIPAUX THÈMES
La différence des sexes, 7
Avant la famille, 7 ; En famille, 9 ; Séparation des sexes, 10
Les femmes, 12
Corruptrices des mœurs, 12 ; Rédemptrices des mœurs, 13
Famille, mariage, 15
De la famille au mariage, 15 ; Mariage et politique, 17
L'amour, 19
Le physique et le moral de l'amour, 19 ; Le langage 20 ; Le dégoût, 21 ; La jalousie, 21
L'inceste, 22
Théorie, 22 ; Fantasmes, 23
L'homosexualité, 24
La chasteté, 26
Les perversions, 27
Le libertinage, 27 ; La masturbation, 29 ; L'exhibitionnisme, 30
ÉVEIL SEXUEL ET « DESTINATION » SOCIALE
La perfectibilité, 31
Perfectibilité et sociabilité, 32 ; Les premières solutions, 34
Éveil et désœuvrement sexuels, 36
L'œuvre du sexuel, 39
L'amitié, 39 ; La pitié, 39 ; La reconnaissance, 39 ; La conscience morale, 40 ; La loi, 42 ; Les goûts et les manières, 42
LA CAUSALITÉ ÉNIGMATIQUE
Le finalisme, 45
La dualité causale, 45 ; Les « semences de l'humanité », 48
L'âme et le corps, 51
Corps physique et âme, 52 ; Des sens à l'imagination, 53 ; De l'imagination aux sens, 54
De l’instinct à l’amour, 56
Amour et idéal féminin, 56 ; « Parlez-lui des femmes de plaisirs », 58 ; Finalisme, discontinuité, récurrence, 60
Une causalité insaisissable ? , 61
LA « SEXUALISATION » DE L'HISTOIRE HUMAINE
Espèce et individu, 65
Parallélisme entre Émile et le second Discours, 65 ; Divergences, 66
Émile et l’Essai sur l'origine des langues, 68
La famille environnante, 68 ; La pitié, 70 ; De l'amitié à la chasse, 72 ; Les goûts et les manières, 74 ; La politique ajournée, 76
LA FEMME EST RELATIVE À L'HOMME
La femme dans l'histoire de l'espèce, 80
Féminité et finalité, 83
La femme transtemporelle, 84 ; La faible femme, 86 ; La femme rusée, 87 ; La femme rêvée, 88 ; Vice et vertu, 90
Jean(ne)-Jacque(line) Rousseau ? , 91
La femme hors de l'État, 93
Femme soumise..., 93 ; ... et peuple indomptable, 95 ; Le mariage disjoncté, 97
CONCLUSION SUR QUELQUES PROBLÈMES
L'âme a-t-elle un sexe ?, 99
Faut-il avoir peur des femmes ?, 101
Les jeux du besoin et du hasard, 102
Textes, 105
Bibliographie élémentaire, 121
4° de Couverture :
Le thème de la sexualité est présent dans l'œuvre de Rousseau de façon insistante, qu'il s'agisse de donner à l'amour et à la jalousie la charge d'engendrer les premiers liens sociaux et
langagiers, d'imposer à la vertu la tâche de surmonter les désirs, de justifier la domination des hommes sur les femmes, ou même de confesser impudiquement quelques manies et fantasmes érotiques. Mais ce thème paraît d'abord marginal et décoratif, lié surtout au caractère passionné et romanesque de l'auteur, voire à son exhibitionnisme morbide.
L'étude présente établit au contraire le statut théorique de la sexualité, sa fonction explicative à l'intérieur de la philosophie de Rousseau. Il apparaît, en effet, que le philosophe conçoit
une nouvelle forme de causalité à partir de la réflexion qu'il mène sur la révolution pubertaire de l'adolescent et sur la psychologie féminine, dans les Livres IV et V l'Émile. Cette nouvelle conception associe le mécanisme et le finalisme, et propose la figure d'une causalité énigmatique. Mais cette causalité nouvelle ne se borne pas à expliquer les émois du désir humain, elle concerne l'humanité dans son histoire et devient le modèle du passage de la nature à la civilité ; du coup, la
« misogynie » rousseauiste prend une dimension inattendue car c'est au nom de sa différence insurmontable (y compris ses vices incorrigibles) que la femme devient l'avenir de l'homme, chargée de la mission d'humaniser l'humanité.
Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 103854 AUTR Livre Etagères de la Maison de la psychanalyse Autres auteurs (AUTR) Exclu du prêt Wittgenstein / Grahame Lock
Titre : Wittgenstein : Philosophie, logique, thérapeutique Type de document : texte imprimé Auteurs : Grahame Lock, Auteur Editeur : Presses universitaires de France (PUF) Année de publication : 1992 Collection : Philosophies num. 36 Importance : 130 pages ISBN/ISSN/EAN : 978-2-13-044308-7 Langues : Français (fre) Langues originales : Anglais (eng) Sommaire : Préface, 5
L'idée fondamentale du Tractatus
- Wittgenstein, Russell et les constantes logiques, 8
- Une Vérité logique « se fait », 15
- La forme générale de la proposition, 28
- L’objet est simple, 33
La logique et les limites de la pensée
- Logique et forme du monde, 42
- Dire et faire voir, 54
- Logique et philosophie, 62
Secondes pensées
- Propositions atomiques et systèmes de propositions, 67
- Le rôle de la philosophie, 73
Intermède : Wittgenstein et la phénoménologie
- Wittgenstein et Husserl, 75
- Le concept de sujet, 88
Les « Investigations philosophiques »
- Langage réel et idéal, 91
- Jeux et ressemblances, 93
- Sensations et « langage privé », 99
- La « lutte contre le langage », 108
Philosophie et thérapeutique
- Ce que la philosophie n’est pas, 110
- Explication, 112
- Thérapeutique, 1184° de Couverture : Ce livre a pour seule ambition de faire comprendre quelque chose de la pensée de Ludwig Wittgenstein et de sa conception de la tâche de la philosophie conçue comme une « thérapie » censée guérir certaines « maladies de l’esprit ».
Le fait que Wittgenstein soit venu à la philosophie par le biais de réflexions sur la logique et les mathématiques est important à cet égard. Mais ce même Wittgenstein, ami de Bertrand Russell et de John Maynard Keynes, professeurs à l’Université de Cambridge, ne fut pourtant jamais un universitaire typique. Qui plus est, sa pensée ne cadre point avec les théories et les problématiques caractéristiques de la philosophie contemporaine. Cela n’aurait d’ailleurs guère étonné Wittgenstein lui-même, qui se moquait des modes et des vogues intellectuelles, qui tenait notre siècle de progrès pour un âge de l’Unkultur et qui ne rédigeait ses pensées que « pour quelques amis dispersés aux quatre coins du monde ».Wittgenstein : Philosophie, logique, thérapeutique [texte imprimé] / Grahame Lock, Auteur . - Presses universitaires de France (PUF), 1992 . - 130 pages. - (Philosophies; 36) .
ISBN : 978-2-13-044308-7
Langues : Français (fre) Langues originales : Anglais (eng)
Sommaire : Préface, 5
L'idée fondamentale du Tractatus
- Wittgenstein, Russell et les constantes logiques, 8
- Une Vérité logique « se fait », 15
- La forme générale de la proposition, 28
- L’objet est simple, 33
La logique et les limites de la pensée
- Logique et forme du monde, 42
- Dire et faire voir, 54
- Logique et philosophie, 62
Secondes pensées
- Propositions atomiques et systèmes de propositions, 67
- Le rôle de la philosophie, 73
Intermède : Wittgenstein et la phénoménologie
- Wittgenstein et Husserl, 75
- Le concept de sujet, 88
Les « Investigations philosophiques »
- Langage réel et idéal, 91
- Jeux et ressemblances, 93
- Sensations et « langage privé », 99
- La « lutte contre le langage », 108
Philosophie et thérapeutique
- Ce que la philosophie n’est pas, 110
- Explication, 112
- Thérapeutique, 1184° de Couverture : Ce livre a pour seule ambition de faire comprendre quelque chose de la pensée de Ludwig Wittgenstein et de sa conception de la tâche de la philosophie conçue comme une « thérapie » censée guérir certaines « maladies de l’esprit ».
Le fait que Wittgenstein soit venu à la philosophie par le biais de réflexions sur la logique et les mathématiques est important à cet égard. Mais ce même Wittgenstein, ami de Bertrand Russell et de John Maynard Keynes, professeurs à l’Université de Cambridge, ne fut pourtant jamais un universitaire typique. Qui plus est, sa pensée ne cadre point avec les théories et les problématiques caractéristiques de la philosophie contemporaine. Cela n’aurait d’ailleurs guère étonné Wittgenstein lui-même, qui se moquait des modes et des vogues intellectuelles, qui tenait notre siècle de progrès pour un âge de l’Unkultur et qui ne rédigeait ses pensées que « pour quelques amis dispersés aux quatre coins du monde ».Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 100248 AUTR Livre Etagères de la Maison de la psychanalyse Autres auteurs (AUTR) Exclu du prêt