Titre : |
Freud, mon père |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Martin Freud, Auteur |
Editeur : |
Denoël |
Année de publication : |
1975 |
Collection : |
Freud et son temps |
Importance : |
308 pages |
Langues : |
Français (fre) |
Sommaire : |
Préface de Jacques Trilling, I
Présentation par Marie Bonaparte, XVIII
Chapitre I, 7
Chapitre II, 19
Chapitre III, 31
Chapitre IV, 52
Chapitre V, 60
Chapitre VI, 82
Chapitre VII, 87
Chapitre VIII, 92
Chapitre IX, 104
Chapitre X, 117
Chapitre XI, 124
Chapitre XII, 129
Chapitre XIII, 136
Chapitre XIV, 144
Chapitre XV, 149
Chapitre XVI, 154
Chapitre XVII, 165
Chapitre XVIII, 179
Chapitre XIX, 185
Chapitre XX, 192
Chapitre XXI, 197
Chapitre XXII, 207
Chapitre XXIII, 210
Chapitre XXIV, 216
Chapitre XXV, 222
Chapitre XXVI, 231
Chapitre XXVII, 240
Chapitre XXVIII, 246
Chapitre XXIX, 254
Chapitre XXX, 265
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4° de Couverture : |
La psychanalyse a une histoire vieille de plus d'un demi-siècle ; histoire assez courte pour qu'il reste possible d'en préciser les origines, assez longue et peu connue pour qu'il soit tentant d'en éclairer les obscurités. C'est dans cette ligne que s'inscrit la présente collection centrée plus particulièrement sur le temps de Freud.
En rassemblant des travaux psychanalytiques parfois injustement méconnus, des écrits sur la psychanalyse ou les psychanalystes, sans exclure des œuvres littéraires se rapportant au courant de pensée analytique, elle souhaite contribuer à préciser les conditions dans lesquelles s'est développée la psychanalyse, à mieux la situer dans son cadre d'origine.
Freud, mon père
En 1956, au moment du centenaire de Sigmund Freud, Martin, son fils aîné, réalisant un projet ancien, écrit un livre à la mémoire de son père.
"Je sais quelque chose de la psychanalyse, et je crois fermement à la solidité des théories de mon père, mais je ne me sens pas appelé à les exposer ici. Le Sigmund Freud dont je veux vous parler... est mon père, un homme gai et libéral dans son cercle de famille". Portrait intime d'un grand homme, donc, soumis aux aléas du genre. Le trait du pinceau souvent fin et charmant, et plein de respect, n'a pas le talent que mettrait le peintre à la hauteur de son modèle, ou de la représentation que nous en avons. Mais aussi portrait d’un père célèbre par son fils illustrant les problèmes habituels d'une telle ascendance, problèmes que redouble cette fois l'ignorance, la dénégation ou le refoulement par le fils des théories du père concernant la paternité et l'origine.
Ainsi, le texte précieux par les informations qu'il apporte ou confirme tout en leur apportant un éclairage particulier, donne-t-il lieu à son insu à une lecture qui va au-delà des anecdotes familiales ou personnelles. A ce titre, il touche de près les psychanalystes héritiers de Freud et vient pour tous soutenir à sa façon l’interrogation portée après Freud sur la filiation.
L'auteur :
Martin Freud, fils aîné du fondateur de la psychanalyse, est né en 1889. Il vécut à Vienne dans l'entourage proche de son père jusqu'en 1938, et émigra avec lui en Angleterre où il demeura jusqu'à sa mort en 1967. Avocat en Autriche, et chargé parallèlement pendant quelque 10 ans de l'administration et de la gestion de l'Internazionale psychoanalytische Verlag créée par son père, il exerça en Angleterre plusieurs métiers avant de s'établir à Londres dans un commerce de tabac et sucreries, non loin du British Muséum. Toujours attiré par l'écriture - son père
attachait du prix à ses poèmes d'enfant - il publia en 1939 un récit Parole d'honneur, avant ce livre-ci qui parut à New-York en 1958. Martin Freud avait deux enfants, un fils vivant près de Londres, une fille aux Etats-Unis.
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Freud, mon père [texte imprimé] / Martin Freud, Auteur . - Denoël, 1975 . - 308 pages. - ( Freud et son temps) . Langues : Français ( fre)
Sommaire : |
Préface de Jacques Trilling, I
Présentation par Marie Bonaparte, XVIII
Chapitre I, 7
Chapitre II, 19
Chapitre III, 31
Chapitre IV, 52
Chapitre V, 60
Chapitre VI, 82
Chapitre VII, 87
Chapitre VIII, 92
Chapitre IX, 104
Chapitre X, 117
Chapitre XI, 124
Chapitre XII, 129
Chapitre XIII, 136
Chapitre XIV, 144
Chapitre XV, 149
Chapitre XVI, 154
Chapitre XVII, 165
Chapitre XVIII, 179
Chapitre XIX, 185
Chapitre XX, 192
Chapitre XXI, 197
Chapitre XXII, 207
Chapitre XXIII, 210
Chapitre XXIV, 216
Chapitre XXV, 222
Chapitre XXVI, 231
Chapitre XXVII, 240
Chapitre XXVIII, 246
Chapitre XXIX, 254
Chapitre XXX, 265
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4° de Couverture : |
La psychanalyse a une histoire vieille de plus d'un demi-siècle ; histoire assez courte pour qu'il reste possible d'en préciser les origines, assez longue et peu connue pour qu'il soit tentant d'en éclairer les obscurités. C'est dans cette ligne que s'inscrit la présente collection centrée plus particulièrement sur le temps de Freud.
En rassemblant des travaux psychanalytiques parfois injustement méconnus, des écrits sur la psychanalyse ou les psychanalystes, sans exclure des œuvres littéraires se rapportant au courant de pensée analytique, elle souhaite contribuer à préciser les conditions dans lesquelles s'est développée la psychanalyse, à mieux la situer dans son cadre d'origine.
Freud, mon père
En 1956, au moment du centenaire de Sigmund Freud, Martin, son fils aîné, réalisant un projet ancien, écrit un livre à la mémoire de son père.
"Je sais quelque chose de la psychanalyse, et je crois fermement à la solidité des théories de mon père, mais je ne me sens pas appelé à les exposer ici. Le Sigmund Freud dont je veux vous parler... est mon père, un homme gai et libéral dans son cercle de famille". Portrait intime d'un grand homme, donc, soumis aux aléas du genre. Le trait du pinceau souvent fin et charmant, et plein de respect, n'a pas le talent que mettrait le peintre à la hauteur de son modèle, ou de la représentation que nous en avons. Mais aussi portrait d’un père célèbre par son fils illustrant les problèmes habituels d'une telle ascendance, problèmes que redouble cette fois l'ignorance, la dénégation ou le refoulement par le fils des théories du père concernant la paternité et l'origine.
Ainsi, le texte précieux par les informations qu'il apporte ou confirme tout en leur apportant un éclairage particulier, donne-t-il lieu à son insu à une lecture qui va au-delà des anecdotes familiales ou personnelles. A ce titre, il touche de près les psychanalystes héritiers de Freud et vient pour tous soutenir à sa façon l’interrogation portée après Freud sur la filiation.
L'auteur :
Martin Freud, fils aîné du fondateur de la psychanalyse, est né en 1889. Il vécut à Vienne dans l'entourage proche de son père jusqu'en 1938, et émigra avec lui en Angleterre où il demeura jusqu'à sa mort en 1967. Avocat en Autriche, et chargé parallèlement pendant quelque 10 ans de l'administration et de la gestion de l'Internazionale psychoanalytische Verlag créée par son père, il exerça en Angleterre plusieurs métiers avant de s'établir à Londres dans un commerce de tabac et sucreries, non loin du British Muséum. Toujours attiré par l'écriture - son père
attachait du prix à ses poèmes d'enfant - il publia en 1939 un récit Parole d'honneur, avant ce livre-ci qui parut à New-York en 1958. Martin Freud avait deux enfants, un fils vivant près de Londres, une fille aux Etats-Unis.
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