Titre : |
Mon analyse avec le Professeur Freud : sous la direction d'Anna Koellreuter |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Anna G., Auteur |
Editeur : |
Aubier |
Collection : |
Psychanalyse |
Importance : |
368 pages |
ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-7007-0405-1 |
Langues : |
Français (fre) |
Sommaire : |
Anna Koellreuter, Introduction, 7
Anna Koellreuter, Patiente chez Freud en 1921. Journal intime d'une analysante, 19
LE JOURNAL
Édité par Ernst Falzeder
Premier cahier, 45
Deuxième cahier, 73
CONTRIBUTIONS
Karl Fallend, « Le Professeur Freud demande de la tolérance ! » Et : Des points de suspension qui ont agité le divan et la politique, 87
Thomas Aichhorn, « J'étais dans mon lit. Freud était là aussi. » - Quelques remarques sur le journal d'Anna G., 111
John Forrester, La névrose de transfert mouvementée d'Anna G. - Sur l’usage et l’abus de l'abstinence, 139
MON ANALYSE AVEC LE PROFESSEUR FREUD
Pierre Passett, Freud observé pendant l'interprétation : d'une Vemünfligkeit spécifique dans le dialogue psychanalytique, 163
Ernst Faldezer, Freud analyste et thérapeute, 201
Juliet Mitchell, Anna G. : Fragment d'un autre cas de petite hystérie, 223
André Haynal, Notes et questions adressées à Freud et à Anna G. à propos du « Cas Anna G. », 251
Ulrike May, Freud travaillait autrement. Remarques sur le journal de l'analyse d'Anna G., 265
August Ruhs, « Je bats un enfant ». Quelques remarques sur le cas d'Anna G., 295
Remerciements, 323
Bibliographie, 325
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4° de Couverture : |
Ouvrage édité sous la direction d'Anna Koellreuter
Vienne, 26 avril 1921, dans le cabinet du professeur Freud. Allongée sur le divan, Anna G. lui déclare : « Je vous aime d'une façon si indescriptible, comme jamais auparavant je n'ai aimé quelqu'un. » Cette jeune femme de vingt-sept ans est entrée en analyse il y a un mois. Elle a quitté Zurich pour la capitale autrichienne, laissant derrière elle son fiancé, sa famille et le Burghölzli, la clinique où elle exerce le métier de psychiatre. Après sept ans de fiançailles vécues dans l'ambivalence et le doute, son mariage est annoncé pour l'automne. Cependant, Anna G. continue d'hésiter.
La découverte posthume de deux cahiers d'écolier, dont Anna G. n'avait jamais parlé et qu'elle ne destinait pas à la publication, jette une lumière inattendue sur Freud : une partie des séances et des propos échangés y sont consignés. A l'écoute des rêves, des associations, des fantasmes sexuels de son analysante, Freud, alors en pleine maturité, explique, interprète, provoque, sonde. Et il évoque ses propres théories : le complexe d'Œdipe, le transfert, le cas Dora, le fantasme de l'enfant battu (que sa fille, prénommée Anna elle aussi, lui a inspiré)...
La petite-fille d'Anna G., Anna Koellreuter, docteur en philosophie et analyste à Zurich, a dirigé l'édition de cet ouvrage, paru en 2009 en Allemagne. Elle a convié des historiens et des psychanalystes allemands et anglo-saxons à réagir à ce document exceptionnel, témoignage aussi de la façon dont une jeune femme peut, par l'analyse, sortir d’une souffrance affective et se découvrir un nouveau destin.
Traduit de l'allemand par Jean-Claude Capèle
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Mon analyse avec le Professeur Freud : sous la direction d'Anna Koellreuter [texte imprimé] / Anna G., Auteur . - Aubier, [s.d.] . - 368 pages. - ( Psychanalyse) . ISBN : 978-2-7007-0405-1 Langues : Français ( fre)
Sommaire : |
Anna Koellreuter, Introduction, 7
Anna Koellreuter, Patiente chez Freud en 1921. Journal intime d'une analysante, 19
LE JOURNAL
Édité par Ernst Falzeder
Premier cahier, 45
Deuxième cahier, 73
CONTRIBUTIONS
Karl Fallend, « Le Professeur Freud demande de la tolérance ! » Et : Des points de suspension qui ont agité le divan et la politique, 87
Thomas Aichhorn, « J'étais dans mon lit. Freud était là aussi. » - Quelques remarques sur le journal d'Anna G., 111
John Forrester, La névrose de transfert mouvementée d'Anna G. - Sur l’usage et l’abus de l'abstinence, 139
MON ANALYSE AVEC LE PROFESSEUR FREUD
Pierre Passett, Freud observé pendant l'interprétation : d'une Vemünfligkeit spécifique dans le dialogue psychanalytique, 163
Ernst Faldezer, Freud analyste et thérapeute, 201
Juliet Mitchell, Anna G. : Fragment d'un autre cas de petite hystérie, 223
André Haynal, Notes et questions adressées à Freud et à Anna G. à propos du « Cas Anna G. », 251
Ulrike May, Freud travaillait autrement. Remarques sur le journal de l'analyse d'Anna G., 265
August Ruhs, « Je bats un enfant ». Quelques remarques sur le cas d'Anna G., 295
Remerciements, 323
Bibliographie, 325
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4° de Couverture : |
Ouvrage édité sous la direction d'Anna Koellreuter
Vienne, 26 avril 1921, dans le cabinet du professeur Freud. Allongée sur le divan, Anna G. lui déclare : « Je vous aime d'une façon si indescriptible, comme jamais auparavant je n'ai aimé quelqu'un. » Cette jeune femme de vingt-sept ans est entrée en analyse il y a un mois. Elle a quitté Zurich pour la capitale autrichienne, laissant derrière elle son fiancé, sa famille et le Burghölzli, la clinique où elle exerce le métier de psychiatre. Après sept ans de fiançailles vécues dans l'ambivalence et le doute, son mariage est annoncé pour l'automne. Cependant, Anna G. continue d'hésiter.
La découverte posthume de deux cahiers d'écolier, dont Anna G. n'avait jamais parlé et qu'elle ne destinait pas à la publication, jette une lumière inattendue sur Freud : une partie des séances et des propos échangés y sont consignés. A l'écoute des rêves, des associations, des fantasmes sexuels de son analysante, Freud, alors en pleine maturité, explique, interprète, provoque, sonde. Et il évoque ses propres théories : le complexe d'Œdipe, le transfert, le cas Dora, le fantasme de l'enfant battu (que sa fille, prénommée Anna elle aussi, lui a inspiré)...
La petite-fille d'Anna G., Anna Koellreuter, docteur en philosophie et analyste à Zurich, a dirigé l'édition de cet ouvrage, paru en 2009 en Allemagne. Elle a convié des historiens et des psychanalystes allemands et anglo-saxons à réagir à ce document exceptionnel, témoignage aussi de la façon dont une jeune femme peut, par l'analyse, sortir d’une souffrance affective et se découvrir un nouveau destin.
Traduit de l'allemand par Jean-Claude Capèle
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