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Auteur Xavier Leconte |
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002 - Printemps 1993 - L'élangue (Bulletin de L'Unebévue) / Jean Allouch ; Christine Toutin Thélier ; George-Henri Melenotte ; Jacques Hassoun ; Guy Le Gaufey ; Mayette Viltard ; Thierry Beaufin ; Xavier Leconte ; Catherine Webern
[n° ou bulletin]
Titre : 002 - Printemps 1993 - L'élangue Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean Allouch, Auteur ; Christine Toutin Thélier, Auteur ; George-Henri Melenotte, Auteur ; Jacques Hassoun, Auteur ; Guy Le Gaufey, Auteur ; Mayette Viltard, Auteur ; Thierry Beaufin, Auteur ; Xavier Leconte, Auteur ; Catherine Webern, Auteur Année de publication : 1993 Importance : 186 pages Langues : Français (fre) Sommaire :
Jean Allouch, Ce à quoi l'unebévue obvie, 7
La radicale mise à l'écart de l'inconscient en tant qu'instance permet que soit abordé, dans l'analyse, le problème de la conscience.
Christine Toutin-Thélier, L'émergence dans la conscience, 33
Le préconscient : est-ce une instance qui s'interpose entre conscience et inconscient, ou bien qui les unifie ?, 39
George-Henri Mélenotte, Lue et vue, 39
L'équivoque ne porte pas sur la polysémie signifiante et c'est par un glissement de la tonalité dans la modulation qu'à l'exemple des poètes chinois, l'interprétation analytique opère.
Jacques Hassoun, Lignes de fractures. Traduction et exil de la langue, 57
Fracture de la langue, la traduction produit un texte qui à la longue, tel un cal vicieux, va à rencontre de sa fonction de transmission.
Guy Le Gaufey, Bé-voir ?, 65
De bégueule, bouche bée, à bayer... aux corneilles, l'unebévue fait quelques vagues en retombant dans la langue française.
Mayette Viltard, Scilicet, 71
Quel passage d'écrit à écrit est mis en jeu dans la parole imposée ? Schreber met en cause le Créateur du Verbe et localise d'un mot le savoir des langues : scilicet.
Thierry Beaujin, Passage à fleur de lettre, 93
Tel Joyce se faisant l'âme damnée de l'homophonie, Lacan en produisant l'unebévue passe à travers la lettre de Freud, comme on dit à travers champs.
Xavier Leconte, Le naïf : un savoir sans sujet?, 103
Pas de première personne pour faire le naïf, seulement une deuxième et ure troisième. Le mot du naïf vient poser l'opération de subjectivation du savoir et le statut de la feinte.
Catherine Webern, La Bedeutung du Phallus comme pléonasme. Du réel du nombre, 117
La distinction frégéenne de Sinn et Bedeutung permet à Lacan de situer ce qu'il en est du semblant du phallus.
PRÉSENTATION DU TEXTE DE FREUD DE 1911, 133
REMARQUES PSYCHANALYTIQUES SUR UN CAS DE PARANOÏA (DEMENTIA PARANOIDES) DÉCRIT AUTOBIOGRAPHIQUEMENT.
Sommaire du Jahrbuch 1911 (I). (Schreber), 133
Schreber et le débat analytique : quelques repères chronologiques, 137
Rapport d'O. Rank sur l'intervention de Freud (supplément à Schreber) à Weimar. Zentralblatt, décembre 1911, 145
Signification de la suite des voyelles. S. Freud. Zentralblatt, décembre 1911, 146
Sommaire du Jahrbuch 1911 (II), mars 1912. (supplément à Schreber)
Le débat Freud-Jung sur le symbole, à partir de leur correspondance, 151
Le cas Schreber est devenu, entre Freud et Jung, au fil de leur correspondance, le terrain de leur débat sur la symbolique et son interprétation.
Jung parle de Schreber, 171
C'est essentiellement dans le chapitre « Démence précoce et hystérie » de son ouvrage écrit en 1906 : De la psychologie de la Dementia praecox, que Jung se réfère au délire de Schreber.
[n° ou bulletin] 002 - Printemps 1993 - L'élangue [texte imprimé] / Jean Allouch, Auteur ; Christine Toutin Thélier, Auteur ; George-Henri Melenotte, Auteur ; Jacques Hassoun, Auteur ; Guy Le Gaufey, Auteur ; Mayette Viltard, Auteur ; Thierry Beaufin, Auteur ; Xavier Leconte, Auteur ; Catherine Webern, Auteur . - 1993 . - 186 pages.
Langues : Français (fre)
Sommaire :
Jean Allouch, Ce à quoi l'unebévue obvie, 7
La radicale mise à l'écart de l'inconscient en tant qu'instance permet que soit abordé, dans l'analyse, le problème de la conscience.
Christine Toutin-Thélier, L'émergence dans la conscience, 33
Le préconscient : est-ce une instance qui s'interpose entre conscience et inconscient, ou bien qui les unifie ?, 39
George-Henri Mélenotte, Lue et vue, 39
L'équivoque ne porte pas sur la polysémie signifiante et c'est par un glissement de la tonalité dans la modulation qu'à l'exemple des poètes chinois, l'interprétation analytique opère.
Jacques Hassoun, Lignes de fractures. Traduction et exil de la langue, 57
Fracture de la langue, la traduction produit un texte qui à la longue, tel un cal vicieux, va à rencontre de sa fonction de transmission.
Guy Le Gaufey, Bé-voir ?, 65
De bégueule, bouche bée, à bayer... aux corneilles, l'unebévue fait quelques vagues en retombant dans la langue française.
Mayette Viltard, Scilicet, 71
Quel passage d'écrit à écrit est mis en jeu dans la parole imposée ? Schreber met en cause le Créateur du Verbe et localise d'un mot le savoir des langues : scilicet.
Thierry Beaujin, Passage à fleur de lettre, 93
Tel Joyce se faisant l'âme damnée de l'homophonie, Lacan en produisant l'unebévue passe à travers la lettre de Freud, comme on dit à travers champs.
Xavier Leconte, Le naïf : un savoir sans sujet?, 103
Pas de première personne pour faire le naïf, seulement une deuxième et ure troisième. Le mot du naïf vient poser l'opération de subjectivation du savoir et le statut de la feinte.
Catherine Webern, La Bedeutung du Phallus comme pléonasme. Du réel du nombre, 117
La distinction frégéenne de Sinn et Bedeutung permet à Lacan de situer ce qu'il en est du semblant du phallus.
PRÉSENTATION DU TEXTE DE FREUD DE 1911, 133
REMARQUES PSYCHANALYTIQUES SUR UN CAS DE PARANOÏA (DEMENTIA PARANOIDES) DÉCRIT AUTOBIOGRAPHIQUEMENT.
Sommaire du Jahrbuch 1911 (I). (Schreber), 133
Schreber et le débat analytique : quelques repères chronologiques, 137
Rapport d'O. Rank sur l'intervention de Freud (supplément à Schreber) à Weimar. Zentralblatt, décembre 1911, 145
Signification de la suite des voyelles. S. Freud. Zentralblatt, décembre 1911, 146
Sommaire du Jahrbuch 1911 (II), mars 1912. (supplément à Schreber)
Le débat Freud-Jung sur le symbole, à partir de leur correspondance, 151
Le cas Schreber est devenu, entre Freud et Jung, au fil de leur correspondance, le terrain de leur débat sur la symbolique et son interprétation.
Jung parle de Schreber, 171
C'est essentiellement dans le chapitre « Démence précoce et hystérie » de son ouvrage écrit en 1906 : De la psychologie de la Dementia praecox, que Jung se réfère au délire de Schreber.
Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 104528 PER1 Périodique, revue Etagères de la Maison de la psychanalyse Tous autres Périodiques (PER1) Exclu du prêt 008-009 - Printemps - été 1997 - Il n'y a pas de père symbolique (Bulletin de L'Unebévue) / Alphonse Allais ; Catherine Webern ; François Dachet ; José Attal ; Gérard Blikman ; Jean Allouch ; G.Th. Guilbaud ; Françoise Jandrot ; Jean-Paul Abribat ; Xavier Leconte ; Carl Gustav Jung
[n° ou bulletin]
Titre : 008-009 - Printemps - été 1997 - Il n'y a pas de père symbolique Type de document : texte imprimé Auteurs : Alphonse Allais, Auteur ; Catherine Webern, Auteur ; François Dachet, Auteur ; José Attal, Auteur ; Gérard Blikman, Auteur ; Jean Allouch, Auteur ; G.Th. Guilbaud, Auteur ; Françoise Jandrot, Auteur ; Jean-Paul Abribat, Auteur ; Xavier Leconte, Auteur ; Carl Gustav Jung, Auteur Année de publication : 1997 Importance : 260 pages Langues : Français (fre) Sommaire :
Alphonse Allais, Un drame bien parisien, 9
Ce n'était pas lui ! Ce n'était pas elle !
Catherine Webern, Le Dasein en objet (a), 15
Il y a un certain trouble pour qui voudrait transmettre avec Lacan que l'échec de la métaphore paternelle caractériserait la psychose. Lacan convoque à la fois Freud, Heidegger, et Descartes pour parler du sexe, ce qui, dit-il est impossible.
François Dachet, Les premiers pas... du père symbolique, 41
« Il n'y a pas de père symbolique, ne l'a-t-on pas remarqué, dans l’articulation dont j'ai différencié frustration d'une part, privation et castration de l'autre. » C'est ce que Lacan a écrit dans ses notes préparatoires à la séance du 9 juin 1971 dans son séminaire D'un discours qui ne serait pas du semblant, écrit, mais pas dit.
José Attal, « L'homme Moïse » et le nœud bo, 85
Sur le Mont Nebo, Moïse assentit à sa propre disparition. L'Homme Moïse et le monothéisme, n'est-ce pas le texte, longtemps retenu par Freud, qui soutient qu'il n'y a pas de père fondateur de la psychanalyse ?
Gérard Blikman, Bêtes de savoir, 101
Un peu bêtes, les enfants analpha-bêtes ? Du savoir des bêtes de Kafka ? Communauté bien singulière. Qu'est-ce que ça va produire ? Des bouts de savoir ? Des défis à la langue ? Des morceaux d'écriture ? Une littérature ? Un petit « rien » ? « Le vieux comte était mort et le jeune aurait dû régner, mais il n'en était pas ainsi, il y avait une pose dans l'histoire, de sorte que la députation se promenait dans le vide. »
Jean Allouch, Intolérable « Tu es ceci ». Propos clinique sur l’auto-destruction d'une psychiatrie compréhensive, 125
A ce couplage de « Wagner le monstre paranoïaque » et de « Gaupp son psychiatre », Wagner lui-même répond dans sa pièce de théâtre Délire, avec d'autres couples, la grenouille et la souris, Louis II de Bavière et von Gudden son psychiatre.
G. Th, Guilbaud, Pas besoin de traduire ?, 141
Guilbaud répond à un exercice de logique formelle proposé par Lewis Carroll en commençant par poser une question : quels sont les termes dont il est nécessaire de connaître le sens pour pouvoir raisonner correctement ?
Françoise Jandrot, 1892-1896, premières élaborations de Freud sur le refoulement, 145
Malgré des élaborations successives, Freud maintient que le refoulement, d'un point de vue théorique, est une énigme. C'est la névrose obsessionnelle, et non l'hystérie, qui lui sert de guide en la matière.
Jean-Paul Abribat, Pourquoi Taine plaisait-il tant à Freud ? , 165
On peut certes montrer la proximité de certaines thèses de Taine dans De l’intelligence, et de Freud dans l'Esquisse d'une psychologie scientifique. Mais surtout : une tension, une antinomie, entre un moi « système de perception-conscience » et un moi « polypier d'images », le lieu même des illusions, des méconnaissances, et de l'illumination hallucinée.
Xavier Leconte, Johan Friedrich Herbart - Dossier, 187
Si le terme de « Refoulement » n'a pour Freud de sens que référé à la méthode d'investigation psychanalytique, et qu'ainsi, on peut soutenir que Freud a « inventé » ce mécanisme psychique du refoulement, on sait aussi que ce terme était auparavant employé en psychologie. C'est Herbart, le premier, qui s'en est servi, en 1824. Herbart entendait fonder sa psychologie sur l'expérience, la métaphysique et les mathématiques. Dans ce cadre-là, il employa le premier le terme de Verdrängung pour qualifier l'action des représentations entre elles.
Carl Gustav Jung, L'analyse des rêves, 231
Réputé introduire en français la traduction de « refoulement » pour le terme psychanalytique Verdrängung, ce texte montre surtout comment, dans un vocabulaire jungien, Jung fait une « lecture » de l'Interprétation des rêves, freudienne.
[n° ou bulletin] 008-009 - Printemps - été 1997 - Il n'y a pas de père symbolique [texte imprimé] / Alphonse Allais, Auteur ; Catherine Webern, Auteur ; François Dachet, Auteur ; José Attal, Auteur ; Gérard Blikman, Auteur ; Jean Allouch, Auteur ; G.Th. Guilbaud, Auteur ; Françoise Jandrot, Auteur ; Jean-Paul Abribat, Auteur ; Xavier Leconte, Auteur ; Carl Gustav Jung, Auteur . - 1997 . - 260 pages.
Langues : Français (fre)
Sommaire :
Alphonse Allais, Un drame bien parisien, 9
Ce n'était pas lui ! Ce n'était pas elle !
Catherine Webern, Le Dasein en objet (a), 15
Il y a un certain trouble pour qui voudrait transmettre avec Lacan que l'échec de la métaphore paternelle caractériserait la psychose. Lacan convoque à la fois Freud, Heidegger, et Descartes pour parler du sexe, ce qui, dit-il est impossible.
François Dachet, Les premiers pas... du père symbolique, 41
« Il n'y a pas de père symbolique, ne l'a-t-on pas remarqué, dans l’articulation dont j'ai différencié frustration d'une part, privation et castration de l'autre. » C'est ce que Lacan a écrit dans ses notes préparatoires à la séance du 9 juin 1971 dans son séminaire D'un discours qui ne serait pas du semblant, écrit, mais pas dit.
José Attal, « L'homme Moïse » et le nœud bo, 85
Sur le Mont Nebo, Moïse assentit à sa propre disparition. L'Homme Moïse et le monothéisme, n'est-ce pas le texte, longtemps retenu par Freud, qui soutient qu'il n'y a pas de père fondateur de la psychanalyse ?
Gérard Blikman, Bêtes de savoir, 101
Un peu bêtes, les enfants analpha-bêtes ? Du savoir des bêtes de Kafka ? Communauté bien singulière. Qu'est-ce que ça va produire ? Des bouts de savoir ? Des défis à la langue ? Des morceaux d'écriture ? Une littérature ? Un petit « rien » ? « Le vieux comte était mort et le jeune aurait dû régner, mais il n'en était pas ainsi, il y avait une pose dans l'histoire, de sorte que la députation se promenait dans le vide. »
Jean Allouch, Intolérable « Tu es ceci ». Propos clinique sur l’auto-destruction d'une psychiatrie compréhensive, 125
A ce couplage de « Wagner le monstre paranoïaque » et de « Gaupp son psychiatre », Wagner lui-même répond dans sa pièce de théâtre Délire, avec d'autres couples, la grenouille et la souris, Louis II de Bavière et von Gudden son psychiatre.
G. Th, Guilbaud, Pas besoin de traduire ?, 141
Guilbaud répond à un exercice de logique formelle proposé par Lewis Carroll en commençant par poser une question : quels sont les termes dont il est nécessaire de connaître le sens pour pouvoir raisonner correctement ?
Françoise Jandrot, 1892-1896, premières élaborations de Freud sur le refoulement, 145
Malgré des élaborations successives, Freud maintient que le refoulement, d'un point de vue théorique, est une énigme. C'est la névrose obsessionnelle, et non l'hystérie, qui lui sert de guide en la matière.
Jean-Paul Abribat, Pourquoi Taine plaisait-il tant à Freud ? , 165
On peut certes montrer la proximité de certaines thèses de Taine dans De l’intelligence, et de Freud dans l'Esquisse d'une psychologie scientifique. Mais surtout : une tension, une antinomie, entre un moi « système de perception-conscience » et un moi « polypier d'images », le lieu même des illusions, des méconnaissances, et de l'illumination hallucinée.
Xavier Leconte, Johan Friedrich Herbart - Dossier, 187
Si le terme de « Refoulement » n'a pour Freud de sens que référé à la méthode d'investigation psychanalytique, et qu'ainsi, on peut soutenir que Freud a « inventé » ce mécanisme psychique du refoulement, on sait aussi que ce terme était auparavant employé en psychologie. C'est Herbart, le premier, qui s'en est servi, en 1824. Herbart entendait fonder sa psychologie sur l'expérience, la métaphysique et les mathématiques. Dans ce cadre-là, il employa le premier le terme de Verdrängung pour qualifier l'action des représentations entre elles.
Carl Gustav Jung, L'analyse des rêves, 231
Réputé introduire en français la traduction de « refoulement » pour le terme psychanalytique Verdrängung, ce texte montre surtout comment, dans un vocabulaire jungien, Jung fait une « lecture » de l'Interprétation des rêves, freudienne.
Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 104534 PER1 Périodique, revue Etagères de la Maison de la psychanalyse Tous autres Périodiques (PER1) Exclu du prêt