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Auteur Christine Toutin Thélier |
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001 - Automne 1992 - Freud ou la raison depuis Lacan (Bulletin de L'Unebévue) / Mayette Viltard ; Ernst Federn ; Jean Allouch ; George-Henri Melenotte ; Guy Le Gaufey ; Christine Toutin Thélier ; Sigmund Freud
[n° ou bulletin]
Titre : 001 - Automne 1992 - Freud ou la raison depuis Lacan Type de document : texte imprimé Auteurs : Mayette Viltard, Auteur ; Ernst Federn, Auteur ; Jean Allouch, Auteur ; George-Henri Melenotte, Auteur ; Guy Le Gaufey, Auteur ; Christine Toutin Thélier, Auteur ; Sigmund Freud, Auteur Année de publication : 1992 Importance : 136 pages Langues : Français (fre) Sommaire :
Mayette Viltard, Il y a de l'une-bévue, 7
« Traduire » das Unbewusste de Freud par l'une-bévue est une curieuse opération trans-langues. La création d'un néologisme sur un concept central de la psychanalyse porte à conséquence. Réussira-t-elle à prendre en compte le réel du symptôme ?
Ernst Federn, Qui est freudien ?, 17
Les enseignements de Freud sont très étroitement liés à la langue allemande. L'émigration et l'anéantissement de la psychanalyse en Allemagne par Hitler ont eu une importance décisive pour le développement de la psychanalyse dans le monde. La psychanalyse est devenue internationale et dévie toujours plus, aujourd'hui, de ce que Freud enseignait.
Jean Allouch, Note sur « raison et cause » en psychanalyse, 33
L'objet est ce qui reste de la chose une fois qu'on l'a dépouillée de la question des vérités éternelles dont elle était porteuse. Mais voilà justement, s'agissant de la folie, ce qui, de par la grâce de Freud,
s'avère n'être pas possible. De là le malaise de la psychanalyse à l'endroit de la science.
George-Henri Melenotte, Aux bords effacés du texte freudien, 47
Dans sa découverte de l'inconscient, Freud n'a pas seulement fourni les termes qui ont permis d'en esquisser la théorie. Son écriture elle-même est traversée par les éléments structuraux qu'elle tente de cerner.
Guy Le Gaufey, Hiatus. Le meurtre de la métaphore, 61
Qui a les moyens d'effectuer la double élision que nécessite la métaphore, double élision du désir de la mère dans la métaphore paternelle, celui-là aura accès à la production du symbole et par là même
à cette « signification dernière de l'idée de père » que Lacan lisait dans le meurtre du père.
Mayette Viltard, L'expérience paranoïaque du transfert, 75
Considérer qu'ils étaient quatre, Freud, Fliess, Breuer, plus une, Emma Eckstein, invite à discerner ce qui ferait point de structure dans le lien du psychanalyste au public.
Christine Toutin-Thélier, La pomme acide du transfert de pensée, 93
Ernst Federn, Discussion
Qu'est-ce qui a pu décider Freud, en 1925, à lancer cette bombe si longtemps retenue ? Prenons au sérieux ce qu'il en dit : c'est l'expérience faite et réussie du transfert de pensée avec sa fille Anna.
Présentation du texte de 1915, de Freud : das Unbewusste, 115
A propos de l'établissement du texte en allemand : quelques « détails » et leur contexte dans le mouvement analytique.
Sommaire des six cahiers de l’Internationale Zeitschrift fur ärztliche Psychoanalyse de l'année 1915.
[n° ou bulletin] 001 - Automne 1992 - Freud ou la raison depuis Lacan [texte imprimé] / Mayette Viltard, Auteur ; Ernst Federn, Auteur ; Jean Allouch, Auteur ; George-Henri Melenotte, Auteur ; Guy Le Gaufey, Auteur ; Christine Toutin Thélier, Auteur ; Sigmund Freud, Auteur . - 1992 . - 136 pages.
Langues : Français (fre)
Sommaire :
Mayette Viltard, Il y a de l'une-bévue, 7
« Traduire » das Unbewusste de Freud par l'une-bévue est une curieuse opération trans-langues. La création d'un néologisme sur un concept central de la psychanalyse porte à conséquence. Réussira-t-elle à prendre en compte le réel du symptôme ?
Ernst Federn, Qui est freudien ?, 17
Les enseignements de Freud sont très étroitement liés à la langue allemande. L'émigration et l'anéantissement de la psychanalyse en Allemagne par Hitler ont eu une importance décisive pour le développement de la psychanalyse dans le monde. La psychanalyse est devenue internationale et dévie toujours plus, aujourd'hui, de ce que Freud enseignait.
Jean Allouch, Note sur « raison et cause » en psychanalyse, 33
L'objet est ce qui reste de la chose une fois qu'on l'a dépouillée de la question des vérités éternelles dont elle était porteuse. Mais voilà justement, s'agissant de la folie, ce qui, de par la grâce de Freud,
s'avère n'être pas possible. De là le malaise de la psychanalyse à l'endroit de la science.
George-Henri Melenotte, Aux bords effacés du texte freudien, 47
Dans sa découverte de l'inconscient, Freud n'a pas seulement fourni les termes qui ont permis d'en esquisser la théorie. Son écriture elle-même est traversée par les éléments structuraux qu'elle tente de cerner.
Guy Le Gaufey, Hiatus. Le meurtre de la métaphore, 61
Qui a les moyens d'effectuer la double élision que nécessite la métaphore, double élision du désir de la mère dans la métaphore paternelle, celui-là aura accès à la production du symbole et par là même
à cette « signification dernière de l'idée de père » que Lacan lisait dans le meurtre du père.
Mayette Viltard, L'expérience paranoïaque du transfert, 75
Considérer qu'ils étaient quatre, Freud, Fliess, Breuer, plus une, Emma Eckstein, invite à discerner ce qui ferait point de structure dans le lien du psychanalyste au public.
Christine Toutin-Thélier, La pomme acide du transfert de pensée, 93
Ernst Federn, Discussion
Qu'est-ce qui a pu décider Freud, en 1925, à lancer cette bombe si longtemps retenue ? Prenons au sérieux ce qu'il en dit : c'est l'expérience faite et réussie du transfert de pensée avec sa fille Anna.
Présentation du texte de 1915, de Freud : das Unbewusste, 115
A propos de l'établissement du texte en allemand : quelques « détails » et leur contexte dans le mouvement analytique.
Sommaire des six cahiers de l’Internationale Zeitschrift fur ärztliche Psychoanalyse de l'année 1915.
Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 104527 PER1 Livre Etagères de la Maison de la psychanalyse Autres auteurs (AUTR) Exclu du prêt 002 - Printemps 1993 - L'élangue (Bulletin de L'Unebévue) / Jean Allouch ; Christine Toutin Thélier ; George-Henri Melenotte ; Jacques Hassoun ; Guy Le Gaufey ; Mayette Viltard ; Thierry Beaufin ; Xavier Leconte ; Catherine Webern
[n° ou bulletin]
Titre : 002 - Printemps 1993 - L'élangue Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean Allouch, Auteur ; Christine Toutin Thélier, Auteur ; George-Henri Melenotte, Auteur ; Jacques Hassoun, Auteur ; Guy Le Gaufey, Auteur ; Mayette Viltard, Auteur ; Thierry Beaufin, Auteur ; Xavier Leconte, Auteur ; Catherine Webern, Auteur Année de publication : 1993 Importance : 186 pages Langues : Français (fre) Sommaire :
Jean Allouch, Ce à quoi l'unebévue obvie, 7
La radicale mise à l'écart de l'inconscient en tant qu'instance permet que soit abordé, dans l'analyse, le problème de la conscience.
Christine Toutin-Thélier, L'émergence dans la conscience, 33
Le préconscient : est-ce une instance qui s'interpose entre conscience et inconscient, ou bien qui les unifie ?, 39
George-Henri Mélenotte, Lue et vue, 39
L'équivoque ne porte pas sur la polysémie signifiante et c'est par un glissement de la tonalité dans la modulation qu'à l'exemple des poètes chinois, l'interprétation analytique opère.
Jacques Hassoun, Lignes de fractures. Traduction et exil de la langue, 57
Fracture de la langue, la traduction produit un texte qui à la longue, tel un cal vicieux, va à rencontre de sa fonction de transmission.
Guy Le Gaufey, Bé-voir ?, 65
De bégueule, bouche bée, à bayer... aux corneilles, l'unebévue fait quelques vagues en retombant dans la langue française.
Mayette Viltard, Scilicet, 71
Quel passage d'écrit à écrit est mis en jeu dans la parole imposée ? Schreber met en cause le Créateur du Verbe et localise d'un mot le savoir des langues : scilicet.
Thierry Beaujin, Passage à fleur de lettre, 93
Tel Joyce se faisant l'âme damnée de l'homophonie, Lacan en produisant l'unebévue passe à travers la lettre de Freud, comme on dit à travers champs.
Xavier Leconte, Le naïf : un savoir sans sujet?, 103
Pas de première personne pour faire le naïf, seulement une deuxième et ure troisième. Le mot du naïf vient poser l'opération de subjectivation du savoir et le statut de la feinte.
Catherine Webern, La Bedeutung du Phallus comme pléonasme. Du réel du nombre, 117
La distinction frégéenne de Sinn et Bedeutung permet à Lacan de situer ce qu'il en est du semblant du phallus.
PRÉSENTATION DU TEXTE DE FREUD DE 1911, 133
REMARQUES PSYCHANALYTIQUES SUR UN CAS DE PARANOÏA (DEMENTIA PARANOIDES) DÉCRIT AUTOBIOGRAPHIQUEMENT.
Sommaire du Jahrbuch 1911 (I). (Schreber), 133
Schreber et le débat analytique : quelques repères chronologiques, 137
Rapport d'O. Rank sur l'intervention de Freud (supplément à Schreber) à Weimar. Zentralblatt, décembre 1911, 145
Signification de la suite des voyelles. S. Freud. Zentralblatt, décembre 1911, 146
Sommaire du Jahrbuch 1911 (II), mars 1912. (supplément à Schreber)
Le débat Freud-Jung sur le symbole, à partir de leur correspondance, 151
Le cas Schreber est devenu, entre Freud et Jung, au fil de leur correspondance, le terrain de leur débat sur la symbolique et son interprétation.
Jung parle de Schreber, 171
C'est essentiellement dans le chapitre « Démence précoce et hystérie » de son ouvrage écrit en 1906 : De la psychologie de la Dementia praecox, que Jung se réfère au délire de Schreber.
[n° ou bulletin] 002 - Printemps 1993 - L'élangue [texte imprimé] / Jean Allouch, Auteur ; Christine Toutin Thélier, Auteur ; George-Henri Melenotte, Auteur ; Jacques Hassoun, Auteur ; Guy Le Gaufey, Auteur ; Mayette Viltard, Auteur ; Thierry Beaufin, Auteur ; Xavier Leconte, Auteur ; Catherine Webern, Auteur . - 1993 . - 186 pages.
Langues : Français (fre)
Sommaire :
Jean Allouch, Ce à quoi l'unebévue obvie, 7
La radicale mise à l'écart de l'inconscient en tant qu'instance permet que soit abordé, dans l'analyse, le problème de la conscience.
Christine Toutin-Thélier, L'émergence dans la conscience, 33
Le préconscient : est-ce une instance qui s'interpose entre conscience et inconscient, ou bien qui les unifie ?, 39
George-Henri Mélenotte, Lue et vue, 39
L'équivoque ne porte pas sur la polysémie signifiante et c'est par un glissement de la tonalité dans la modulation qu'à l'exemple des poètes chinois, l'interprétation analytique opère.
Jacques Hassoun, Lignes de fractures. Traduction et exil de la langue, 57
Fracture de la langue, la traduction produit un texte qui à la longue, tel un cal vicieux, va à rencontre de sa fonction de transmission.
Guy Le Gaufey, Bé-voir ?, 65
De bégueule, bouche bée, à bayer... aux corneilles, l'unebévue fait quelques vagues en retombant dans la langue française.
Mayette Viltard, Scilicet, 71
Quel passage d'écrit à écrit est mis en jeu dans la parole imposée ? Schreber met en cause le Créateur du Verbe et localise d'un mot le savoir des langues : scilicet.
Thierry Beaujin, Passage à fleur de lettre, 93
Tel Joyce se faisant l'âme damnée de l'homophonie, Lacan en produisant l'unebévue passe à travers la lettre de Freud, comme on dit à travers champs.
Xavier Leconte, Le naïf : un savoir sans sujet?, 103
Pas de première personne pour faire le naïf, seulement une deuxième et ure troisième. Le mot du naïf vient poser l'opération de subjectivation du savoir et le statut de la feinte.
Catherine Webern, La Bedeutung du Phallus comme pléonasme. Du réel du nombre, 117
La distinction frégéenne de Sinn et Bedeutung permet à Lacan de situer ce qu'il en est du semblant du phallus.
PRÉSENTATION DU TEXTE DE FREUD DE 1911, 133
REMARQUES PSYCHANALYTIQUES SUR UN CAS DE PARANOÏA (DEMENTIA PARANOIDES) DÉCRIT AUTOBIOGRAPHIQUEMENT.
Sommaire du Jahrbuch 1911 (I). (Schreber), 133
Schreber et le débat analytique : quelques repères chronologiques, 137
Rapport d'O. Rank sur l'intervention de Freud (supplément à Schreber) à Weimar. Zentralblatt, décembre 1911, 145
Signification de la suite des voyelles. S. Freud. Zentralblatt, décembre 1911, 146
Sommaire du Jahrbuch 1911 (II), mars 1912. (supplément à Schreber)
Le débat Freud-Jung sur le symbole, à partir de leur correspondance, 151
Le cas Schreber est devenu, entre Freud et Jung, au fil de leur correspondance, le terrain de leur débat sur la symbolique et son interprétation.
Jung parle de Schreber, 171
C'est essentiellement dans le chapitre « Démence précoce et hystérie » de son ouvrage écrit en 1906 : De la psychologie de la Dementia praecox, que Jung se réfère au délire de Schreber.
Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 104528 PER1 Périodique, revue Etagères de la Maison de la psychanalyse Tous autres Périodiques (PER1) Exclu du prêt 004 - Automne - hiver 1993 - Une discipline du nom (Bulletin de L'Unebévue) / Guy Le Gaufey ; Christine Toutin Thélier ; George-Henri Melenotte ; Catherine Webern ; Albert Fontaine ; Cécile Imbert ; Françoise Jandrot Louka
[n° ou bulletin]
Titre : 004 - Automne - hiver 1993 - Une discipline du nom Type de document : texte imprimé Auteurs : Guy Le Gaufey, Auteur ; Christine Toutin Thélier, Auteur ; George-Henri Melenotte, Auteur ; Catherine Webern, Auteur ; Albert Fontaine, Auteur ; Cécile Imbert, Auteur ; Françoise Jandrot Louka, Auteur Année de publication : 1993 Importance : 194 pages Langues : Français (fre) Sommaire :
Guy Le Gaufey, Symbole, symbole et symbole, 7
Les positions de Jung, Jones et Lacan correspondent respectivement à trois grandes étapes historiques soutenues en Europe depuis le XVe siècle quant à la nature du symbole : « signature des choses » pour Jung, problématique de la représentation liée à l’ordre classique pour Jones et Freud, primauté accordée au signifiant pour Lacan.
Christine Toutin-Thélier, MWT, Mutter, 23
Que Freud ait lu « un vautour » là où Léonard de Vinci avait écrit « un milan » a fait couler beaucoup d'encre dans la littérature analytique. Pourtant, si l'on suit Freud dans son passage par les hiéroglyphes égyptiens, il s'avère que le vautour n'est ni un lapsus, ni une erreur de traduction, mais une translittération. Une lecture de certains passages de la Bible de Philippson rend alors possible d'interroger en quoi cette translittération met en jeu le nom propre.
George-Henri Melenotte, Un vrai symbolisme ?, 43
Il y a, chez Freud, une difficulté à répondre aux errances du symbolisme jungien. Jones produit alors, en 1916, une théorie du « true symbolism ». En reprenant ce débat, Lacan en dégage le point d'impasse, celui de laisser le symbolisme « tout entier confronté au réel ».
Catherine Webern, La prééminence du semblant, 61
Lacan étaye la prééminence du semblant avec la théorie frégéenne, selon laquelle la conception du nom propre doit être liée à l'analyse de la proposition avec la fonction. Ceci entraîne la dénotation de
l'homme et la dénotation de la femme avec une nouvelle approche de la Bedeutung des Phallus, de la signification du phallus.
Albert Fontaine, L'implantation du signifiant dans le corps, 81
Albert Fontaine poursuit sa lecture de Wolfson, l'étudiant en langue schizophrénique, à la lumière de Foucault, Deleuze, Lacan et Jakobson. Wolfson permet ainsi d'avancer quelques points précis sur le problème de l'implantation du signifiant dans le corps, sur le fait qu'il ne peut y avoir d'écrit qu'à partir d'une certaine consistance du corps.
Cécile Imbert, Du bon usage du diable... , 101
Freud, dans Une névrose démoniaque au XVIe siècle questionne le choix du peintre Christoph Haitzmann de signer, par deux fois, un pacte avec le diable. « La mélancolie est le bain du diable » écrivit Saint Jérôme. Le tableau tracé par C. Imbert met en scène les places respectives de la femme et de la mélancolie à cette époque ; fallait-il brûler les sorcières, ou bien les soigner ?
Françoise Jandrot-Louka, Antiphysie, l'Althusser de Clément Rosset.
Dans son livre à propos d'Althusser, Clément Rosset reproduit le non-lieu de 1981 en faisant valoir la folie d'Althusser, alors qu'il nous désigne, avec Rabelais et la référence à Antiphysie une autre figure : celle de l'imposture.
PRÉSENTATION DU TEXTE DE FREUD DE 1928, 139
DOSTOÏEVSKI ET LA MISE À MORT DU PÈRE
PRÉSENTATION DU TEXTE DE C. G. JUNG DE 1909
L'IMPORTANCE DU PÈRE POUR LE DESTIN DE L'INDIVIDU
Un texte qui aurait été écrit... par un autre, 141
Lettres de Freud à Theodor Reik, à Stefan Zweig.
Freud réfute l'épilepsie de Dostoïevski. Ses attaques de mort sont le symptôme d'une hystérie masculine. Tu as voulu tuer le père, maintenant, tu es le père... mort.
Dostoïevski, L’Ethiker, 161
Le débat Freud-Reik sur l'éthique, à propos de Dostoïevski, amène Freud à déclarer que l'appréciation de l'éthique doit être sociale et objective sur le plan scientifique.
Dostoïevski, le pêcheur, 169
Pécheur ou criminel ? A la concupiscence luisant aux yeux du vieux Karamazov, quand il interroge son fils, « Dieu est mort, alors tout est permis ? », Freud répond par un mythe qu'il propose à l'homme moderne ; si Dieu est mort, le désir n'en sera que plus menaçant et donc l'interdiction plus nécessaire et plus dure. Dieu est mort, plus rien n'est permis.
Dostoïevski, le converti, 177
Une expérience religieuse. S. Freud
En publiant en 1927 Une expérience religieuse, Freud éclaire pour une part la conversion de Dostoïevski à la fin de sa vie, soumis au tsar et aux autorités.
De l'importance du père dans le destin de l'individu, 181
Les écrits psychanalytiques de Jung, datant d'avant sa rupture avec Freud révèlent, tout autant que son échange épistolaire avec Freud, l'importance de sa position dans le mouvement analytique. Peu traduits, ces textes sont d'autant plus inaccessibles que Jung lui-même les a par la suite largement remaniés.
[n° ou bulletin] 004 - Automne - hiver 1993 - Une discipline du nom [texte imprimé] / Guy Le Gaufey, Auteur ; Christine Toutin Thélier, Auteur ; George-Henri Melenotte, Auteur ; Catherine Webern, Auteur ; Albert Fontaine, Auteur ; Cécile Imbert, Auteur ; Françoise Jandrot Louka, Auteur . - 1993 . - 194 pages.
Langues : Français (fre)
Sommaire :
Guy Le Gaufey, Symbole, symbole et symbole, 7
Les positions de Jung, Jones et Lacan correspondent respectivement à trois grandes étapes historiques soutenues en Europe depuis le XVe siècle quant à la nature du symbole : « signature des choses » pour Jung, problématique de la représentation liée à l’ordre classique pour Jones et Freud, primauté accordée au signifiant pour Lacan.
Christine Toutin-Thélier, MWT, Mutter, 23
Que Freud ait lu « un vautour » là où Léonard de Vinci avait écrit « un milan » a fait couler beaucoup d'encre dans la littérature analytique. Pourtant, si l'on suit Freud dans son passage par les hiéroglyphes égyptiens, il s'avère que le vautour n'est ni un lapsus, ni une erreur de traduction, mais une translittération. Une lecture de certains passages de la Bible de Philippson rend alors possible d'interroger en quoi cette translittération met en jeu le nom propre.
George-Henri Melenotte, Un vrai symbolisme ?, 43
Il y a, chez Freud, une difficulté à répondre aux errances du symbolisme jungien. Jones produit alors, en 1916, une théorie du « true symbolism ». En reprenant ce débat, Lacan en dégage le point d'impasse, celui de laisser le symbolisme « tout entier confronté au réel ».
Catherine Webern, La prééminence du semblant, 61
Lacan étaye la prééminence du semblant avec la théorie frégéenne, selon laquelle la conception du nom propre doit être liée à l'analyse de la proposition avec la fonction. Ceci entraîne la dénotation de
l'homme et la dénotation de la femme avec une nouvelle approche de la Bedeutung des Phallus, de la signification du phallus.
Albert Fontaine, L'implantation du signifiant dans le corps, 81
Albert Fontaine poursuit sa lecture de Wolfson, l'étudiant en langue schizophrénique, à la lumière de Foucault, Deleuze, Lacan et Jakobson. Wolfson permet ainsi d'avancer quelques points précis sur le problème de l'implantation du signifiant dans le corps, sur le fait qu'il ne peut y avoir d'écrit qu'à partir d'une certaine consistance du corps.
Cécile Imbert, Du bon usage du diable... , 101
Freud, dans Une névrose démoniaque au XVIe siècle questionne le choix du peintre Christoph Haitzmann de signer, par deux fois, un pacte avec le diable. « La mélancolie est le bain du diable » écrivit Saint Jérôme. Le tableau tracé par C. Imbert met en scène les places respectives de la femme et de la mélancolie à cette époque ; fallait-il brûler les sorcières, ou bien les soigner ?
Françoise Jandrot-Louka, Antiphysie, l'Althusser de Clément Rosset.
Dans son livre à propos d'Althusser, Clément Rosset reproduit le non-lieu de 1981 en faisant valoir la folie d'Althusser, alors qu'il nous désigne, avec Rabelais et la référence à Antiphysie une autre figure : celle de l'imposture.
PRÉSENTATION DU TEXTE DE FREUD DE 1928, 139
DOSTOÏEVSKI ET LA MISE À MORT DU PÈRE
PRÉSENTATION DU TEXTE DE C. G. JUNG DE 1909
L'IMPORTANCE DU PÈRE POUR LE DESTIN DE L'INDIVIDU
Un texte qui aurait été écrit... par un autre, 141
Lettres de Freud à Theodor Reik, à Stefan Zweig.
Freud réfute l'épilepsie de Dostoïevski. Ses attaques de mort sont le symptôme d'une hystérie masculine. Tu as voulu tuer le père, maintenant, tu es le père... mort.
Dostoïevski, L’Ethiker, 161
Le débat Freud-Reik sur l'éthique, à propos de Dostoïevski, amène Freud à déclarer que l'appréciation de l'éthique doit être sociale et objective sur le plan scientifique.
Dostoïevski, le pêcheur, 169
Pécheur ou criminel ? A la concupiscence luisant aux yeux du vieux Karamazov, quand il interroge son fils, « Dieu est mort, alors tout est permis ? », Freud répond par un mythe qu'il propose à l'homme moderne ; si Dieu est mort, le désir n'en sera que plus menaçant et donc l'interdiction plus nécessaire et plus dure. Dieu est mort, plus rien n'est permis.
Dostoïevski, le converti, 177
Une expérience religieuse. S. Freud
En publiant en 1927 Une expérience religieuse, Freud éclaire pour une part la conversion de Dostoïevski à la fin de sa vie, soumis au tsar et aux autorités.
De l'importance du père dans le destin de l'individu, 181
Les écrits psychanalytiques de Jung, datant d'avant sa rupture avec Freud révèlent, tout autant que son échange épistolaire avec Freud, l'importance de sa position dans le mouvement analytique. Peu traduits, ces textes sont d'autant plus inaccessibles que Jung lui-même les a par la suite largement remaniés.
Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 104530 PER1 Périodique, revue Etagères de la Maison de la psychanalyse Tous autres Périodiques (PER1) Exclu du prêt