L'éthification de la psychanalyse / Jean Allouch

Public ISBD Titre : L'éthification de la psychanalyse : calamité Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean Allouch, Auteur Editeur : Epel Année de publication : 1997 Collection : Cahiers de l'Unebévue Importance : 146 pages ISBN/ISSN/EAN : 978-2-908855-27-2 Langues : Français (fre) Sommaire : TROIS SUBSTITUTIONS, 9 RÉCIT,13 Une histoire de maître (de l’hystérique), 13 Un foutoir, 18 DÉRAPAGES, 25 Un « nouveau » mot d’ordre : pour l’éthique, par l’éthique, 27 Quand la psychanalyse perd son objet, voire toute spécificité, 33 Éthique versus droit, 43 Psychanalyste commandeur, 49 RETOUR AU RÉCIT, 59 Pas exactement une paranoïa, 60 Une identification… déplacée, 71 L’analyse mise de côté, 91 BOUCLAGES, 99 Bouclage avec la mise en place de l’IPA, 101 Bouclage avec Pro Etica, 108 Bouclage avec l’OPA de Derrida sur l’IPA, 112 ET LA TORTURE ?, 119 … ET POUR CAUSE, 127 Repères chronologiques, 130 Textes, 137 4° de Couverture : Comme l’informatisation actuellement, l’électrification il y a quelques décennies, plus loin encore l’industrialisation, autant de vagues auxquelles nul n’échappe pour peu que l’on se trouve sur leur parcours, de même la psychanalyse subit-elle aujourd’hui de plein fouet une déferlante : l’éthification. On fera valoir qu’ainsi éthifiée la psychanalyse n’a tout simplement plus lieu. Qu’elle est donc en train de... mourir d’éthique. Sans le savoir. Calamité. Plus question du surmoi, voici venue l’éthique ; plus question du cas, voici venue une clinique du fait social ; plus question de méthode, voici venu l’analyste sachant ; plus question de rendre raison de l’expérience, voici venue la psychanalyse comme idéologie. Cette quadruple calamité, cependant, a son revers de révélation ou de confirmation (car déjà Freud le savait et y tenait) : il n’y a pas d’éthique psychanalytique. Un cas nous l’enseigne aujourd’hui, sans doute plus exemplairement que tous ceux – nombreux – qui se trouvent semblablement (dés)orientés par cette éthique qui n’existe pas. On se propose de l’étudier, à partir du témoignage partiel et partial que nous offre l’ouvrage d’H. Besserman Vianna Politique de la psychanalyse face à la dictature et à la torture, N’en parlez à personne. Et de l’inénarrable happening auquel ce livre donna lieu, à PARIS, hôpital Sainte-Anne, le dimanche 9 février 1997. Il y va aussi de l’existence ou de la récusation de ce qui, depuis plus de vingt ans, tente de forcer sa voie sous le nom, encore maintenu presque absolument voilé, de psychanalyse derridienne. L'éthification de la psychanalyse : calamité [texte imprimé] / Jean Allouch, Auteur . - Epel, 1997 . - 146 pages. - (Cahiers de l'Unebévue) . ISBN : 978-2-908855-27-2 Langues : Français (fre) Sommaire : TROIS SUBSTITUTIONS, 9 RÉCIT,13 Une histoire de maître (de l’hystérique), 13 Un foutoir, 18 DÉRAPAGES, 25 Un « nouveau » mot d’ordre : pour l’éthique, par l’éthique, 27 Quand la psychanalyse perd son objet, voire toute spécificité, 33 Éthique versus droit, 43 Psychanalyste commandeur, 49 RETOUR AU RÉCIT, 59 Pas exactement une paranoïa, 60 Une identification… déplacée, 71 L’analyse mise de côté, 91 BOUCLAGES, 99 Bouclage avec la mise en place de l’IPA, 101 Bouclage avec Pro Etica, 108 Bouclage avec l’OPA de Derrida sur l’IPA, 112 ET LA TORTURE ?, 119 … ET POUR CAUSE, 127 Repères chronologiques, 130 Textes, 137 4° de Couverture : Comme l’informatisation actuellement, l’électrification il y a quelques décennies, plus loin encore l’industrialisation, autant de vagues auxquelles nul n’échappe pour peu que l’on se trouve sur leur parcours, de même la psychanalyse subit-elle aujourd’hui de plein fouet une déferlante : l’éthification. On fera valoir qu’ainsi éthifiée la psychanalyse n’a tout simplement plus lieu. Qu’elle est donc en train de... mourir d’éthique. Sans le savoir. Calamité. Plus question du surmoi, voici venue l’éthique ; plus question du cas, voici venue une clinique du fait social ; plus question de méthode, voici venu l’analyste sachant ; plus question de rendre raison de l’expérience, voici venue la psychanalyse comme idéologie. Cette quadruple calamité, cependant, a son revers de révélation ou de confirmation (car déjà Freud le savait et y tenait) : il n’y a pas d’éthique psychanalytique. Un cas nous l’enseigne aujourd’hui, sans doute plus exemplairement que tous ceux – nombreux – qui se trouvent semblablement (dés)orientés par cette éthique qui n’existe pas. On se propose de l’étudier, à partir du témoignage partiel et partial que nous offre l’ouvrage d’H. Besserman Vianna Politique de la psychanalyse face à la dictature et à la torture, N’en parlez à personne. Et de l’inénarrable happening auquel ce livre donna lieu, à PARIS, hôpital Sainte-Anne, le dimanche 9 février 1997. Il y va aussi de l’existence ou de la récusation de ce qui, depuis plus de vingt ans, tente de forcer sa voie sous le nom, encore maintenu presque absolument voilé, de psychanalyse derridienne.

Exemplaires (1)

Code-barres	Cote	Support	Localisation	Section	Disponibilité
101397	AUTR	Livre	Etagères de la Maison de la psychanalyse	Autres auteurs (AUTR)	Exclu du prêt

Les p'tits mathèmes de Lacan / Jean-Louis Sous

Public ISBD Titre : Les p'tits mathèmes de Lacan Titre original : Cinq études sérielles Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean-Louis Sous, Auteur Editeur : Epel Année de publication : 1981 Collection : Cahiers de l'Unebévue Importance : 154 pages ISBN/ISSN/EAN : 978-2-908855-55-5 Langues : Français (fre) Sommaire : Entame : un oubli de Lacan, 9 Le poinçonneur du p'tit A, 49 Baguenauder, 51 S1 et S2 font-ils la paire ?, 67 Booz et la "patternité" ou la condensation freudienne assignée à résidence métaphorique, 87 Son Nom-du-Père viré à titre nodal, 129 4° de Couverture : Certaines «écritures» lacaniennes ont-elles vieilli ou pour dire les choses plus directement, ne sont—elles plus à la mode, comme si elles étaient datées, très liées à l’époque ou elles ont été produites ? Est-ce que ces formalisations n’apparaissent pas précaires ? Les dessins, les formules, les graphes, les surfaces, les noeuds borroméens, qui émaillent toute l’oeuvre de Lacan, quel statut leur donner ? Avant de filer vers l’universel, avant de crier à l’hérésie au regard du dogme conceptuel, i1 faut pouvoir dire ce qu’elles sont, ces écritures « à la gomme ». Plutôt que de les ériger tout de suite en instance conceptuelle, i1 s’agit de commencer par une étude localisée des occurrences et des circonstances ou elles apparaissent et établir à quel registre de problématisation elles répondent, selon les époques, suivant les périodes de formalisation de Lacan. Ensuite, on pourra dire si ça tient ou pas le coup ! L’auteur nous propose donc, à titre... comme on dit, de réquisit épistémologique, de l’accompagner tout au long de ce parcours de lecture, de convoquer souvenirs et mémoire des textes, de devenir les «biographes» de ces « écritures ». Faire cas de ces formalisations suppose alors une méthode casuelle qui décline les variantes de telles écritures, les versions de leur composition et de leur décomposition, les limites de leur usage, les bornes de leur emploi. Selon 1e glissement auquel nous invite Lacan, c’est une méthode sérieuse dans le sens ou elle touche au sériel : façon de faire entendre les variations autour de ces mathémes, si tant est qu’on puisse leur donner ce titre... Les p'tits mathèmes de Lacan = Cinq études sérielles [texte imprimé] / Jean-Louis Sous, Auteur . - Epel, 1981 . - 154 pages. - (Cahiers de l'Unebévue) . ISBN : 978-2-908855-55-5 Langues : Français (fre) Sommaire : Entame : un oubli de Lacan, 9 Le poinçonneur du p'tit A, 49 Baguenauder, 51 S1 et S2 font-ils la paire ?, 67 Booz et la "patternité" ou la condensation freudienne assignée à résidence métaphorique, 87 Son Nom-du-Père viré à titre nodal, 129 4° de Couverture : Certaines «écritures» lacaniennes ont-elles vieilli ou pour dire les choses plus directement, ne sont—elles plus à la mode, comme si elles étaient datées, très liées à l’époque ou elles ont été produites ? Est-ce que ces formalisations n’apparaissent pas précaires ? Les dessins, les formules, les graphes, les surfaces, les noeuds borroméens, qui émaillent toute l’oeuvre de Lacan, quel statut leur donner ? Avant de filer vers l’universel, avant de crier à l’hérésie au regard du dogme conceptuel, i1 faut pouvoir dire ce qu’elles sont, ces écritures « à la gomme ». Plutôt que de les ériger tout de suite en instance conceptuelle, i1 s’agit de commencer par une étude localisée des occurrences et des circonstances ou elles apparaissent et établir à quel registre de problématisation elles répondent, selon les époques, suivant les périodes de formalisation de Lacan. Ensuite, on pourra dire si ça tient ou pas le coup ! L’auteur nous propose donc, à titre... comme on dit, de réquisit épistémologique, de l’accompagner tout au long de ce parcours de lecture, de convoquer souvenirs et mémoire des textes, de devenir les «biographes» de ces « écritures ». Faire cas de ces formalisations suppose alors une méthode casuelle qui décline les variantes de telles écritures, les versions de leur composition et de leur décomposition, les limites de leur usage, les bornes de leur emploi. Selon 1e glissement auquel nous invite Lacan, c’est une méthode sérieuse dans le sens ou elle touche au sériel : façon de faire entendre les variations autour de ces mathémes, si tant est qu’on puisse leur donner ce titre...

Exemplaires (2)

Code-barres	Cote	Support	Localisation	Section	Disponibilité
100279	AUTR	Livre	Etagères de la Maison de la psychanalyse	Autres auteurs (AUTR)	Exclu du prêt
103632	AUTR	Livre	Réserve	Autres auteurs (AUTR)	Exclu du prêt

Le pendule du Docteur Deleuze / Jean-Claude Dumoncel

Public ISBD Titre : Le pendule du Docteur Deleuze : Une introduction à l'Anti-Œdipe Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean-Claude Dumoncel, Auteur Editeur : Epel Année de publication : 1999 Collection : Cahiers de l'Unebévue Importance : 98 pages ISBN/ISSN/EAN : 978-2-908855-41-8 Langues : Français (fre) Sommaire : Le désir tout court, 12 1. Prendre le tramway nommé Désir, 13 2. Des Multiplicités, des Machines et des Mythes, 18 Trois mythes modernes , 27 3. Géométrie cubique, ovoïde et conique, 36 4. Le Corps de Cocagne, 40 5. Libido, Numen, Voluptas, 44 6. Matérialisme et structuralisme, 47 7. La machine d'Iris Murdoch, 50 8. Capitalisme & Schizophénie, 60 La rencontre du Capital et du Schizo, 61 9. La Désirade et le siècle deleuzien, 64 10. A nos amours, 70 Sadisme, Masochisme, Cour d'Amour, 74 Des moi, des mondes et des moments proustiens, 87 Le Désir-Devenirs, 88 4° de Couverture : Une explication de I'Anti-Œdipe et de Mille Plateaux, de Gilles Deleuze et Félix Guattari. En enchaînant trois mythes modernes, - le mythe des machines célibataires comme vision de la schizophrénie, - le mythe tragique de l'Angélus de Millet comme paradigme de la méthode paranoïa-critique, - et le mythe individuel du névrosé selon Lacan comme mode d'individuation, représentés respectivement par les trois objets qui les donnent à voir, - le Grand Verre de Marcel Duchamp, - l'Oeuf de Salvador Dali, - et le Cube de Francis Bacon, Jean-Claude Dumoncel expose la thèse deleuzienne du désir producteur. Elle se comprend dans une théorie générale du devenir-x, engendrant les harmoniques du devenir-enfant, du devenir-animal (etc.) autour d'un « Devenir-partir » encore plus simple et plus secret. Le pendule du Docteur Deleuze : Une introduction à l'Anti-Œdipe [texte imprimé] / Jean-Claude Dumoncel, Auteur . - Epel, 1999 . - 98 pages. - (Cahiers de l'Unebévue) . ISBN : 978-2-908855-41-8 Langues : Français (fre) Sommaire : Le désir tout court, 12 1. Prendre le tramway nommé Désir, 13 2. Des Multiplicités, des Machines et des Mythes, 18 Trois mythes modernes , 27 3. Géométrie cubique, ovoïde et conique, 36 4. Le Corps de Cocagne, 40 5. Libido, Numen, Voluptas, 44 6. Matérialisme et structuralisme, 47 7. La machine d'Iris Murdoch, 50 8. Capitalisme & Schizophénie, 60 La rencontre du Capital et du Schizo, 61 9. La Désirade et le siècle deleuzien, 64 10. A nos amours, 70 Sadisme, Masochisme, Cour d'Amour, 74 Des moi, des mondes et des moments proustiens, 87 Le Désir-Devenirs, 88 4° de Couverture : Une explication de I'Anti-Œdipe et de Mille Plateaux, de Gilles Deleuze et Félix Guattari. En enchaînant trois mythes modernes, - le mythe des machines célibataires comme vision de la schizophrénie, - le mythe tragique de l'Angélus de Millet comme paradigme de la méthode paranoïa-critique, - et le mythe individuel du névrosé selon Lacan comme mode d'individuation, représentés respectivement par les trois objets qui les donnent à voir, - le Grand Verre de Marcel Duchamp, - l'Oeuf de Salvador Dali, - et le Cube de Francis Bacon, Jean-Claude Dumoncel expose la thèse deleuzienne du désir producteur. Elle se comprend dans une théorie générale du devenir-x, engendrant les harmoniques du devenir-enfant, du devenir-animal (etc.) autour d'un « Devenir-partir » encore plus simple et plus secret.

Exemplaires (1)

Code-barres	Cote	Support	Localisation	Section	Disponibilité
101733	AUTR	Livre	Etagères de la Maison de la psychanalyse	Autres auteurs (AUTR)	Exclu du prêt

Platon et la réciproque érotique / David M. Halperin

Public ISBD Titre : Platon et la réciproque érotique Type de document : texte imprimé Auteurs : David M. Halperin, Auteur ; Guy Le Gaufey, Traducteur ; George-Henri Melenotte, Traducteur Editeur : Epel Année de publication : 2000 Collection : Cahiers de l'Unebévue Importance : 58 pages ISBN/ISSN/EAN : 978-2-908855-53-1 Langues : Français (fre) 4° de Couverture : traduit de l'américain par Guy Le Gaufey et George-Henri Melenotte Les Grecs tenaient pour acquis que pratiquement aucun homme ne pénètre et ne se soumet à la fois à la pénétration d'autres hommes, durant la même période de sa vie, et pour cette raison, le désir réciproque de partenaires appartenant à la même catégorie d'âge est à peu près inconnu dans l'homosexualité grecque. L'abandon par Platon des formes conventionnelles de pensée et de discours est frappant. Socrate déclare que le jeune aimé en vient à participer au désir passionné qu'a de lui son amant. L'approche platonicienne efface presque la distinction entre l'amant et l'aimé, entre le partenaire actif et le partenaire passif II n'y a en effet aucune place pour la passivité dans la poursuite de la vérité. Le langage de Platon a pour dessein de souligner le caractère actif et agité du désir qui est commun au pédéraste passionné et à l'aspirant philosophe. La réciprocité érotique résout par là un problème important et pressant dans l'éthique grecque. Elle établit des contacts entre les individus, en harmonisant les revendications de soi et de l'autre et en intégrant les vertus traditionnelles "compétitives" de l'héroïque autonomie aux vertus "coopératives" de l'obligation civique ; elle réconcilie, même si cela reste dans les limites étroites de l'union érotique, ces deux modèles de valeur morale concurrentiels, destinés typiquement à se heurter dans les sociétés de pénurie, qu'elles soient antiques ou modernes. Platon refuse de séparer l'érotique de la sexualité, l'érotique de la conversation, et l'érotique de l'investigation philosophique. La réciprocité fournit un lien crucial entre ces espèces de désir, différentes, tout en restant authentiques : elle garantit leur unité essentielle et fournit une indication infaillible à leur nature commune. Halperin a publié en français Cent ans d'homosexualité, Paris, 2000, et Saint Foucault, Paris, EPEL, 2000. Platon et la réciproque érotique [texte imprimé] / David M. Halperin, Auteur ; Guy Le Gaufey, Traducteur ; George-Henri Melenotte, Traducteur . - Epel, 2000 . - 58 pages. - (Cahiers de l'Unebévue) . ISBN : 978-2-908855-53-1 Langues : Français (fre) 4° de Couverture : traduit de l'américain par Guy Le Gaufey et George-Henri Melenotte Les Grecs tenaient pour acquis que pratiquement aucun homme ne pénètre et ne se soumet à la fois à la pénétration d'autres hommes, durant la même période de sa vie, et pour cette raison, le désir réciproque de partenaires appartenant à la même catégorie d'âge est à peu près inconnu dans l'homosexualité grecque. L'abandon par Platon des formes conventionnelles de pensée et de discours est frappant. Socrate déclare que le jeune aimé en vient à participer au désir passionné qu'a de lui son amant. L'approche platonicienne efface presque la distinction entre l'amant et l'aimé, entre le partenaire actif et le partenaire passif II n'y a en effet aucune place pour la passivité dans la poursuite de la vérité. Le langage de Platon a pour dessein de souligner le caractère actif et agité du désir qui est commun au pédéraste passionné et à l'aspirant philosophe. La réciprocité érotique résout par là un problème important et pressant dans l'éthique grecque. Elle établit des contacts entre les individus, en harmonisant les revendications de soi et de l'autre et en intégrant les vertus traditionnelles "compétitives" de l'héroïque autonomie aux vertus "coopératives" de l'obligation civique ; elle réconcilie, même si cela reste dans les limites étroites de l'union érotique, ces deux modèles de valeur morale concurrentiels, destinés typiquement à se heurter dans les sociétés de pénurie, qu'elles soient antiques ou modernes. Platon refuse de séparer l'érotique de la sexualité, l'érotique de la conversation, et l'érotique de l'investigation philosophique. La réciprocité fournit un lien crucial entre ces espèces de désir, différentes, tout en restant authentiques : elle garantit leur unité essentielle et fournit une indication infaillible à leur nature commune. Halperin a publié en français Cent ans d'homosexualité, Paris, 2000, et Saint Foucault, Paris, EPEL, 2000.

Exemplaires (1)

Code-barres	Cote	Support	Localisation	Section	Disponibilité
103829	AUTR	Livre	Etagères de la Maison de la psychanalyse	Autres auteurs (AUTR)	Exclu du prêt

La tradition de la "Mathesis universalis" / Jean-Claude Dumoncel

Public ISBD Titre : La tradition de la "Mathesis universalis" Titre original : Platon, Leibniz, Russell Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean-Claude Dumoncel, Auteur Editeur : Epel Année de publication : 2002 Collection : Cahiers de l'Unebévue Importance : 210 pages ISBN/ISSN/EAN : 978-2-914596-08-4 Langues : Français (fre) Sommaire : Préface INTRODUCTION L'Histoire de la Philosophie, son Objet, ses Méthodes, 13 1ÈRE PARTIE : PLATON OU LE LOGOS DES NOUMÈNES, 39 Chap I - La Structure du Platonisme, 41 Chap II - La Théorie platonicienne des Idées-Nombres, 73 2NDE PARTIE : LEIBNIZ OU LA RAISON BAROQUE, 97 Chap I. La Structure du Système leibnizien : le Mécanisme Métaphysique en tant que Jurisprudence Universelle, 99 Chap II – Note sur Leibniz et le calcul infinitésimal, 107 3ÈME PARTIE : RUSSELL OU LE RIRE DE LA RAISON PURE, 113 Chap I - Principia Mathematica, 115 Chap II - Un Système de Philosophie Analytique, 151 Coda : Trois contresens capitaux en Histoire de la Philosophie, 199 4° de Couverture : Traversant toute l'histoire de la philosophie, sous la succession apparemment chaotique des systèmes, il existe un lignage tenace qui s'est maintenu jusqu'à nous en se jouant de tous les obstacles : c'est la tradition de la Mathesis Universalis. Elle est ponctuée par trois principaux noms : Platon, Leibniz et Russell. Chacun de ces auteurs offre des problèmes de lecture inattendus mais qui s'enchaînent en un seul récit. Chez Platon, l'opposition notoire entre Mythos et Logos nous cache encore, jusque dans la systématicité de l'allégorie où s'affrontent Participation et Simulations, la fonction symbolique d'un Machinisme en mouvement. Il se retrouve dans ce que Leibniz appelle « mécanisme métaphysique », identifié à la Jurisprudence Universelle, le rôle du moyen terme étant tenu par le calcul variationnel à l'état naissant, qui remplit l'office de « mathématique divine ». Et le problème est alors de voir comment l'Optimisme (en tant que théorie de tous les mondes possibles) se subordonne la Monadologie (en tant que théorie du monde réel). Chez Russell, qui reprend le projet logiciste de Leibniz dans la nouvelle donne définie par Cantor, il s'agit de saisir en quoi l'un des fondateurs de la Philosophie Analytique peut être aussi l'auteur d'un système. Qu'y a-t-il dans les Principia Mathematica écrits à quatre mains avec A.N. Whitehead ? Et en quoi la logique des relations qu'ils contiennent peut-elle renouveler la Métaphysique ? L'ouvrage, qui commence par une méthodologie de l'exégèse philosophique, se termine en indiquant trois contresens capitaux qui, sur la longue durée, tracent comme l'ombre du lignage principal. Jean-Claude Dumoncel a enseigné la Logique et l'histoire des Mathématiques à l'Université de Caen. Il a publié : Le Jeu de Wittgenstein, PUF, 1991, Le Symbole d'Hécate, HYX, 1996, Les Sept Mots de Whitehead, EPEL, 1998, Le Pendule du Dr Deleuze, EPEL, 1999. Sous presse : Philosophie des Mathématiques. La tradition de la "Mathesis universalis" = Platon, Leibniz, Russell [texte imprimé] / Jean-Claude Dumoncel, Auteur . - Epel, 2002 . - 210 pages. - (Cahiers de l'Unebévue) . ISBN : 978-2-914596-08-4 Langues : Français (fre) Sommaire : Préface INTRODUCTION L'Histoire de la Philosophie, son Objet, ses Méthodes, 13 1ÈRE PARTIE : PLATON OU LE LOGOS DES NOUMÈNES, 39 Chap I - La Structure du Platonisme, 41 Chap II - La Théorie platonicienne des Idées-Nombres, 73 2NDE PARTIE : LEIBNIZ OU LA RAISON BAROQUE, 97 Chap I. La Structure du Système leibnizien : le Mécanisme Métaphysique en tant que Jurisprudence Universelle, 99 Chap II – Note sur Leibniz et le calcul infinitésimal, 107 3ÈME PARTIE : RUSSELL OU LE RIRE DE LA RAISON PURE, 113 Chap I - Principia Mathematica, 115 Chap II - Un Système de Philosophie Analytique, 151 Coda : Trois contresens capitaux en Histoire de la Philosophie, 199 4° de Couverture : Traversant toute l'histoire de la philosophie, sous la succession apparemment chaotique des systèmes, il existe un lignage tenace qui s'est maintenu jusqu'à nous en se jouant de tous les obstacles : c'est la tradition de la Mathesis Universalis. Elle est ponctuée par trois principaux noms : Platon, Leibniz et Russell. Chacun de ces auteurs offre des problèmes de lecture inattendus mais qui s'enchaînent en un seul récit. Chez Platon, l'opposition notoire entre Mythos et Logos nous cache encore, jusque dans la systématicité de l'allégorie où s'affrontent Participation et Simulations, la fonction symbolique d'un Machinisme en mouvement. Il se retrouve dans ce que Leibniz appelle « mécanisme métaphysique », identifié à la Jurisprudence Universelle, le rôle du moyen terme étant tenu par le calcul variationnel à l'état naissant, qui remplit l'office de « mathématique divine ». Et le problème est alors de voir comment l'Optimisme (en tant que théorie de tous les mondes possibles) se subordonne la Monadologie (en tant que théorie du monde réel). Chez Russell, qui reprend le projet logiciste de Leibniz dans la nouvelle donne définie par Cantor, il s'agit de saisir en quoi l'un des fondateurs de la Philosophie Analytique peut être aussi l'auteur d'un système. Qu'y a-t-il dans les Principia Mathematica écrits à quatre mains avec A.N. Whitehead ? Et en quoi la logique des relations qu'ils contiennent peut-elle renouveler la Métaphysique ? L'ouvrage, qui commence par une méthodologie de l'exégèse philosophique, se termine en indiquant trois contresens capitaux qui, sur la longue durée, tracent comme l'ombre du lignage principal. Jean-Claude Dumoncel a enseigné la Logique et l'histoire des Mathématiques à l'Université de Caen. Il a publié : Le Jeu de Wittgenstein, PUF, 1991, Le Symbole d'Hécate, HYX, 1996, Les Sept Mots de Whitehead, EPEL, 1998, Le Pendule du Dr Deleuze, EPEL, 1999. Sous presse : Philosophie des Mathématiques.

Exemplaires (1)

Code-barres	Cote	Support	Localisation	Section	Disponibilité
104307	AUTR	Livre	Etagères de la Maison de la psychanalyse	Autres auteurs (AUTR)	Exclu du prêt

---

1 (1 - 5 / 5)