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Les désarrois nouveaux du sujet / Jean-Pierre Lebrun
Titre : Les désarrois nouveaux du sujet : Prolongements théorico-cliniques au Monde sans limite Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean-Pierre Lebrun, Auteur ; Gérard Amiel, Auteur ; Chantal Brand-Gaborit, Auteur ; Claire Caumel-Feltin, Auteur ; Jean-Pierre Jacques, Auteur ; Maryvonne Febvin, Auteur ; Jean-Luc Cacciali, Auteur ; Françoise Petitot, Auteur ; Laurence Croix, Auteur ; Christian Dubois, Auteur ; Guy Lérès, Auteur ; Jacqueline Hiltenbrand, Auteur ; Christian Demoulin, Auteur ; Janine Marchioni-Eppe, Auteur ; Claude Jamart, Auteur ; Anne Joos de ter Beerst, Auteur ; Yvette Thoua, Auteur ; Jean-Paul Hiltenbrand, Auteur Editeur : Editions Eres Année de publication : 2001 Collection : Point hors ligne Importance : 354 pages ISBN/ISSN/EAN : 978-2-86586-921-3 Langues : Français (fre) Sommaire : Avant-propos, 9
Jean-Pierre Lebrun, Malaise dans la subjectivation, 13
Gérard Amiel, « Errer » humanum est, 103
Chantal Brand-Gaborit, A propos de l’errance des jeunes, 113
Claire Caumel-Feltin, Rosetta et l’altérité, 123
Jean-Pierre Jacques, Les déçus de la parole et leurs thérapeutes, 129
Maryvonne Febvin, Renouer avec la parole, 141
Jean-Luc Cacciali, La victime : un nouveau sujet, 153
Françoise Petitot, On bat un enfant : à propos de la maltraitance, 169
Laurence Croix, Les désarrois nouveaux du sujet. D’une névrose diabolique au XXIe siècle, 183
Christian Dubois, « Façons de parler... » : une pluriculturalité à prendre en compte, 203
Guy Lérès, D’un usage singulier de la marque, 219
Jacqueline Hiltenbrand, Père, à quel titre ?, 227
Gérard Amiel, À propos du sujet « after-post-moderne » ou de l’exclusion à l’existence, 233
Christian Demoulin, L’amour dans le discours du capitaliste, 245
Janine Marchioni-Eppe, L’école : toujours entre enseignement et éducation ?, 255
Claire Caumel-Feltin, Violences sans paroles, 265
Jean-Pierre Lebrun, Une logique d’enfer, 273
Claude Jamart, La mort : figure hospitalière de l’impossible, 287
Anne Joos de ter Beerst, Répondre à tout prix ?, 307
Yvette Thoua, L’implant cochléaire : pour un langage biologiquement correct, 329
Jean-Paul Hiltenbrand, Du délitement du lien social, 337
Présentation des auteurs, 3434° de Couverture : Prolongements théorico-cliniques au Monde sans limite
Jean-Pierre Lebrun rend compte ici des élaborations théoriques nouvelles survenues depuis et grâce aux multiples discussions et débats qui ont suivi la parution d'Un monde sans limite* : discernement entre fonction paternelle et patriarcat, variation de l'Autre dans l'histoire, fin de la prévalence de la parole, distinction entre société pas-toute phallique et toute-pas phallique, expérience-limite du sujet contemporain, difficultés nouvelles pour la subjectivation, lecture de la distinction qu'a faite Lacan entre Norn-du- Père et « nommer à », déterminants des possibles d'un nouveau pacte social, enjeux pour le désir de l'analyste...
Dans une seconde partie, à son invitation, des psychanalystes venus de plusieurs horizons institutionnels tentent, à travers leur pratique quotidienne, de rendre compte des effets de la configuration actuelle du social sur le sujet. Pas question ici d'exhaustivité, seulement des points de la clinique à partir desquels se réin¬terroge le désir de l'analyste dans ce contexte de postmodernité : errance, violence, école, médecine, victimisation, toxicomanie, maltraitance, lien social, exclusion, capitalisme... Les auteurs apportent ici leurs contributions sans céder à la nostalgie d'un passé révolu, mais sans non plus sous-estimer les difficultés subjectives qu'entraînent les mutations actuelles du social.
Cet ensemble permettra à ceux qui le souhaitent d'appréhender autrement qu'en termes déficitaires ces désarrois nouveaux du sujet.Les désarrois nouveaux du sujet : Prolongements théorico-cliniques au Monde sans limite [texte imprimé] / Jean-Pierre Lebrun, Auteur ; Gérard Amiel, Auteur ; Chantal Brand-Gaborit, Auteur ; Claire Caumel-Feltin, Auteur ; Jean-Pierre Jacques, Auteur ; Maryvonne Febvin, Auteur ; Jean-Luc Cacciali, Auteur ; Françoise Petitot, Auteur ; Laurence Croix, Auteur ; Christian Dubois, Auteur ; Guy Lérès, Auteur ; Jacqueline Hiltenbrand, Auteur ; Christian Demoulin, Auteur ; Janine Marchioni-Eppe, Auteur ; Claude Jamart, Auteur ; Anne Joos de ter Beerst, Auteur ; Yvette Thoua, Auteur ; Jean-Paul Hiltenbrand, Auteur . - Editions Eres, 2001 . - 354 pages. - (Point hors ligne) .
ISBN : 978-2-86586-921-3
Langues : Français (fre)
Sommaire : Avant-propos, 9
Jean-Pierre Lebrun, Malaise dans la subjectivation, 13
Gérard Amiel, « Errer » humanum est, 103
Chantal Brand-Gaborit, A propos de l’errance des jeunes, 113
Claire Caumel-Feltin, Rosetta et l’altérité, 123
Jean-Pierre Jacques, Les déçus de la parole et leurs thérapeutes, 129
Maryvonne Febvin, Renouer avec la parole, 141
Jean-Luc Cacciali, La victime : un nouveau sujet, 153
Françoise Petitot, On bat un enfant : à propos de la maltraitance, 169
Laurence Croix, Les désarrois nouveaux du sujet. D’une névrose diabolique au XXIe siècle, 183
Christian Dubois, « Façons de parler... » : une pluriculturalité à prendre en compte, 203
Guy Lérès, D’un usage singulier de la marque, 219
Jacqueline Hiltenbrand, Père, à quel titre ?, 227
Gérard Amiel, À propos du sujet « after-post-moderne » ou de l’exclusion à l’existence, 233
Christian Demoulin, L’amour dans le discours du capitaliste, 245
Janine Marchioni-Eppe, L’école : toujours entre enseignement et éducation ?, 255
Claire Caumel-Feltin, Violences sans paroles, 265
Jean-Pierre Lebrun, Une logique d’enfer, 273
Claude Jamart, La mort : figure hospitalière de l’impossible, 287
Anne Joos de ter Beerst, Répondre à tout prix ?, 307
Yvette Thoua, L’implant cochléaire : pour un langage biologiquement correct, 329
Jean-Paul Hiltenbrand, Du délitement du lien social, 337
Présentation des auteurs, 3434° de Couverture : Prolongements théorico-cliniques au Monde sans limite
Jean-Pierre Lebrun rend compte ici des élaborations théoriques nouvelles survenues depuis et grâce aux multiples discussions et débats qui ont suivi la parution d'Un monde sans limite* : discernement entre fonction paternelle et patriarcat, variation de l'Autre dans l'histoire, fin de la prévalence de la parole, distinction entre société pas-toute phallique et toute-pas phallique, expérience-limite du sujet contemporain, difficultés nouvelles pour la subjectivation, lecture de la distinction qu'a faite Lacan entre Norn-du- Père et « nommer à », déterminants des possibles d'un nouveau pacte social, enjeux pour le désir de l'analyste...
Dans une seconde partie, à son invitation, des psychanalystes venus de plusieurs horizons institutionnels tentent, à travers leur pratique quotidienne, de rendre compte des effets de la configuration actuelle du social sur le sujet. Pas question ici d'exhaustivité, seulement des points de la clinique à partir desquels se réin¬terroge le désir de l'analyste dans ce contexte de postmodernité : errance, violence, école, médecine, victimisation, toxicomanie, maltraitance, lien social, exclusion, capitalisme... Les auteurs apportent ici leurs contributions sans céder à la nostalgie d'un passé révolu, mais sans non plus sous-estimer les difficultés subjectives qu'entraînent les mutations actuelles du social.
Cet ensemble permettra à ceux qui le souhaitent d'appréhender autrement qu'en termes déficitaires ces désarrois nouveaux du sujet.Exemplaires (2)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 100750 COLL Livre Etagères de la Maison de la psychanalyse Ouvrages collectifs (COLL) Exclu du prêt 104031 AUTR Livre Réserve Autres auteurs (AUTR) Exclu du prêt Le désir contrarié / Robert Levy
Titre : Le désir contrarié Titre original : Essai sur l'impossible transmission en psychanalyse Type de document : texte imprimé Auteurs : Robert Levy, Auteur Editeur : Editions Eres Année de publication : 1998 Collection : Point hors ligne Importance : 354 pages ISBN/ISSN/EAN : 978-2-86586-606-9 Langues : Français (fre) Sommaire :
Remerciements, 7
Prologue, 9
Avant-propos, 11
I. FREUD ET LACAN : L'INSTITUTION DU TRANSFERT
1. Sur l'inactualité de la psychanalyse ou comment en finir avec la question des générations, 17
2. Pour un enseignement de l'Analyse freudienne, 23
3. Travail de transfert de travail , 31
4. L'analyste peut-il être élève d'une école ?, 37
5. « Institution du nom propre », 45
6. Fondation du nom propre - nom propre d'une Fondation, 59
7. Quel collectif permettrait que persiste du désir contrarié ?, 67
8. La psychanalyse est-elle démocratique ?, 77
9. « C'est bien ennuyeux que chaque psychanalyste soit forcé de réinventer la psychanalyse », 85
10. Dissolution un-transmissible, 91
II. DU DÉSIR DE L'ANALYSTE AU DÉSIR D'ANALYSTE OU COMMENT ETRE-LÀ SANS RAISON D'ÊTRE, 101
1. La direction de la cure au risque du désir d’analyste, 101
2. Le désir de l'analyste ; une énigme ?, 117
3. Le désir de l'analyste est-il formable ?, 121
4 , .. Et de quelques autres, 131
III. CLINIQUE ($)
Introduction, 139
1. L'étiologie de l’hystérie ou les hésitations d'un passant, 141
2. Hystérie : structure de tous les dangers, 169
3. Passions de l'esclavage : transmission impossible, 175
4. Un père est battu, 183
5. Né de mère inconnue, 197
6. La guerre du feu : malaise dans la signification, 207
7. D'Œdipe à la métaphore paternelle, une clinique du nom, 227
8. L'analyse freudienne, théorie clinique : une question d'analogie ?, 241
9. « Les paroles d'un auteur ne sont-elles pas des actes », 257
IV. RÉEL ET JOUISSANCE AUTRE : MALAISE DANS LA CIVILISATION
1. Discours psychanaléthique, 267
2. Tu haïras ton prochain comme toi-même, 271
3. Ecueil et limite d'un discours qui ne serait pas du semblant, 277
4. Un nouveau traitement de l'histoire : la littéralisation, 281
5. Une jouissance autre n'est-elle pas de nature à entraîner quelques guerres ?, 293
6. Il/Elle : Un défaut d'écriture ?, 299
7. Le Réel ? La question du réel de la mort : entre témoignage et transmission, 305
8. Situation de la psychanalyse dans l'Allemagne, 315
9. « Spécialement la religion des juifs doit être mise en question en notre sein », 323
10. L’identit-erre juif laïque : une expérience de rupture à la recherche du trait d'indistinction, 331
4° de Couverture :
Polémique, ce livre ne le paraîtra que de surcroît. La psychanalyse a un ennemi : la religion du sens, le sens comme religion, scandaleuse équivalence dont Lacan avait donné la définition.
D'ores et déjà, le texte de Lacan, trop souvent perçu comme legs du père mort plutôt que comme lettre vive à transmettre, se résorbe-t-il en idéologie ou en logomachie scolastique.
Ce livre n'est donc rien d'autre qu'une opération de dénudement, de désobstruction de la structure du sens qui empâte la transmission de la psychanalyse, avec ce que cela dégage comme possibilité de lecture nouvelle du texte de l'analysant, texte de l'histoire de ce siècle.
Seront donc exposés à la critique, successivement et dans un scandale soutenu, divers -ismes que la psychanalyse n'a nullement pour mission d'agréger ni d'agréer : un certain lacanisme devenu prêt-à-ne-pas-penser, l'institutionnalisme des institutions psychanalytiques, un certain féminisme, rêve d'intégration des femmes, un judaïsme en train de perdre sa langue. On n'aura pas été sans questionner également, au fil des chapitres derniers, le Malaise de la civilisation.
Robert Lévy est clinicien de formation et psychanalyste. Membre de l'ex-Ecole freudienne de Paris, il a participé, après sa dissolution, à la formation des Cartels constituants de l'analyse freudienne. Il est cofondateur de l'association Analyse freudienne et en a partagé la direction pendant quatre ans. Membre du conseil scientifique de la Fondation européenne pour la psychanalyse depuis sa fondation, il contribue depuis vingt ans au développement de la psychanalyse en Espagne, Il est actuellement chargé de cours à l'université Paris XIII.
Le désir contrarié = Essai sur l'impossible transmission en psychanalyse [texte imprimé] / Robert Levy, Auteur . - Editions Eres, 1998 . - 354 pages. - (Point hors ligne) .
ISBN : 978-2-86586-606-9
Langues : Français (fre)
Sommaire :
Remerciements, 7
Prologue, 9
Avant-propos, 11
I. FREUD ET LACAN : L'INSTITUTION DU TRANSFERT
1. Sur l'inactualité de la psychanalyse ou comment en finir avec la question des générations, 17
2. Pour un enseignement de l'Analyse freudienne, 23
3. Travail de transfert de travail , 31
4. L'analyste peut-il être élève d'une école ?, 37
5. « Institution du nom propre », 45
6. Fondation du nom propre - nom propre d'une Fondation, 59
7. Quel collectif permettrait que persiste du désir contrarié ?, 67
8. La psychanalyse est-elle démocratique ?, 77
9. « C'est bien ennuyeux que chaque psychanalyste soit forcé de réinventer la psychanalyse », 85
10. Dissolution un-transmissible, 91
II. DU DÉSIR DE L'ANALYSTE AU DÉSIR D'ANALYSTE OU COMMENT ETRE-LÀ SANS RAISON D'ÊTRE, 101
1. La direction de la cure au risque du désir d’analyste, 101
2. Le désir de l'analyste ; une énigme ?, 117
3. Le désir de l'analyste est-il formable ?, 121
4 , .. Et de quelques autres, 131
III. CLINIQUE ($)
Introduction, 139
1. L'étiologie de l’hystérie ou les hésitations d'un passant, 141
2. Hystérie : structure de tous les dangers, 169
3. Passions de l'esclavage : transmission impossible, 175
4. Un père est battu, 183
5. Né de mère inconnue, 197
6. La guerre du feu : malaise dans la signification, 207
7. D'Œdipe à la métaphore paternelle, une clinique du nom, 227
8. L'analyse freudienne, théorie clinique : une question d'analogie ?, 241
9. « Les paroles d'un auteur ne sont-elles pas des actes », 257
IV. RÉEL ET JOUISSANCE AUTRE : MALAISE DANS LA CIVILISATION
1. Discours psychanaléthique, 267
2. Tu haïras ton prochain comme toi-même, 271
3. Ecueil et limite d'un discours qui ne serait pas du semblant, 277
4. Un nouveau traitement de l'histoire : la littéralisation, 281
5. Une jouissance autre n'est-elle pas de nature à entraîner quelques guerres ?, 293
6. Il/Elle : Un défaut d'écriture ?, 299
7. Le Réel ? La question du réel de la mort : entre témoignage et transmission, 305
8. Situation de la psychanalyse dans l'Allemagne, 315
9. « Spécialement la religion des juifs doit être mise en question en notre sein », 323
10. L’identit-erre juif laïque : une expérience de rupture à la recherche du trait d'indistinction, 331
4° de Couverture :
Polémique, ce livre ne le paraîtra que de surcroît. La psychanalyse a un ennemi : la religion du sens, le sens comme religion, scandaleuse équivalence dont Lacan avait donné la définition.
D'ores et déjà, le texte de Lacan, trop souvent perçu comme legs du père mort plutôt que comme lettre vive à transmettre, se résorbe-t-il en idéologie ou en logomachie scolastique.
Ce livre n'est donc rien d'autre qu'une opération de dénudement, de désobstruction de la structure du sens qui empâte la transmission de la psychanalyse, avec ce que cela dégage comme possibilité de lecture nouvelle du texte de l'analysant, texte de l'histoire de ce siècle.
Seront donc exposés à la critique, successivement et dans un scandale soutenu, divers -ismes que la psychanalyse n'a nullement pour mission d'agréger ni d'agréer : un certain lacanisme devenu prêt-à-ne-pas-penser, l'institutionnalisme des institutions psychanalytiques, un certain féminisme, rêve d'intégration des femmes, un judaïsme en train de perdre sa langue. On n'aura pas été sans questionner également, au fil des chapitres derniers, le Malaise de la civilisation.
Robert Lévy est clinicien de formation et psychanalyste. Membre de l'ex-Ecole freudienne de Paris, il a participé, après sa dissolution, à la formation des Cartels constituants de l'analyse freudienne. Il est cofondateur de l'association Analyse freudienne et en a partagé la direction pendant quatre ans. Membre du conseil scientifique de la Fondation européenne pour la psychanalyse depuis sa fondation, il contribue depuis vingt ans au développement de la psychanalyse en Espagne, Il est actuellement chargé de cours à l'université Paris XIII.
Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 103498 AUTR Livre Etagères de la Maison de la psychanalyse Autres auteurs (AUTR) Exclu du prêt Freud, les juifs, les allemands / Georges Zimra
Titre : Freud, les juifs, les allemands Type de document : texte imprimé Auteurs : Georges Zimra, Auteur Editeur : Editions Eres Année de publication : 2002 Collection : Point hors ligne Importance : 322 pages ISBN/ISSN/EAN : 978-2-7492-0051-4 Langues : Français (fre) Sommaire : INTRODUCTION, 9
HISTOIRE ET MÉMOIRE JUIVES, 23
Le temps hors du temps, 23
Le messianisme : une ponctuation de la temporalité, 28
Le messianisme : figure des Lumières ?, 32
Dans le ghetto, 37
L'expérience singulière, 41
VERS L'ÉMANCIPATION, 47
En passer d'abord par Spinoza, 47
De la régénération morale à la réforme politique, 52
Les voix de la raison, 60
De l'émancipation à l'assimilation, 66
De l'assimilation à la haine de soi, 73
ALLEMANDS, JUIFS, ET ALLEMANDS, 77
La Wissenchaft des Judentums, 77
La sécularisation du judaïsme, 85
La fabrique identitaire, 93
Juifs et/ou Allemands, symbiose ou ratage ?, 101
FREUD ET LE JUDAÏSME
Vienne au temps de la psychanalyse, 107
Du monothéisme à la "religionde la science", 118
Juif ou Allemand, 126
La psychanalyse est-elle une "scince juive" ?, 135
Rome, Athènes, Jérusalem, 140
L'ANTISÉMITISME AU TEMPS DE FREUD, 147
De la loi et de l'amour : de Saint Paul à Freud, 147
De la haine des juifs à la haine du père, 156
De l'antisémitisme à la haine de soi, 162
L'antisémitisme en Autriche, 173
Psychologie collective et national-socialisme, 179
Les juifs selon Nietzsche, 186
La psychanalyse sous le Troisième Reich, 190
FÉMINITÉ ET JUDAÏTÉ, 203
Bisexualité et bilatéralité, 203
La femme hors de la horde, 208
Judaïté et féminité, 213
De la menace féministe à la féminisation des hommes, 217
Juif et dégénérescence, 222
HERTZL ET FREUD, 227
Hertzl ou la terre intérieure, 227
La régénérescence sioniste, 237
Freud et le sionisme, 242
DE LA FABRIQUE DU PÈRE À LA FIGURE DE MOÏSE, 249
Le père comme origine, 249
Freud, père de la psychanalyse, 260
Du totem au signifiant, 266
L'effacement comme race, 272
Le déni du meurtre, 275
Écrire l'effacement, 282
Moïse, le nom de l'effacement, 287
CONCLUSION, 295
INDEX, 3054° de Couverture : Au siècle des Lumières, la sécularisation du judaïsme avait permis le réinvestissement de l'histoire et du politique. Devenu citoyen, et non plus étranger ou apatride, le juif fut plus allemand que les Allemands. Le mythe du juif errant avait vécu et l'Allemagne devenait la « patrie de l'âme juive ». Au XIX siècle, la psychanalyse a boule¬versé les conceptions de l'homme sur la sexualité, l'identité, la tem¬poralité. Le passé n'est pas révolu, il hante le présent, et le corps est l'espace d'une mémoire archivée à travers les symptômes où s'écrit l'histoire du sujet.
Pour Freud, le signifiant juif ne fut pas seulement le signifiant de la révolte et de la résistance à l'antisémitisme, il fut aussi un signifiant éclaté, disséminé, excessif, « quelque chose d'essentiel » qui lui per¬mit de s'extraire de « la majorité compacte ». Il refusa toujours de considérer la psychanalyse comme une science juive mais on ne peut ignorer que la judaïté de Freud regarde la psychanalyse. De la même manière, on ne peut méconnaître sa germanité, avec laquelle il entre¬tenait des rapports ambivalents : « Ma langue est allemande... mais je préfère me dire juif. »
L'assimilation fut la ligne de force du discours antisémite. Le nazisme consacra la rupture avec les idéaux de l'Aufklärung. La psychanalyse, considérée comme science juive, fut ravalée au rang de psychothéra¬pie, sacrifiée sur l'autel de l'adaptation, du conformisme et de la sou¬mission qui furent les valeurs d'asservissement de l'idéologie nazie. La race seule désormais suffisait à définir l'homme.
Aux nazis qui avaient décrété la supériorité de la race aryenne, Freud répond, comme il répond à Jung, qu'il n'y a pas de race pure et domi¬natrice, pas d'humanité homogène mais le brassage, le mélange et le métissage des hommes et des cultures. Moïse devient pour Freud le passeur de l'universel, l'affirmation que c'est l'étranger qui habite l'homme. La véritable filiation ne concerne ni le sang, ni la terre, ni le nom propre, mais la puissance vivifiante du Nom-du-Père qui ins¬crit le sujet dans une généalogie des signifiants, lui permettant de pro¬duire l'héritage plus que de le recevoir.
Georges Zimra, psychanalyste, psychiatre des hôpitaux, a déjà publié chez le même éditeur La passion d'être deux.
Freud, les juifs, les allemands [texte imprimé] / Georges Zimra, Auteur . - Editions Eres, 2002 . - 322 pages. - (Point hors ligne) .
ISBN : 978-2-7492-0051-4
Langues : Français (fre)
Sommaire : INTRODUCTION, 9
HISTOIRE ET MÉMOIRE JUIVES, 23
Le temps hors du temps, 23
Le messianisme : une ponctuation de la temporalité, 28
Le messianisme : figure des Lumières ?, 32
Dans le ghetto, 37
L'expérience singulière, 41
VERS L'ÉMANCIPATION, 47
En passer d'abord par Spinoza, 47
De la régénération morale à la réforme politique, 52
Les voix de la raison, 60
De l'émancipation à l'assimilation, 66
De l'assimilation à la haine de soi, 73
ALLEMANDS, JUIFS, ET ALLEMANDS, 77
La Wissenchaft des Judentums, 77
La sécularisation du judaïsme, 85
La fabrique identitaire, 93
Juifs et/ou Allemands, symbiose ou ratage ?, 101
FREUD ET LE JUDAÏSME
Vienne au temps de la psychanalyse, 107
Du monothéisme à la "religionde la science", 118
Juif ou Allemand, 126
La psychanalyse est-elle une "scince juive" ?, 135
Rome, Athènes, Jérusalem, 140
L'ANTISÉMITISME AU TEMPS DE FREUD, 147
De la loi et de l'amour : de Saint Paul à Freud, 147
De la haine des juifs à la haine du père, 156
De l'antisémitisme à la haine de soi, 162
L'antisémitisme en Autriche, 173
Psychologie collective et national-socialisme, 179
Les juifs selon Nietzsche, 186
La psychanalyse sous le Troisième Reich, 190
FÉMINITÉ ET JUDAÏTÉ, 203
Bisexualité et bilatéralité, 203
La femme hors de la horde, 208
Judaïté et féminité, 213
De la menace féministe à la féminisation des hommes, 217
Juif et dégénérescence, 222
HERTZL ET FREUD, 227
Hertzl ou la terre intérieure, 227
La régénérescence sioniste, 237
Freud et le sionisme, 242
DE LA FABRIQUE DU PÈRE À LA FIGURE DE MOÏSE, 249
Le père comme origine, 249
Freud, père de la psychanalyse, 260
Du totem au signifiant, 266
L'effacement comme race, 272
Le déni du meurtre, 275
Écrire l'effacement, 282
Moïse, le nom de l'effacement, 287
CONCLUSION, 295
INDEX, 3054° de Couverture : Au siècle des Lumières, la sécularisation du judaïsme avait permis le réinvestissement de l'histoire et du politique. Devenu citoyen, et non plus étranger ou apatride, le juif fut plus allemand que les Allemands. Le mythe du juif errant avait vécu et l'Allemagne devenait la « patrie de l'âme juive ». Au XIX siècle, la psychanalyse a boule¬versé les conceptions de l'homme sur la sexualité, l'identité, la tem¬poralité. Le passé n'est pas révolu, il hante le présent, et le corps est l'espace d'une mémoire archivée à travers les symptômes où s'écrit l'histoire du sujet.
Pour Freud, le signifiant juif ne fut pas seulement le signifiant de la révolte et de la résistance à l'antisémitisme, il fut aussi un signifiant éclaté, disséminé, excessif, « quelque chose d'essentiel » qui lui per¬mit de s'extraire de « la majorité compacte ». Il refusa toujours de considérer la psychanalyse comme une science juive mais on ne peut ignorer que la judaïté de Freud regarde la psychanalyse. De la même manière, on ne peut méconnaître sa germanité, avec laquelle il entre¬tenait des rapports ambivalents : « Ma langue est allemande... mais je préfère me dire juif. »
L'assimilation fut la ligne de force du discours antisémite. Le nazisme consacra la rupture avec les idéaux de l'Aufklärung. La psychanalyse, considérée comme science juive, fut ravalée au rang de psychothéra¬pie, sacrifiée sur l'autel de l'adaptation, du conformisme et de la sou¬mission qui furent les valeurs d'asservissement de l'idéologie nazie. La race seule désormais suffisait à définir l'homme.
Aux nazis qui avaient décrété la supériorité de la race aryenne, Freud répond, comme il répond à Jung, qu'il n'y a pas de race pure et domi¬natrice, pas d'humanité homogène mais le brassage, le mélange et le métissage des hommes et des cultures. Moïse devient pour Freud le passeur de l'universel, l'affirmation que c'est l'étranger qui habite l'homme. La véritable filiation ne concerne ni le sang, ni la terre, ni le nom propre, mais la puissance vivifiante du Nom-du-Père qui ins¬crit le sujet dans une généalogie des signifiants, lui permettant de pro¬duire l'héritage plus que de le recevoir.
Georges Zimra, psychanalyste, psychiatre des hôpitaux, a déjà publié chez le même éditeur La passion d'être deux.
Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 100456 AUTR Livre Etagères de la Maison de la psychanalyse Autres auteurs (AUTR) Exclu du prêt Jacques Lacan, un psychanalyste / Erik Porge
Titre : Jacques Lacan, un psychanalyste : Parcours d'un enseignement Type de document : texte imprimé Auteurs : Erik Porge, Auteur Editeur : Editions Eres Année de publication : 2000 Collection : Point hors ligne Importance : 370 pages ISBN/ISSN/EAN : 978-2-86586-810-0 Langues : Français (fre) Sommaire : Introduction, 7
LE GÉNIE DE LACAN, 15
IMAGINAIRE, SYMBOLIQUE, RÉEL ET LES NOMS DU PÈRE, 63
L'imaginaire. Le stade du miroir, 63
Le symbolique. L'inconscient est structuré comme un langage, 73
Le réel, 111
Les noms du père, 125
LES INVENTIONS RECONNUES POUR TELLES PAR LACAN, 173
L'objet a, 173
Le réel, les réels, 253
LE TRANSFERT ET LA FIN DE L'ANALYSE, 253
L'ACTION DE LACAN DANS LA COMMUNAUTÉ ANALYTIQUE ET AU-DELÀ, 285
BIBLIOGRAPHIE, 337
INDEX DES NOMS PROPRES, 347
INDEX, 3534° de Couverture : Depuis que Lacan est mort, en 1981, la lecture est le principal
moyen d’accès a son oeuvre. Si aujourd’hui cet accès est facilité par une plus grande diffusion des textes et les nombreuses études qui les concernent, il est vrai aussi que des forces agissent en sens contraire : les conséquences de la dispersion des lacaniens, le tarissement de la tradition orale, les aléas de l’édition...
Cet ouvrage propose une lecture de la diversité du tressage de
l’oeuvre de Jacques Lacan, de ses avancées théoriques et cliniques ainsi que de leurs articulations avec l’action qu’il a menée dans la communauté analytique et au-delà. A chaque fois l’auteur resitue les positions et propositions de Lacan dans leur évolution historique, en tenant compte des récents travaux parus pour éclaircir les aspects les plus complexes. Il met ainsi en évidence le parcours de l’enseignement de Lacan pris dans son ensemble.
C’est le psychanalyste Lacan qui est ici privilégié, celui dont le but était de former des analystes et qui apprenait des analysants ce qu’est la psychanalyse. Ainsi des développements sont—ils particulièrement consacrés a des considérations cliniques et à la question de la fin de l’analyse. L’accent est aussi mis sur ce que Lacan a lui-même énoncé comme étant ses inventions : l’objet a et le réel.
Il est permis d’espérer que ce livre incitera le lecteur a se reporter aux textes originaux de Lacan, afin de laisser a ceux-ci leur chance d'opérer, pour chacun, des effets de sens.
Erik Forge, psychanalyste, fut membre de l'Ecole freudienne de
Paris jusqu’à sa dissolution ; il dirige aujourd’hui la revue Essaim.
Jacques Lacan, un psychanalyste : Parcours d'un enseignement [texte imprimé] / Erik Porge, Auteur . - Editions Eres, 2000 . - 370 pages. - (Point hors ligne) .
ISBN : 978-2-86586-810-0
Langues : Français (fre)
Sommaire : Introduction, 7
LE GÉNIE DE LACAN, 15
IMAGINAIRE, SYMBOLIQUE, RÉEL ET LES NOMS DU PÈRE, 63
L'imaginaire. Le stade du miroir, 63
Le symbolique. L'inconscient est structuré comme un langage, 73
Le réel, 111
Les noms du père, 125
LES INVENTIONS RECONNUES POUR TELLES PAR LACAN, 173
L'objet a, 173
Le réel, les réels, 253
LE TRANSFERT ET LA FIN DE L'ANALYSE, 253
L'ACTION DE LACAN DANS LA COMMUNAUTÉ ANALYTIQUE ET AU-DELÀ, 285
BIBLIOGRAPHIE, 337
INDEX DES NOMS PROPRES, 347
INDEX, 3534° de Couverture : Depuis que Lacan est mort, en 1981, la lecture est le principal
moyen d’accès a son oeuvre. Si aujourd’hui cet accès est facilité par une plus grande diffusion des textes et les nombreuses études qui les concernent, il est vrai aussi que des forces agissent en sens contraire : les conséquences de la dispersion des lacaniens, le tarissement de la tradition orale, les aléas de l’édition...
Cet ouvrage propose une lecture de la diversité du tressage de
l’oeuvre de Jacques Lacan, de ses avancées théoriques et cliniques ainsi que de leurs articulations avec l’action qu’il a menée dans la communauté analytique et au-delà. A chaque fois l’auteur resitue les positions et propositions de Lacan dans leur évolution historique, en tenant compte des récents travaux parus pour éclaircir les aspects les plus complexes. Il met ainsi en évidence le parcours de l’enseignement de Lacan pris dans son ensemble.
C’est le psychanalyste Lacan qui est ici privilégié, celui dont le but était de former des analystes et qui apprenait des analysants ce qu’est la psychanalyse. Ainsi des développements sont—ils particulièrement consacrés a des considérations cliniques et à la question de la fin de l’analyse. L’accent est aussi mis sur ce que Lacan a lui-même énoncé comme étant ses inventions : l’objet a et le réel.
Il est permis d’espérer que ce livre incitera le lecteur a se reporter aux textes originaux de Lacan, afin de laisser a ceux-ci leur chance d'opérer, pour chacun, des effets de sens.
Erik Forge, psychanalyste, fut membre de l'Ecole freudienne de
Paris jusqu’à sa dissolution ; il dirige aujourd’hui la revue Essaim.
Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 100277 AUTR Livre Etagères de la Maison de la psychanalyse Autres auteurs (AUTR) Exclu du prêt Un monde sans limite / Jean-Pierre Lebrun
Titre : Un monde sans limite Titre original : Essai pour une clinique psychanalytique du social Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean-Pierre Lebrun, Auteur Editeur : Editions Eres Année de publication : 1999 Collection : Point hors ligne Importance : 250 pages ISBN/ISSN/EAN : 978-2-86586-524-6 Langues : Français (fre) Sommaire :
Avant-propos, 11
Introduction, 15
I- LA FONCTION DU PÈRE, 25
Le Père institue l'altérité, 29
Un Œdipe à trois ou à quatre, 38
Conditions d'exercice de la fonction paternelle, 44
Un monde sans père(s) ?, 49
II- LE DISCOURS DE LA SCIENCE, 57
La double naissance de la science, 62
Un troisième moment de la science, 70
III- UN SCIENTISME ORDINAIRE, 79
Une perte en monde, 81
Le Nazisme comme anticipation, 84
Tyrannie et Totalitarisme, 91
Les figures du tyran, 100
Le levier de la famille, 105
IV- UN SYMBOLIQUE VIRTUEL, 111
Caractéristiques du « marquage » social par la science, 114
L'enlisement dans l'imaginaire, 131
Un symbolique virtuel, 137
La désinscription de la différence, 144
V- UNE CLINIQUE DU SOCIAL, 151
La toxicomanie, 158
Les nouvelles maladies de l'âme, 161
L'adolesc-i-ence, 170
La perte de la référence, 172
Une dévalorisation du politique, 179
Une bisexualité sociale, 184
Une clinique de la postmodernité, 188
VI- LES LOIS DU LANGAGE, 197
De la loi du langage aux lois de la parole, 201
Les suppléments de pensée, 211
-Redonner sa place à l'énonciation
-Rétablir la catégorie de l'impossible
-Restaurer la faculté de juger
La responsabilité du psychanalyste, 228
Epilogue, 237
4° de Couverture :
Le psychanalyste peut-il contribuer à éclairer "le malaise dans la civilisation" d'aujourd'hui ?
C'est le pari de l'auteur qui, à partir de sa clinique, tente de repérer en quoi notre social est marqué par les implicites du discours de la science. Ce faisant, il met en lumière aussi bien les mécanismes de notre société - désavœu de la fonction paternelle, infiltration par un symbolisme virtuel, ébranlement de la responsabilité et de la référence, etc. - que les conséquences pour chacun de
la fascination pour la méthode de la science - élision de l'énonciation, disparition du sens commun de la limite, perte de la faculté de juger et d'établir une hiérarchie de valeurs...
Confronté à ce que d'aucuns appellent nouvelles pathologies (toxicomanies, états limites, somatisations...) ou phénomènes de société (exclusion, racisme, sectes, violences...), Jean-Pierre
Lebrun se demande s'il ne s'agit pas là d'actualisations de ce qui a toujours constitué la colonne vertébrale de la pathologie psychique : le refus d'assumer les conséquences du fait que nous
sommes des êtres parlants. La nouveauté tiendrait dès lors aux possibilités jusqu'ici inédites que procure aux sujets le social d'aujourd'hui de profiter des avatars de leur histoire pour contre-
venir aux lois du langage et de la parole.
Analysant les conséquences de la mutation que nous vivons - passage du jouir ensemble articulé autour du primat de la religion au jouir ensemble organisé autour de la prévalence de la science - cet ouvrage fournit au lecteur des repères pour comprendre les enjeux de notre monde actuel.
Jean-Pierre Lebrun, psychiatre et psychanalyste, exerce à Namur en Belgique.
Un monde sans limite = Essai pour une clinique psychanalytique du social [texte imprimé] / Jean-Pierre Lebrun, Auteur . - Editions Eres, 1999 . - 250 pages. - (Point hors ligne) .
ISBN : 978-2-86586-524-6
Langues : Français (fre)
Sommaire :
Avant-propos, 11
Introduction, 15
I- LA FONCTION DU PÈRE, 25
Le Père institue l'altérité, 29
Un Œdipe à trois ou à quatre, 38
Conditions d'exercice de la fonction paternelle, 44
Un monde sans père(s) ?, 49
II- LE DISCOURS DE LA SCIENCE, 57
La double naissance de la science, 62
Un troisième moment de la science, 70
III- UN SCIENTISME ORDINAIRE, 79
Une perte en monde, 81
Le Nazisme comme anticipation, 84
Tyrannie et Totalitarisme, 91
Les figures du tyran, 100
Le levier de la famille, 105
IV- UN SYMBOLIQUE VIRTUEL, 111
Caractéristiques du « marquage » social par la science, 114
L'enlisement dans l'imaginaire, 131
Un symbolique virtuel, 137
La désinscription de la différence, 144
V- UNE CLINIQUE DU SOCIAL, 151
La toxicomanie, 158
Les nouvelles maladies de l'âme, 161
L'adolesc-i-ence, 170
La perte de la référence, 172
Une dévalorisation du politique, 179
Une bisexualité sociale, 184
Une clinique de la postmodernité, 188
VI- LES LOIS DU LANGAGE, 197
De la loi du langage aux lois de la parole, 201
Les suppléments de pensée, 211
-Redonner sa place à l'énonciation
-Rétablir la catégorie de l'impossible
-Restaurer la faculté de juger
La responsabilité du psychanalyste, 228
Epilogue, 237
4° de Couverture :
Le psychanalyste peut-il contribuer à éclairer "le malaise dans la civilisation" d'aujourd'hui ?
C'est le pari de l'auteur qui, à partir de sa clinique, tente de repérer en quoi notre social est marqué par les implicites du discours de la science. Ce faisant, il met en lumière aussi bien les mécanismes de notre société - désavœu de la fonction paternelle, infiltration par un symbolisme virtuel, ébranlement de la responsabilité et de la référence, etc. - que les conséquences pour chacun de
la fascination pour la méthode de la science - élision de l'énonciation, disparition du sens commun de la limite, perte de la faculté de juger et d'établir une hiérarchie de valeurs...
Confronté à ce que d'aucuns appellent nouvelles pathologies (toxicomanies, états limites, somatisations...) ou phénomènes de société (exclusion, racisme, sectes, violences...), Jean-Pierre
Lebrun se demande s'il ne s'agit pas là d'actualisations de ce qui a toujours constitué la colonne vertébrale de la pathologie psychique : le refus d'assumer les conséquences du fait que nous
sommes des êtres parlants. La nouveauté tiendrait dès lors aux possibilités jusqu'ici inédites que procure aux sujets le social d'aujourd'hui de profiter des avatars de leur histoire pour contre-
venir aux lois du langage et de la parole.
Analysant les conséquences de la mutation que nous vivons - passage du jouir ensemble articulé autour du primat de la religion au jouir ensemble organisé autour de la prévalence de la science - cet ouvrage fournit au lecteur des repères pour comprendre les enjeux de notre monde actuel.
Jean-Pierre Lebrun, psychiatre et psychanalyste, exerce à Namur en Belgique.
Exemplaires (2)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 103639 AUTR Livre Etagères de la Maison de la psychanalyse Autres auteurs (AUTR) Exclu du prêt 103419 AUTR Livre Réserve Autres auteurs (AUTR) Exclu du prêt Les noms du père chez Jacques Lacan / Erik Porge
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