| Titre : |
Rencontre brève avec un psychanalyste |
| Type de document : |
texte imprimé |
| Auteurs : |
Hélène Deltombe, Auteur ; Lilia Mahjoub, Auteur ; Fabien Grasser, Auteur ; Liliana Salazar Redon, Auteur ; Philippe Bénichou, Auteur ; Beatriz Gonzalez, Auteur ; Nicolas Jude, Auteur ; Pascale Fari, Auteur ; Blancard, Marie-Hélène, Auteur ; Evangelia Tsoni, Auteur ; Claude Quenardel, Auteur |
| Editeur : |
Ecole de la Cause Freudienne |
| Année de publication : |
2012 |
| Collection : |
Collection rue Huysmans |
| Importance : |
82 pages |
| Langues : |
Français (fre) |
| Sommaire : |
Lilia Mahjoub, Présidente du CPCT-Paris : Ouverture, 9
Fabien Grasser, Directeur du CPCT-Paris : Introduction au recueil, 13
I. Chutes d’identification
Liliana Salazar Redon : « Un coeur sec », 17
Philippe Benichou : Un effet thérapeutique rapide, 21
II. Rectifications subjectives
Beatriz Gonzalez : Une pièce manque au puzzle, 27
Nicolas Jude : « Je suis la peureuse de la famille », 32
III. Au-delà de la gratuité
Pascale Fari : Payer pour parler ?, 39
Marie-Hélène Blancard : Tout pour ma mère, 44
IV. Le traitement de l’objet
Evangelia Tsoni : « Celui qui regarde n’existe pas », 51
Hélène Deltombe : Au coeur du symptôme, l’objet a, 56
V. La création pour solution
Claude Quenardel : Une solution au vide, 63
Fabien Grasser : "Je n’ai pas le choix", 68
Hélène Deltombe : Conclusion, 75
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| 4° de Couverture : |
La pratique au Centre Psychanalytique de Consultations et de Traitement de Paris, tout comme la doctrine et l’éthique auxquelles elle se réfère, relève, comme la dénomination du
Centre l’indique, de la psychanalyse.
Qu’une rencontre avec un psychanalyste soit brève n’empêche en rien qu’elle appartienne au champ psychanalytique et que les notions et concepts nés dans ce champ l’orientent, l’éclairent et permettent la transmission de son expérience dans le discours de l’analyste.
Le discours analytique a introduit une rupture radicale par rapport au discours du maître qui articulait jusque-là la plainte du sujet souffrant en laissant en attente son désir.
Dans le discours de l’analyste, le désir ne saurait par contre attendre et c’est pour cela que la pratique de la rencontre brève avec un psychanalyste ouvre une voie possible à l’urgence subjective.
C’est plutôt la demande qui, elle, peut attendre, au sens où l’analyste ne saurait la satisfaire, et qui a ainsi quelque chance de pouvoir être articulée par le sujet, c’est-à-dire de se déployer dans la rencontre brève, et donner alors lieu à ces effets, des effets sous transfert, que sont l’apaisement de l’angoisse, la rectification de la position du sujet quant à la réalité qu’il accuse, le desserrement du fantasme, lequel est une chaîne ou un noeud, pour donner plus de jeu à l’objet, mais aussi l’épreuve du battement de l’inconscient, soit son ouverture et sa fermeture.
Lilia Mahjoub |
Rencontre brève avec un psychanalyste [texte imprimé] / Hélène Deltombe, Auteur ; Lilia Mahjoub, Auteur ; Fabien Grasser, Auteur ; Liliana Salazar Redon, Auteur ; Philippe Bénichou, Auteur ; Beatriz Gonzalez, Auteur ; Nicolas Jude, Auteur ; Pascale Fari, Auteur ; Blancard, Marie-Hélène, Auteur ; Evangelia Tsoni, Auteur ; Claude Quenardel, Auteur . - Ecole de la Cause Freudienne, 2012 . - 82 pages. - ( Collection rue Huysmans) . Langues : Français ( fre)
| Sommaire : |
Lilia Mahjoub, Présidente du CPCT-Paris : Ouverture, 9
Fabien Grasser, Directeur du CPCT-Paris : Introduction au recueil, 13
I. Chutes d’identification
Liliana Salazar Redon : « Un coeur sec », 17
Philippe Benichou : Un effet thérapeutique rapide, 21
II. Rectifications subjectives
Beatriz Gonzalez : Une pièce manque au puzzle, 27
Nicolas Jude : « Je suis la peureuse de la famille », 32
III. Au-delà de la gratuité
Pascale Fari : Payer pour parler ?, 39
Marie-Hélène Blancard : Tout pour ma mère, 44
IV. Le traitement de l’objet
Evangelia Tsoni : « Celui qui regarde n’existe pas », 51
Hélène Deltombe : Au coeur du symptôme, l’objet a, 56
V. La création pour solution
Claude Quenardel : Une solution au vide, 63
Fabien Grasser : "Je n’ai pas le choix", 68
Hélène Deltombe : Conclusion, 75
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| 4° de Couverture : |
La pratique au Centre Psychanalytique de Consultations et de Traitement de Paris, tout comme la doctrine et l’éthique auxquelles elle se réfère, relève, comme la dénomination du
Centre l’indique, de la psychanalyse.
Qu’une rencontre avec un psychanalyste soit brève n’empêche en rien qu’elle appartienne au champ psychanalytique et que les notions et concepts nés dans ce champ l’orientent, l’éclairent et permettent la transmission de son expérience dans le discours de l’analyste.
Le discours analytique a introduit une rupture radicale par rapport au discours du maître qui articulait jusque-là la plainte du sujet souffrant en laissant en attente son désir.
Dans le discours de l’analyste, le désir ne saurait par contre attendre et c’est pour cela que la pratique de la rencontre brève avec un psychanalyste ouvre une voie possible à l’urgence subjective.
C’est plutôt la demande qui, elle, peut attendre, au sens où l’analyste ne saurait la satisfaire, et qui a ainsi quelque chance de pouvoir être articulée par le sujet, c’est-à-dire de se déployer dans la rencontre brève, et donner alors lieu à ces effets, des effets sous transfert, que sont l’apaisement de l’angoisse, la rectification de la position du sujet quant à la réalité qu’il accuse, le desserrement du fantasme, lequel est une chaîne ou un noeud, pour donner plus de jeu à l’objet, mais aussi l’épreuve du battement de l’inconscient, soit son ouverture et sa fermeture.
Lilia Mahjoub |
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