| Titre : |
Les bourreaux volontaires de Hitler : Les allemands ordinaires et l'Holocauste |
| Type de document : |
texte imprimé |
| Auteurs : |
Daniel Jonah Goldhagen, Auteur |
| Editeur : |
Seuil |
| Année de publication : |
1997 |
| Importance : |
590 pages |
| ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-02-028982-5 |
| Langues : |
Français (fre) Langues originales : Américain (ame) |
| Sommaire : |
Introduction. Repenser les aspects centraux de l’Holocauste, 11
PREMIÈRE PARTIE – COMPRENDRE L’ANTISÉMITISME ALLEMAND
la pensée éliminationniste
1. L’antisémitisme repensé : un cadre pour l’analyse, 37
2. L’évolution de l’antisémitisme éliminationniste dans l’Allemagne moderne, 61
3. L’antisémitisme éliminationniste, « sens commun » de la société allemande pendant la période nazie, 91
DEUXIÈME PARTIE – PROGRAMME ET INSTITUTIONS ÉLIMINATIONNISTES
4. L’assaut nazi contre les Juifs et son évolution, 139
5. Agents et mécanismes de l’extermination, 169
TROISIÈME PARTIE – LES BATAILLONS DE POLICE DES ALLEMANDS ORDINAIRES, DES TUEURS VOLONTAIRES
6. Les bataillons de police : des agents du génocide, 187
7. Le 101e bataillon de police : les actes des hommes, 209
8. Le 101e bataillon de police : peser les motivations des hommes, 243
9. Les bataillons de police : vie, meurtres, motivations, 265
QUATRIÈME PARTIE – LES CAMPS DE « TRAVAIL » POUR LES JUIFS, DES CAMPS D’EXTERMINATION
10. L’Allemagne nazie et le « travail » juif, 285
11. La vie dans les camps de « travail », 295
12. Travail et mort, 319
CINQUIÈME PARTIE – LES MARCHES DE LA MORT JUSQU’AUX DERNIERS JOURS
13. Les chemins de la mort, 329
14. Les marches : dans quel but ?, 355
SIXIÈME PARTIE – ANTISÉMITISME ÉLIMINATIONNISTE, ALLEMANDS ORDINAIRES, BOURREAUX VOLONTAIRES
15. Expliquer les actes des coupables : comparaison des différentes explications, 371
16. L’antisémitisme éliminationniste, motivation du génocide, 409
Épilogue. La révolution de l’Allemagne nazie, 44
ANNEXES
Note de méthodologie, 455
Tableau des croyances dominantes en Allemagne nazie à propos des Juifs, des malades mentaux et des Slaves, 461
Pseudonymes, 465
Abréviations, 467
Notes, 469
Préface à l’édition allemande, 565
Index, 573 |
| 4° de Couverture : |
Daniel Jonah Goldhagen reprend, dans ce livre ardent et qui a suscité un intense débat – surtout en Allemagne –, la question des responsables de la Shoah. Les études antérieures du génocide des Juifs ont concentré l’attention sur les dirigeants nazis ou les SS, ainsi que sur l’extermination « industrielle » dans les chambres à gaz et sur le rôle de la bureaucratie dans l’Holocauste. Lui s’intéresse aux tueurs « ordinaires », aux simples citoyens, sans qui le génocide, ordonné d’en haut, n’aurait pas pu avoir lieu.
C’est une erreur de penser que les bourreaux n’ont agi que sous la contrainte d’un système totalitaire ou des pressions socio-psychologiques. La cause profonde dépasse Hitler ; elle tient dans l’antisémitisme dont la société allemande a été imprégnée depuis la fin du XIXe siècle – et que Hitler a porté à son point d’incandescence.
Daniel Jonah Goldhagen est professeur de sciences politiques à l’université Harvard.
Traduit de l’américain par Pierre Martin. |
Les bourreaux volontaires de Hitler : Les allemands ordinaires et l'Holocauste [texte imprimé] / Daniel Jonah Goldhagen, Auteur . - Seuil, 1997 . - 590 pages. ISBN : 978-2-02-028982-5 Langues : Français ( fre) Langues originales : Américain ( ame)
| Sommaire : |
Introduction. Repenser les aspects centraux de l’Holocauste, 11
PREMIÈRE PARTIE – COMPRENDRE L’ANTISÉMITISME ALLEMAND
la pensée éliminationniste
1. L’antisémitisme repensé : un cadre pour l’analyse, 37
2. L’évolution de l’antisémitisme éliminationniste dans l’Allemagne moderne, 61
3. L’antisémitisme éliminationniste, « sens commun » de la société allemande pendant la période nazie, 91
DEUXIÈME PARTIE – PROGRAMME ET INSTITUTIONS ÉLIMINATIONNISTES
4. L’assaut nazi contre les Juifs et son évolution, 139
5. Agents et mécanismes de l’extermination, 169
TROISIÈME PARTIE – LES BATAILLONS DE POLICE DES ALLEMANDS ORDINAIRES, DES TUEURS VOLONTAIRES
6. Les bataillons de police : des agents du génocide, 187
7. Le 101e bataillon de police : les actes des hommes, 209
8. Le 101e bataillon de police : peser les motivations des hommes, 243
9. Les bataillons de police : vie, meurtres, motivations, 265
QUATRIÈME PARTIE – LES CAMPS DE « TRAVAIL » POUR LES JUIFS, DES CAMPS D’EXTERMINATION
10. L’Allemagne nazie et le « travail » juif, 285
11. La vie dans les camps de « travail », 295
12. Travail et mort, 319
CINQUIÈME PARTIE – LES MARCHES DE LA MORT JUSQU’AUX DERNIERS JOURS
13. Les chemins de la mort, 329
14. Les marches : dans quel but ?, 355
SIXIÈME PARTIE – ANTISÉMITISME ÉLIMINATIONNISTE, ALLEMANDS ORDINAIRES, BOURREAUX VOLONTAIRES
15. Expliquer les actes des coupables : comparaison des différentes explications, 371
16. L’antisémitisme éliminationniste, motivation du génocide, 409
Épilogue. La révolution de l’Allemagne nazie, 44
ANNEXES
Note de méthodologie, 455
Tableau des croyances dominantes en Allemagne nazie à propos des Juifs, des malades mentaux et des Slaves, 461
Pseudonymes, 465
Abréviations, 467
Notes, 469
Préface à l’édition allemande, 565
Index, 573 |
| 4° de Couverture : |
Daniel Jonah Goldhagen reprend, dans ce livre ardent et qui a suscité un intense débat – surtout en Allemagne –, la question des responsables de la Shoah. Les études antérieures du génocide des Juifs ont concentré l’attention sur les dirigeants nazis ou les SS, ainsi que sur l’extermination « industrielle » dans les chambres à gaz et sur le rôle de la bureaucratie dans l’Holocauste. Lui s’intéresse aux tueurs « ordinaires », aux simples citoyens, sans qui le génocide, ordonné d’en haut, n’aurait pas pu avoir lieu.
C’est une erreur de penser que les bourreaux n’ont agi que sous la contrainte d’un système totalitaire ou des pressions socio-psychologiques. La cause profonde dépasse Hitler ; elle tient dans l’antisémitisme dont la société allemande a été imprégnée depuis la fin du XIXe siècle – et que Hitler a porté à son point d’incandescence.
Daniel Jonah Goldhagen est professeur de sciences politiques à l’université Harvard.
Traduit de l’américain par Pierre Martin. |
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