Titre : |
Crainte et tremblement : Lyrique-dialectique |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
S. Kierkegaard, Auteur |
Editeur : |
Aubier |
Année de publication : |
1984 |
Collection : |
Bibliothèque philosophique |
Importance : |
227 pages |
ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-7007-0356-6 |
Langues : |
Français (fre) |
Sommaire : |
J. Wahl, Introduction, VII
Avant-propos, 1
Atmosphère, 7
I. 8
II. 11
III. 12
IV. 13
Éloge d’Abraham, 15
Problemata, 31
Effusion préliminaire, 31
Problème I. – Y a-t-il une suspension téléologique du moral ?, 82
Problème II. – Y a-t-il un devoir absolu envers Dieu ?, 107
Problème III. – Peut-on moralement justifier le silence d’Abraham vis-à-vis de Sara, d’Éliézer et d’Isaac ?, 132
Épilogue, 203
Notes, 209
Table des matières, 219 |
4° de Couverture : |
« Ce que j'appelle proprement humain, c’est la passion, dans laquelle chaque génération comprend entièrement l'autre et se comprend elle-même. Ainsi, pour ce qui est d'aimer, aucune génération n’a appris d’une autre à aimer, aucune génération ne commence à un autre point qu'au commencement, aucune génération ultérieure n’a une tâche plus brève que la génération précédente; et, si l’on ne veut pas, comme les générations précédentes, s’en tenir à aimer, mais bien aller plus loin, ce ne sont que vaines et mauvaises paroles. » |
Crainte et tremblement : Lyrique-dialectique [texte imprimé] / S. Kierkegaard, Auteur . - Aubier, 1984 . - 227 pages. - ( Bibliothèque philosophique) . ISBN : 978-2-7007-0356-6 Langues : Français ( fre)
Sommaire : |
J. Wahl, Introduction, VII
Avant-propos, 1
Atmosphère, 7
I. 8
II. 11
III. 12
IV. 13
Éloge d’Abraham, 15
Problemata, 31
Effusion préliminaire, 31
Problème I. – Y a-t-il une suspension téléologique du moral ?, 82
Problème II. – Y a-t-il un devoir absolu envers Dieu ?, 107
Problème III. – Peut-on moralement justifier le silence d’Abraham vis-à-vis de Sara, d’Éliézer et d’Isaac ?, 132
Épilogue, 203
Notes, 209
Table des matières, 219 |
4° de Couverture : |
« Ce que j'appelle proprement humain, c’est la passion, dans laquelle chaque génération comprend entièrement l'autre et se comprend elle-même. Ainsi, pour ce qui est d'aimer, aucune génération n’a appris d’une autre à aimer, aucune génération ne commence à un autre point qu'au commencement, aucune génération ultérieure n’a une tâche plus brève que la génération précédente; et, si l’on ne veut pas, comme les générations précédentes, s’en tenir à aimer, mais bien aller plus loin, ce ne sont que vaines et mauvaises paroles. » |
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