[n° ou bulletin] 

Titre :	041 - Avril 1999 - Le sacrifice de la castration
Type de document :	texte imprimé
Auteurs :	Jacques-Alain Miller, Auteur ; Jean-Claude Razavet, Auteur ; Anicette Sangnier, Auteur ; Pierre Skriabine, Auteur ; Armand Zaloszyc, Auteur ; Laure Naveau, Auteur ; Anne Dunand, Auteur ; Esthela Solano-Suarez, Auteur ; Claude Luca Georges, Auteur ; Virginio Baïo, Auteur ; Charles Schreiber, Auteur ; Carlos Augusto Nicéas, Auteur ; Lacadée, Philippe, Auteur ; Catherine Bonningue, Auteur ; Serge Cottet, Auteur ; Bernard Jothy, Auteur ; Réginald Blanchet, Auteur ; Newton Da Costa, Auteur ; Otavio Bueno, Auteur ; Gilles Chatenay, Auteur ; Paulo Siqueira, Auteur
Année de publication :	1999
Importance :	150 pages
Langues :	Français (fre)
Sommaire :	ÉDITORIAL Paulo Siqueira, Le sacrifice de la castration, 3 ÉVÉNEMENT Jacques-Alain Miller, Discussion d’un cas clinique à l’Association Psychanalytique de Córdoba, 7 ENSEIGNEMENT Jean-Claude Razavet, Du roc de la castration au roc de la structure, 23 FIGURES DU SACRIFICE Anicette Sangnier, "Le sacrifice de mes yeux", 31 Pierre Skriabine, Apories d'un sacrifice accompli, 35 Armand Zaloszyc, Strates, 39 APRÈS LA CASTRATION Laure Naveau, Freud et l’Acropole : La castration et le désir de savoir, 49 Anne Dunand, Le refus du ravage, 54 Esthela Solano-Suarez, Le consentement féminin, 57 CONNEXIONS Claude Luca Georges, Insondable absence, 63 CLINIQUE Virginio Baio, L’acte à plusieurs, 69 Charles Schreiber, De la faillite de l'amour à un lego sonorisé, 74 C. A. Nicéas, Un pervers et la castration, 79 Philippe Lacadée, Comment le sujet s’embrouille de sa libido ?, 84 Catherine Bonningue, Secret de famille et castration, 89 CONCEPTS ASSOCIÉS Serge Cottet, Symptôme et Noms de la femme chez Freud, 93 Bernard Jothy, Castration et Idéal du moi, 100 Réginald Blanchet, La fiction contemporaine du corps, 103 LOGIQUE LACANIENNE Newton Da Costa et O. Bueno, Interprétation et paraconsistance, 109 Gilles Chatenay, Le champ freudien et le champ lacanien, 119 LE CABINET DE LECTURE, 129 ABSTRACTS, 137
4° de Couverture :	La castration. Encore. Le mot n’est pas drôle, ni beau non plus. La chose l’est encore moins. Mais que dire de son sacrifice ? Lacan est le seul à en avoir eu l’idée, à contre-courant du sens commun et de Freud. Voici en quels termes : « Ce que le névrosé ne veut pas et ce qu’il refuse avec acharnement jusqu’à la fin de l’analyse, c’est de sacrifier sa castration à la jouissance de l’Autre, en l’y laissant servir ». La castration, ce manque qui relève du symbolique, concerne un objet imaginaire et dont l’agent est le père réel, serait-elle donc l’objet d’un sacrifice ? Le terme semble paradoxal : sacrifier un manque pour la jouissance de l’Autre, « en l’y laissant servir ». A quoi bon cet acharnement que Lacan impute au névrosé ?  Quid du psychotique ? ce manque qu’il rejette (forclôt), n’a-t-il pas à en faire aussi le sacrifice ? En va-t-il de même pour les femmes, lesquelles, croit-on savoir, n’ont rien à perdre de ce côté-là ? Autant de questions que ce texte de Lacan de 1960 laisse en suspens. » Paulo Siqueira

[n° ou bulletin]  041 - Avril 1999 - Le sacrifice de la castration [texte imprimé] / Jacques-Alain Miller, Auteur ; Jean-Claude Razavet, Auteur ; Anicette Sangnier, Auteur ; Pierre Skriabine, Auteur ; Armand Zaloszyc, Auteur ; Laure Naveau, Auteur ; Anne Dunand, Auteur ; Esthela Solano-Suarez, Auteur ; Claude Luca Georges, Auteur ; Virginio Baïo, Auteur ; Charles Schreiber, Auteur ; Carlos Augusto Nicéas, Auteur ; Lacadée, Philippe, Auteur ; Catherine Bonningue, Auteur ; Serge Cottet, Auteur ; Bernard Jothy, Auteur ; Réginald Blanchet, Auteur ; Newton Da Costa, Auteur ; Otavio Bueno, Auteur ; Gilles Chatenay, Auteur ; Paulo Siqueira, Auteur . - 1999 . - 150 pages.
Langues : Français (fre)

Sommaire :

ÉDITORIAL Paulo Siqueira, Le sacrifice de la castration, 3 ÉVÉNEMENT Jacques-Alain Miller, Discussion d’un cas clinique à l’Association Psychanalytique de Córdoba, 7 ENSEIGNEMENT Jean-Claude Razavet, Du roc de la castration au roc de la structure, 23 FIGURES DU SACRIFICE Anicette Sangnier, "Le sacrifice de mes yeux", 31 Pierre Skriabine, Apories d'un sacrifice accompli, 35 Armand Zaloszyc, Strates, 39 APRÈS LA CASTRATION Laure Naveau, Freud et l’Acropole : La castration et le désir de savoir, 49 Anne Dunand, Le refus du ravage, 54 Esthela Solano-Suarez, Le consentement féminin, 57 CONNEXIONS Claude Luca Georges, Insondable absence, 63 CLINIQUE Virginio Baio, L’acte à plusieurs, 69 Charles Schreiber, De la faillite de l'amour à un lego sonorisé, 74 C. A. Nicéas, Un pervers et la castration, 79 Philippe Lacadée, Comment le sujet s’embrouille de sa libido ?, 84 Catherine Bonningue, Secret de famille et castration, 89 CONCEPTS ASSOCIÉS Serge Cottet, Symptôme et Noms de la femme chez Freud, 93 Bernard Jothy, Castration et Idéal du moi, 100 Réginald Blanchet, La fiction contemporaine du corps, 103 LOGIQUE LACANIENNE Newton Da Costa et O. Bueno, Interprétation et paraconsistance, 109 Gilles Chatenay, Le champ freudien et le champ lacanien, 119 LE CABINET DE LECTURE, 129 ABSTRACTS, 137

4° de Couverture :

La castration. Encore. Le mot n’est pas drôle, ni beau non plus. La chose l’est encore moins. Mais que dire de son sacrifice ? Lacan est le seul à en avoir eu l’idée, à contre-courant du sens commun et de Freud. Voici en quels termes : « Ce que le névrosé ne veut pas et ce qu’il refuse avec acharnement jusqu’à la fin de l’analyse, c’est de sacrifier sa castration à la jouissance de l’Autre, en l’y laissant servir ». La castration, ce manque qui relève du symbolique, concerne un objet imaginaire et dont l’agent est le père réel, serait-elle donc l’objet d’un sacrifice ? Le terme semble paradoxal : sacrifier un manque pour la jouissance de l’Autre, « en l’y laissant servir ». A quoi bon cet acharnement que Lacan impute au névrosé ?  Quid du psychotique ? ce manque qu’il rejette (forclôt), n’a-t-il pas à en faire aussi le sacrifice ? En va-t-il de même pour les femmes, lesquelles, croit-on savoir, n’ont rien à perdre de ce côté-là ? Autant de questions que ce texte de Lacan de 1960 laisse en suspens. » Paulo Siqueira