[n° ou bulletin]
Titre : |
055 - 1988 - Lacan et la chose japonaise |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Pierre Skriabine, Auteur ; Jean-Louis Gault, Auteur ; Takatsugu Sasaki, Auteur ; Hiroyuki Akama, Auteur ; Shin'ya Ogasawara, Auteur ; Kunifumi Suzuki, Auteur ; François Morel, Auteur ; Dominique Inarra, Auteur ; Hisayasu Nakagawa, Auteur ; Jacques-Alain Miller, Auteur |
Année de publication : |
1988 |
Importance : |
114 pages |
Langues : |
Français (fre) |
Sommaire : |
Pierre Skriabine, Découvertes et espoirs
Jean-Louis Gault, Présentation, 9
Takatsugu Sasaki, La psychanalyse au Japon, 11
Discussion, 17
Jean-Louis Gault, Quelques traits remarquables de la langue japonaise, 21
Hiroyuki Akama, La langue japonaise dans le Champ freudien, 35
Shin’ya Ogasawara, Remarque sur les deux particules wa et ga, 41
Discussion, 45
Pierre Skriabine, Quand l’écriture travaille la langue, 53
Kunifumi Suzuki et François Morel, La différence structurale entre deux langues
et la fonction du Je, 63
Discussion, 73
Dominique Inarra, Amae : la « doucerie » en vérité, 77
Hisayasu Nakagawa, Jusqu’où suis-je moi ?, 85
Discussion, 91
Jacques-Alain Miller, Remarques et questions, 95
Discussion, 108 |
4° de Couverture : |
Rien chez Freud ne permet d’établir un lien spécial entre la psychanalyse et le Japon. Il n’en est pas de même chez Lacan.
Dès la première leçon de son Séminaire, Lacan fait référence, à propos de l’émergence du sens dans l’expérience analytique, au maître bouddhiste de la tradition japonaise. Une dizaine d’années plus tard, au retour d’un voyage au Japon et alors qu’il traite de l’angoisse, il dit sa découverte des grandes œuvres de la statuaire des temples de Kyoto ou de Nara. Et au cours des années soixante-dix, par exemple dans le Séminaire « D’un discours qui ne serait pas du semblant », son intérêt se spécifie encore – c’est la langue japonaise et son écriture qui le mobilisent.
Du coup, la place du Japon par rapport au Champ freudien se modifie. Elle n’est plus celle – externe – d’une référence culturelle, mais se retrouve au cœur même de l’expérience analytique. Lacan lui donne alors son nom : la Chose japonaise. |
[n° ou bulletin]
055 - 1988 - Lacan et la chose japonaise [texte imprimé] / Pierre Skriabine, Auteur ; Jean-Louis Gault, Auteur ; Takatsugu Sasaki, Auteur ; Hiroyuki Akama, Auteur ; Shin'ya Ogasawara, Auteur ; Kunifumi Suzuki, Auteur ; François Morel, Auteur ; Dominique Inarra, Auteur ; Hisayasu Nakagawa, Auteur ; Jacques-Alain Miller, Auteur . - 1988 . - 114 pages. Langues : Français ( fre)
Sommaire : |
Pierre Skriabine, Découvertes et espoirs
Jean-Louis Gault, Présentation, 9
Takatsugu Sasaki, La psychanalyse au Japon, 11
Discussion, 17
Jean-Louis Gault, Quelques traits remarquables de la langue japonaise, 21
Hiroyuki Akama, La langue japonaise dans le Champ freudien, 35
Shin’ya Ogasawara, Remarque sur les deux particules wa et ga, 41
Discussion, 45
Pierre Skriabine, Quand l’écriture travaille la langue, 53
Kunifumi Suzuki et François Morel, La différence structurale entre deux langues
et la fonction du Je, 63
Discussion, 73
Dominique Inarra, Amae : la « doucerie » en vérité, 77
Hisayasu Nakagawa, Jusqu’où suis-je moi ?, 85
Discussion, 91
Jacques-Alain Miller, Remarques et questions, 95
Discussion, 108 |
4° de Couverture : |
Rien chez Freud ne permet d’établir un lien spécial entre la psychanalyse et le Japon. Il n’en est pas de même chez Lacan.
Dès la première leçon de son Séminaire, Lacan fait référence, à propos de l’émergence du sens dans l’expérience analytique, au maître bouddhiste de la tradition japonaise. Une dizaine d’années plus tard, au retour d’un voyage au Japon et alors qu’il traite de l’angoisse, il dit sa découverte des grandes œuvres de la statuaire des temples de Kyoto ou de Nara. Et au cours des années soixante-dix, par exemple dans le Séminaire « D’un discours qui ne serait pas du semblant », son intérêt se spécifie encore – c’est la langue japonaise et son écriture qui le mobilisent.
Du coup, la place du Japon par rapport au Champ freudien se modifie. Elle n’est plus celle – externe – d’une référence culturelle, mais se retrouve au cœur même de l’expérience analytique. Lacan lui donne alors son nom : la Chose japonaise. |
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